Revue de presse au 24/01/2022

Local


PREPAREZ VOTRE AGENDA !!


INFO-LUTTES LOCALES
Un nouveau syndicat étudiant se crée à Brest : l’ Union Pirate UBO.
Ils appellent d’ores et déjà « l’ensemble de la jeunesse finistérienne à la mobilisation du 3 février ! »
Ce qui est plus que nécessaire car Macron veut imposer toujours plus l’austérité sur les services publics, leur sous-financement. Et l’Université n’y échappera pas. De plus, il projette une « augmentation généralisée des frais d’inscription » à l’Université. Ce qui aura pour effet de défavoriser les classes populaires, les plus pauvres, de précariser encore plus ceux qui le sont déjà !


National


🔴 Des Gilets Jaunes aux cheminots en passant par les étudiants, les lycéens, les profs, les soignants, les écolos,…

Macron, le gouvernement,… nous ont méprisé pendant 5 ans, il est temps de leur répondre.🔥

➡️ #TousEnGrèveLe27 ✊

#GreveGenerale #Greve27janvier


Surveillance


🚨 LE MONDE D’ORWELL 🚨

Le Conseil Constitutionnel vient d’autoriser l’utilisation de drones de surveillance ainsi que l’analyse par reconnaissance faciale des images captées par la police et la gendarmerie.

Orwell illustrait de façon prémonitoire ce qu’il se passe.

https://www.conseil-constitutionnel.fr/…/2021834DC.htm

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TECHNOPOLICE : LA LOI « SÉCURITÉ GLOBALE » REVIENT PAR LA FENÊTRE…

Démocratie bafouée. Les drones ? Vous n’en voulez pas ? On vous les met quand même :

« Le Conseil constitutionnel vient de rendre sa décision sur la loi « responsabilité pénale et sécurité intérieure ». Ce texte, adopté le 18 novembre 2021 par le Parlement, prévoyait notamment de ré-autoriser les drones policiers. Si les drones avaient été interdits à quatre reprises depuis 2020 (deux fois par le Conseil d’État, une fois par la CNIL et une fois par le Conseil constitutionnel), l’entêtement du gouvernement a porté ses fruits. Après deux années d’illégalité, les drones vont ré-occuper le ciel et restaurer la surveillance de masse. »

Consternant de voir que ce même Conseil constitutionnel valide une mesure de la Loi « sécurité globale » qu’il avait censurée il y a 8 mois : LOI SÉCURITÉ GLOBALE : LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL CENSURE SEPT ARTICLES – Amnesty International
D’AUTRES EXTRAITS DE L’ARTICLE DE LA QUADRATURE DU NET :

« le Conseil constitutionnel valide aussi les caméras embarquées sur les véhicules de police (hélicoptères, voitures…) ainsi que la vidéosurveillance des cellules de garde-à-vue. »

Également validés dans cette loi : « amendes forfaitaires, prise d’empreintes forcée, répression des mineurs isolés, modification du régime d’irresponsabilité pénale »

« la police autorisera la police à utiliser des drones selon sa propre appréciation de la nécessité de surveiller… »

« En renvoyant au juge le contrôle de la légalité de ces dispositifs de surveillance, le Conseil constitutionnel se défausse de son rôle de gardien des libertés et refuse de confronter les dangers propres à ces technologies, qui auraient dû le conduire à les interdire durablement. »


« Il y a un schéma classique que vous décrivez : le Parlement donne au gouvernement des pouvoirs exceptionnels. Pour les faire respecter, celui-ci s’appuie sur la police. La police s’habitue à ces prérogatives temporaires. Et quelques mois ou quelques années plus tard, ces lois d’urgence intègrent le droit commun… »

« Dans la loi Renseignement votée en 2015, une partie du dispositif – notamment la surveillance par algorithme, qui relève d’une surveillance de masse – était expérimentale. Et une fois qu’on l’a utilisé pendant plusieurs années, on n’y renonce évidemment pas. Ça s’intègre dans le droit commun. »


Économie


DERRIÈRE TOUTES LES DIVERSIONS SANITAIRES OU IDENTITAIRES, UNE BAISSE DU NIVEAU DE VIE D’UNE LARGE MAJORITÉ DE LA POPULATION

