Un autre 18 juin, c’était en 2008…

Marteau justice (illustration)

Mon long combat judiciaire a démarré en 2004.

Diffamé par des journalistes ne signant pas leurs articles dans le journal du parti politique orange, j’ai porté plainte contre Terii Allen PAQUIER, gérant de cet hebdomadaire.

Je l’ai fait citer pour diffamation car ce journal prétendait que j’étais le vrai coupable de la disparition inexpliquée de « J P K » en se basant sur une lettre de dénonciation de Pierre QUENTIN, compagnon de la mère de « J P K ».

Ayant disparu sans qu’il soit acquis qu’il soit décédé ni, a fortiori, que soient connues les conditions dans lesquelles il serait mort :

Suicide, accident, meurtre ou assassinat, ce journal m’avait jeté en pâture à l’opinion publique.

Quatre procès ont été nécessaires. Deux intentés à Papeete / TAHITI puis 2 à PARIS. Ma plainte a finalement abouti à sa condamnation après 4 années de procédure . Ce mercenaire du parti politique TAHOERA’A HUIRA’ATIRA de Gaston FLOSSE, élu de la République française le plus condamné, ne s’est jamais présenté au tribunal. 

Il a été à plusieurs reprises recruté comme chef de cabinet auprès de l’ancien ministre Teva ROHFRISH.

Aucune observation sur la bonne foi ou la vérité des propos diffamatoires n’avait été faite en première instance ni devant la Cour d’appel de Papeete / TAHITI.

1er et 2ème jugement (à TAHITI)

Terii PAQUIER a été relaxé en 1ère instance au tribunal correctionnel, et devant la Cour d’appel de TAHITI.

Mon action civile a été déclarée irrecevable.

Je me suis donc pourvu en cassation à Paris, et la chambre criminelle de la Cour de Cassation m’a donné raison le 6 septembre 2006.

Extraits du jugement anonymisé par la Cour de Cassation, faisant jurisprudence

3ème jugement, à Paris : COUR DE CASSATION

Lien vers le jugement :

Cour de Cassation, Chambre criminelle, du 5 septembre 2006, 05-86.853, Inédit – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

EXTRAIT : en écrivant que Francis X… serait le  » vrai coupable  » de la  » disparition  » inexpliquée de JPK, Allen Y… a tenu un propos diffamatoire, nonobstant même toute connotation pénale, ou même criminelle, du rôle  » fautif  » imputé à Francis X… (coupable) dans la disparition de JPK ; que, en déclarant le contraire, la cour d’appel [de Papeete] a violé les textes (articles 29, 32, alinéa 1, de la loi du 29 juillet 1881, 593 du code de procédure pénale)

toute expression qui contient l’imputation d’un fait précis et déterminé, de nature à porter atteinte à l’honneur et à la considération de la personne visée constitue une diffamation ;

Dans cet article de l’HEBDO de 2004, il était affirmé que « la compagne de « JPK » l’avait quitté pour vivre avec moi.

LA COUR DE CASSATION A CASSé et ANNULé, en toutes ses dispositions, l’arrêt de la cour d’appel de Papeete, en date du 27 octobre 2005,

Elle a renvoyé l’affaire devant la cour d’appel de Paris.

4ème jugement : Cour d’appel de Paris

Captures de pages :

Terii Allen PAQUIER n’ayant pas prouvé les accusations faites contre moi dans l’HEBDO et me mettant formellement en cause, la Cour d’appel de Paris l’a condamné à me verser des dommages et intérêts.

LES TRIBUNAUX CORRECTIONNELS DE TAHITI SONT-ILS NEO COLONIALISTES ?

Faut-il systématiquement aller à Paris pour obtenir justice ?

Au tribunal civil, l’intime conviction n’existe pas. 

VOUS APPORTEZ LA PREUVE OU PAS.

Cela s’appelle le contradictoire.

C’était le dix huit juin 2008

« À qui profite la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias JPK ?« 

QUI CONTINUE DE BENEFICIER EN 2022 DE CETTE DISPARITION ?

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