Pendant que Macron fait diversion en nous amenant sur le terrain sanitaire, en divisant les Français entre eux pour éviter de parler de tout le reste comme le sous-financement de l’hôpital public, les revenus qu’il faudrait augmenter pour pouvoir vivre dignement (salaires, pensions, minimas sociaux), la nécessité d’un revenu étudiant, les conditions de travail dégradées, la baisse du niveau de vie de nombre d’entre nous, les prix continuent d’augmenter :

« Derrière les débats sur l’inflation se cache le conflit entre le capital et le travail. Que les prix augmentent comme c’est le cas en France aujourd’hui, n’est pas en soi un problème, au contraire. Le problème, c’est que ce sont les salariés qui en payent les conséquences, car leurs salaires ne sont pas indexés sur les prix, tandis que les industriels répercutent la hausse de leurs coûts sur les prix et continuent donc à engranger des profits considérables. Comme toujours en économie, il n’y a aucune fatalité à la situation actuelle. La hausse des prix de novembre 2018 avait conduit à la création du mouvement des Gilets jaunes. Ce ne serait pas la moindre des vertus de l’inflation actuelle que de contribuer au retour de leur mobilisation. »

« Les grandes majors pétrolières présentent des bénéfices records : celui de Total a été multiplié par 23 au troisième trimestre 2021, atteignant ainsi 4,6 milliards de dollars. »

« Dans l’agriculture et l’industrie agro-alimentaire, à l’impact de la hausse des coûts de l’énergie et donc de transports vient s’ajouter celle des matières premières, à cause du climat : le cours du blé, par exemple, a augmenté de 30% depuis cet été à cause des sécheresses et des incendies, alors qu’auparavant il avait déjà augmenté à cause du gel hivernal en Europe. »

« à moyen terme, il faudrait revenir à la situation de monopole public que connaissait EDF et GDF avant les libéralisations dictées par l’Union européenne.

Par ailleurs, concernant les denrées alimentaires, il faut fixer un plafond. Cela a déjà été fait par le passé. On peut penser à la loi du maximum de 1793 par exemple, qui imposait un plafond pour le prix des grains. Et on a tendance à oublier que de 1793 à 1986 le prix du pain était réglementé en France ! Depuis le prix est totalement libre, mais cela n’a rien d’une fatalité et c’est finalement très récent dans notre histoire. »

« il faudrait indexer les salaires sur l’inflation, c’est-à-dire faire en sorte que les salaires augmentent automatiquement parallèlement à la hausse des prix. »


DES MILLIARDAIRES ENRICHIS PAR L’ARGENT PUBLIC !

La haute-bourgeoisie dit « merci patron », pardon « merci Macron » !

L’argent va à l’argent, le capital au capital.
Les plus précaires, eux, sont laissés de côté, les plus pauvres s’appauvrissent même.
Et l’hôpital reste sous-financé.
Le conseil d’État lui, vient de valider définitivement la réforme de l’assurance chômage qui va faire baisser les revenus d’environ un million de chômeurs.
De plus, ils feront payer la dette aux plus pauvres et non à ces mêmes milliardaires profiteurs de crise et continuent leur politique fiscale inégalitaire…
Taxons les riches !
#MangeonsLesRiches

NE PAS SE TROMPER D’ADVERSAIRE !

C’est la concurrence internationale due à l’ouverture à la mondialisation qui fait baisser les salaires et non la main d’œuvre immigrée. Les immigrés ne volent pas l’emploi des Français mais font les métiers que ceux-ci ne veulent plus faire.




MACRON CONTINUERA T-IL SA POLITIQUE DE CLASSE À L’UNIVERSITÉ ?

Une fameuse petite phrase dont il est friand pour amener l’idée que l’université de masse où étudient les enfants des classes les plus populaires coûterait trop cher et qu’il faudrait donc faire payer plus les plus pauvres pour y avoir accès ! Ça-ne-peut-pas-continuer-comme-ça-parce-que-c’est-ainsi ! Un système de financement pas efficace selon lui : les étudiants sont toujours dans la précarité et nos facultés peinent à tenir un haut rang dans la terrible compétition internationale. Il faudra donc freiner cette gabegie d’argent public à l’Université, la sous-financer plus encore (déjà qu’elle l’est déjà !…). Ce qui fera qu’elle ira encore plus mal… Peut-être alors après avoir pété le « jouet », le sale gosse Macron nous annoncera qu’il faudra privatiser, ou pour le moins multiplier les partenariats public-privé à l’Université, bref, rendre l’entreprise, pardon l’Université, plus privée ! Et en même temps, continuer à financer largement les grandes écoles (bien plus chères par étudiant pour le contribuable) qui profitent quasi-exclusivement aux enfants de la bourgeoisie ? Très probablement, parce que c’est et sera toujours son… projeeeet !!!

ICI QUELQUES EXTRAITS DE L’ARTICLE DE FRUSTRATION :

« De la même façon, les études « gratuites » dont il parle, pourquoi « on ne pourra pas [y] rester » ? Parce que c’est de l’argent public. Et que pour un type comme Macron, l’argent public pour les gens, ce n’est pas sain. Pour les entreprises et les actionnaires, oui, parce que « ça produit de la croissance et de l’investissement », mais pas pour les gens, c’est de l’argent perdu. »

« Macron a prononcé sa petite leçon de choses lors de la récente Conférence des présidents d’universités. Pas des directeurs de grandes écoles. C’est bien la fac qui est dans son viseur. Mais comme d’habitude, il ne va pas jusqu’au bout de sa pensée qui est, « on ne pourra pas rester durablement dans un système où l’enseignement supérieur n’a aucun prix pour la quasi-totalité des étudiants d’origine modeste » : va jusqu’au bout de ta pensée, Manu, ne fais pas l’hypocrite. »

«une fois parvenu au sommet, on dira de l’enfant de bourgeois qu’il aura eu du « mérite » et qu’il ne doit son succès qu’à lui-même. Et moi, citoyen contribuable, c’est pour lui, qui a déjà tout, que je devrais payer, et non pour les jeunes comme mon cousin, qui n’ont donc déjà plus, à 16 ans, de loisirs, de temps libre, de liberté d’essayer, d’apprendre, d’échouer, bref de choisir leurs vies ? »

« Tout comme on nous demande de payer pour subventionner notre patronat, notre actionnariat, on nous demande de payer pour financer les études de leurs enfants. »



Une bonne émission concernant la situation de l’enseignement secondaire en France, pour répondre aux propos de merde de notre cher président.




Santé


Une émission qui apporte des réponses intéressantes à la gestion actuelle de la crise sanitaire, en accès libre.

« Dans les deux domaines, les rapporteurs débordent d’imagination. « En exploitant des données génétiques, il pourrait être possible d’identifier immédiatement les personnes réceptives à un variant très rare d’un virus », estiment-ils. Issues des appareils domestiques connectés, les « données d’électrocardiogrammes, de balances connectées, de thermomètres connectés, de caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux » faciliteraient les interventions médicales en amont.

Mais la pédagogie n’a qu’un temps, et les trois sénateurs dévoilent soudain leur grand dessein. « Dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d’exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire. (…)

— le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du passe pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d’immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc. ;

— le contrôle de l’état de santé, via des objets connectés dont l’utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;

— le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l’on est contagieux ;

— le contrôle des transactions, permettant par exemple d’imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions. »

Cerise sur le gâteau, les pénalités seraient prélevées instantanément sur le compte des contrevenants. En contrepartie de ces petits accrocs aux libertés, « on pourrait imaginer que seules les personnes diagnostiquées positives, soit environ 0,1 % de la population fin mai 2021, soient soumises à des mesures d’isolement ».

Si les trois sénateurs avaient salué la version initiale du passe sanitaire comme une « bonne nouvelle », l’extension du dispositif au cœur de l’été a inspiré à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) une mise en garde contre le « risque d’accoutumance et de banalisation de tels dispositifs attentatoires à la vie privée (2) ». Logiquement, les auteurs du rapport pilonnent cette institution qui symbolise à leurs yeux un « conservatisme » hexagonal trop attaché au respect de la vie privée. Gommer cette « sensibilité française de plus en plus décalée, pour ne pas dire complètement absurde », exigera selon eux un « effort pédagogique immense », mais aussi et surtout d’en finir avec les atermoiements sur le risque de dictature numérique (3). « Tout ceci n’est pas le problème, expliquent les parlementaires. Si une “dictature” sauve des vies pendant qu’une “démocratie” pleure ses morts, la bonne attitude n’est pas de se réfugier dans des positions de principe. » »


Présidentielle 2022


🤡 Et on rajouterait : également absente des mobilisations contre l’islamophobie ou encore contre la négrophobie et les violences policières.

On oublie pas non plus les tests osseux sur les exilés.

Pour voir où se situent les convictions de celle qui se réfère à Kamela Haaris (vice présidente de Biden), regardez son dernier poème du nouvel an : c’est aussi nul et vide que consternant.

Paye ta gauche, allez oust !

📷 Lille Antifa


Primaire Populaire



En résumer :


L’ARNAQUE DE LA PRIMAIRE POPULAIRE

Merci à l’excellent média
Frustration Magazine qui fait le taf pour synthétiser les critiques légitimes envers cette Primaire Populaire qui elle ne l’est pas pour un sou et ainsi démystifier cette arnaque cherchant à faire revivre ce qui reste d’une « gauche » bourgeoise moribonde, type centre-gauche façon PS d’Hidalgo, Taubira etc. Alors qu’il conviendrait qu’elle s’éteigne tout à fait.

« Derrière cette organisation a priori gentillette se cache selon nous la plus grosse arnaque politique que nous ayons connu depuis la candidature « ni droite ni gauche » et « hors parti » d’Emmanuel Macron en 2016. »

« D’une façon générale, le profil des organisateurs est celui de trentenaires diplômés, aisés et urbains : on compte sur la trentaine de militants présentés sur leur site 9 diplômés de Sciences Po, 6 d’écoles de commerce et 5 ingénieurs »

« Ce n’est pas neutre que nous ayons encore des bourgeois ou sous-bourgeois qui se sentent une telle autorité à nous dire ce qui est bon pour nous, c’est dans leur idéologie. »

« La « primaire populaire » est avant tout la marque que se sont approprié un petit groupe d’activistes professionnels qui multiplient les coups de com’ et de pression pour s’imposer dans le paysage politique. »

« Derrière les appels vibrants à l’Union se cache toujours la volonté de lisser l’ensemble et de réhabiliter les ex-ministres et soutiens de François Hollande, comme si l’énorme échec et trahison qu’a constitué cette présidence n’avait pas discrédité pour de bon ses participants. »

« Et que souhaitent-ils faire maintenant ? Pourrir les candidats qui ne jouent pas le jeu. Sont ciblés Jadot et Mélenchon, qui ont refusé d’entrer dans leur petit jeu, et contre lesquels Grzybowski assume clairement de bloquer les parrainages d’élus et d’effectuer des campagnes de dénigrement sur les réseaux sociaux. »



L’ARNAQUE DE LA PRIMAIRE POPULAIRE

Mais pour qui se prennent ces gens de la « gauche » bourgeoise de la #PrimairePopulaire ? Effarant !
Dans cette vidéo Samuel Grzybowski, porte-parole de « la primaire populaire » indique à ses partisans avoir pour objectif :
« ⁃ d’empêcher les candidatures de Yannick Jadot et de Jean-Luc Mélenchon en appelant les maires à bloquer les parrainages d’élus ;
⁃ de faire chuter leurs côtes de popularité en menant des opérations de critiques massives sur les réseaux sociaux ;
⁃ d’empêcher leurs prêts bancaires pour qu’ils ne puissent pas mener campagne ;
⁃ de collecter un maximum de données sur les personnes intéressées par l’initiative. »


→ faire chuter leurs côtes de popularité en menant des opérations de critiques massives sur les réseaux sociaux → empêcher leurs prêts bancaires pour s’ils ne puissent pas mener campagne

D’autre part, les modalités de cette primaire: → excluent de nombreuses personnes dès lors qu’une Carte bancaire est exigée pour participer → utilisent un scrutin « au jugement majoritaire » qui favorise les candidats les plus modérés et élimine les candidats aux choix clairs

→ inscrivent des candidats au vote de cette « primaire » sans leur consentement → suscitent une candidature de plus à l’élection présidentielle alors que l’objectif affiché publiquement était au contraire d’œuvrer à un rassemblement

!!! -Tout cela n’a rien de « démocratique » et ne ressemble en rien à une primaire. Pas convaincu non plus que ce doit conforme aux préconisations de la Cnil ni même au code électoral.

Il ne s’agit pas de remettre en cause la sincérité de citoyens qui pensent y trouver un initiative utile. Certains y trouvent aussi un intérêt en pensant que ça peut trancher la question du leadership au centre-gauche entre Taubira, Hidalgo et Jadot.

Guilhem Serieys

@GuilhemSerieys




L’arnaque de la Primaire Populaire, en résumer :

« Il ne reste guère que Christiane Taubira de satisfaite par la démarche, ce que la PP lui a bien rendu en acceptant sa candidature de dernière minute. »

« cette frange de la gauche est animée par la volonté de maintenir la centralité de la gauche dans un pôle très modéré (plus proche du libéral que du social), quand bien même ce pôle est minoritaire à gauche depuis 2017. »

« sur la trentaine de personnes dont le nom et l’image sont affichés sur le site (qui met même en avant le Linkedin de certains!), on retrouve au moins : 9 de Sciences Po, 6 d’écoles de commerce et 5 ingénieurs.

Il est également bon de préciser que la PP emploie 18 équivalents temps plein  (plus que certains partis politiques de premier plan) parmi la trentaine de malheureux, dont le fondateur en CDI. »

« La Primaire Populaire aura à la fois refroidi ses meilleurs alliés potentiels, que sont les structures du PS et EELV, pris l’énorme risque de démobiliser des électeurs et surtout celui d’ajouter une candidature supplémentaire contrairement à ses propres engagements. »



Fachos




En réponse à @BenjaminCauchy
Ça ne vous dérange pas qu’il y en a un qui ait un GJ « Canal historique » vendu par l’antisémite Dieudonné ? Les GJ, paupérisés, se sont soulevés pour pouvoir vivre dignement, pas pour vos salades nationalistes identitaires et autres théories racistes de Grand Remplacement !


On va où là encore ?


Heureusement qu’il y a des gens qui se mobilisent contre la candidat néo-maurassien !




L’ÉTAT COMPLICE DES NATONALISTES IDENTITAIRES !

« Apolitique » ? Vraiment ? « On est tous humains », « Chacun pense ce qu’il veut », voilà le genre de niaiseries que l’on peut régulièrement entendre dans des manifs antipass. Samedi dernier à Paris, au sein de la manifestation antipass à l’appel de Philippot, des néo-fascistes de tous poils bien bruns ont bien tranquillement formé un cortège d’environ 200 personnes, violentant notamment une équipe de de l’AFP, beuglant en meute plus tard dans la soirée : «On est chez nous ! ». Effrayant !
Alors défiler à leurs côtés, ne rien dire, c’est cautionner, tout simplement. Certains se réfugient derrière une hypothétique « neutralité », disent qu’ils ne font pas de politique ou évoquent la liberté, voire reprochent à d’autres d’être intolérants avec ces braves nationalistes identitaires (pour dire le moins, certains sont carrément néonazis), accusent même les antifascistes d’être fascistes, comme les minorités opprimées d’opprimer, dans un audacieux renversement de langage orwellien pour une spectaculaire inversion accusatoire victimaire ! Et des médias comme C News de relayer ce genre d’absurdités ! Bref, toute complaisance, relativisation et atténuation sont intolérables.
L’extrême droite est libérale en économie, ne remet pas en cause le capitalisme, l’exploitation des travailleurs et de la nature. Elle préfère détourner l’attention des opprimés sur des questions identitaires fantasmées et autre Grand Remplacement. Elle est nationaliste/excluante et autoritaire, opportuniste et démagogique comme Philippot ayant trouvé son minuscule espace politique dans cette contestation de la politique sanitaire du gouvernement. Celui-ci prônait d’abord un confinement strict et le port du masque obligatoire pour tous, avant de virer de bord… Mais surtout, derrière sa vitrine plus ou moins ripolinée comme celle du Rassemblement National de Marine Le Pen – qui en contraste de l’infâme Zemmour continue sa dédiabolisation hypocrite – occupent la rue moult groupuscules violents dont les militants peuplent en partie des partis politiques comme le RN et Reconquête. Et pour assurer l’hégémonie culturelle : des médias comme C News et autres chiens de garde, « gauche » de droite à la Manuel Valls, des réactionnaires présentés comme « de gauche » comme Michel Onfray, les journalistes de Valeurs Actuelles désormais banalement présents sur les chaînes d’info en continu sans qu’ils ne soient présentés comme d’extrême droite, réactionnaires, voire racistes comme on a pu le voir avec leur papier sur Danielle Obono.
Tous ces nationalistes identitaires sont les ennemis des classes populaires, des travailleurs, des chômeurs qu’ils accusent d’assistanat, des immigrés et descendants d’immigration africaine (les noirs et les arabes quoi !), des jeunes de banlieue, des musulmans, des femmes, des LBTQI+ et doivent donc être combattus sans aucune complaisance !

QUELQUES EXTRAITS DE L’ARTICLE CI-DESSOUS :

« Interdit pour sa violence, tant dans le discours que dans ses actions, Génération identitaire a pu défiler avec l’assentiment des autorités. Vendredi, la préfecture de police de Paris confirmait à StreetPress avoir connaissance du rassemblement. Plus surprenant encore, elle reconnaît que le défilé est organisé par « un satellite de l’ex-Génération identitaire », en l’occurrence l’association Paris Fierté. Pourtant, les services de Didier Lallement, qu’on a connu moins à cheval sur la liberté de manifester, n’ont pas fait le choix de l’interdire. La présence policière, avec des effectifs en avant et en arrière de la manifestation, était même moins voyante que lors de précédentes éditions où les gendarmes mobiles ceignaient littéralement le cortège. Et, ô surprise, les militants d’un groupe dissous pour sa violence ont fait preuve… de violence. »

« Tout ce petit monde avait commencé sa journée quelques heures plus tôt au Trocadéro. Alors que les anti-pass se rassemblaient sur le parvis, entre 150 et 200 militants identitaires et fafs de toute obédience se sont regroupés derrière leurs propres banderoles. »

«Et ici encore, les violents ont été violents. L’un des leaders, au mégaphone, a ainsi lancé ses troupes sur des journalistes de l’AFP qui couvraient la manifestation et leurs agents de sécurité. « C’est l’AFP, niquez-les ces fils de pute  ! », a-t-il hurlé avant qu’une cinquantaine de radicaux ne chargent. « Les agents de sécurité ont ensuite été frappés, notamment à coups de matraque, alors qu’ils protégeaient la vidéaste, rattrapée par une vingtaine de manifestants. Les gardes et les journalistes rapportent avoir été menacés de mort », a décrit l’AFP. « L’homme cagoulé à l’origine du mouvement m’a saisie en me disant : “Je vais te tuer, regarde-moi bien, je vais te tuer !” », a témoigné l’une des victimes.»


Commentaires suscités par cette publication sur notre page Facebook et nos réponses


Un lecteur :

Raison de revenir dessus quand même polémique se décryptage car philipot demends toute association ou regroupement mobilisation neonazi lors cette manifestation sa aurait été fake news notamment photo relier était 1 clapping non pas salut nazi bref similitudes bizarre chacun son avis

Nous :

Même si c’était juste un clapping au final apparemment sur cette fameuse photo, il n’empêche que ce cortège photographié comportait des militants tout ce que l’extrême droite nationaliste identitaire comporte de pire : les Zouaves néonazis, des militants de l’ex Génération Identitaire maintenant dissoute qui faisait office de milice privée contre les migrants, des « héritiers du GUD [organisation étudiante française d’extrême droite] ou néonazis violents tels les Zoulous Nice », La Cocarde etc. Et Philippot peut démentir, le résultat reste le même.

Philippot s’indigne de la manipulation de Darmanin concernant la photo mais pas du pédigré des « manifestants » de ce cortège-là au sein de la manifestation qu’il a organisée. De plus, sur la banderole de tête du cortège identitaire est inscrite une citation de l’écrivain antisémite d’Action Française Charles Maurras : « Les libertés ne s’octroient pas, elles se prennent ». L’arriviste d’extrême droite ne semble pas trop troublé non plus par la croix celtique en tête de ce cortège, soit un symbole couramment associé à des mouvements d’extrême droite néonazis et néofascistes et particulièrement antisémites. Bref, il cautionne. Plus tard dans la soirée on entendra de la part d’un de ces militants nationalistes identitaires : « Paris c’est pas une terre d’Islam et ce sera jamais une terre d’Islam ! ». La vieulle rengaine antimusulmans car c’est de ça qu’il s’agit ! On a les soutiens qu’on mérite…

Un autre lecteur :

C’est quoi le but de cette publication?

Nous :

De notamment mettre un peu les choses au clair, affirmer que tout et n’importe quoi ne peut pas être cautionné, sous prétexte d’être contre le pass (ce qui est légitime). À Brest aussi, des saloperies antisémites ont pu s’afficher sans que cela ne semble gêner grand monde. Parfois par ignorance ou naïveté, mais aussi par des personnes qui ne voyaient pas le problème voire qui cautionnaient le propos (qui n’est pas une opinion mais un délit) ou qui préféraient détourner le regard ! Voir notre article à ce sujet : Devons-nous tout accepter ?

Encore un autre lecteur :

Les Fachos sont actuellement au pouvoir.

Nous :

Oui dans leur genre. Ça serait très probablement encore pire avec des Pécresse, Le Pen, Zemmour, Philippot, Dupont-Aignan au pouvoir !


Message à l’attention des « apolitiques »

Depuis quelque temps maintenant nous entendons de nombreux militants anti-pass justifier leur présence aux rassemblements de Florian Philippot par un soi-disant apolitisme revendiqué. Ils prétendent alors que la « liberté » de chacun·e devrait passer avant nos opinions politiques respectives. Nous pensons qu’il est nécessaire de leur rappeler pourquoi, selon nous, cette position n’est ni tenable ni entendable.

Se déclarer « apolitique » est déjà un acte politique en soi. Ce faisant vous revendiquez votre choix de vous placer à l’extérieur du politique, comme si cela ne vous concernait pas et que vous n’aviez pas d’avis à émettre sur les positions de celles et ceux auprès de qui vous défilez.

Seulement le monde politique ne se limite pas à la tripotée de politiciens avides de pouvoir qui nous dirigent ni aux partis auxquels ils appartiennent. Vouloir s’en dégager, c’est être apartisan.e. Or, la chose politique est présente dans chacune de nos interactions avec la société et manifester est un acte politique fort.

Peut-on réellement penser échapper à la politique quand, de surcroît, on le fait dans le même cortège que des individus qui se réclament ouvertement d’extrême-droite ?

En vous rendant à ces manifestations, malgré votre « apolitisme » de façade, vous cautionnez, de manière consciente ou non, la vision raciste, misogyne et réactionnaire de la société que cherchent à nous imposer les différents courants d’extrême-droite.

Le pass sanitaire est une aberration, une attaque à nos libertés les plus fondamentales. En cela, c’est un choix extrêmement politique ayant pour visée de sauvegarder le capitalisme en danger contre les libertés individuelles et collectives. Mais ce n’est qu’un avant-goût de ce qui nous attendrait si le fascisme, porté plus ou moins en sourdine par l’extrême-droite actuelle qui ne souhaite pas du tout la mort du capitalisme, parvenait à s’emparer de nos institutions. Marcher à ses côtés, quand bien même cela serait pour protester contre le pass sanitaire, n’est pas une solution envisageable.

Hier soir à Paris, comme à Lyon la semaine dernière, une vingtaine de personnes se sont livrées à un lynchage de passant.e.s racisé.e.s. Ne vous y trompez pas, ces agresseurs ont d’abord défilé avec Philippot l’après-midi. Ces événements ne sont qu’une énième incarnation du véritable visage des organisateurs de ces rassemblements. Marcher avec le fascisme, que l’on adhère à ses idées ou non, c’est marcher vers/cautionner une société violente, autoritaire et profondément inégalitaire. Ce n’est en aucun cas marcher pour la liberté, en témoignent les agressions récurrentes dont sont victimes les journalistes qui couvrent ces rassemblements.

L’apolitisme est un danger. Il ferme les yeux sur le véritable visage de l’extrême-droite et vient indirectement grossir ses rangs, la banaliser, la cautionner. Sous couvert de « démocratie », c’est renforcer la visibilité d’une idéologie qui impose de restreindre par la violence les droits d’autres personnes et gommer la dimension systémique des questions sociales.


On peut voir par exemple qu’ici à Nantes, le même genre de problématique et de confusion se pose :

Street Art



Médias





Même genre de complaisance, atténuation et relativisation que l’on retrouve aussi dans des manifs #AntiPass. Cela revient à cautionner. Le racisme n’est pas une opinion mais un délit. Voir notre article sur l’antisémitisme lors d’1 de ces manifs : Devons-nous tout accepter ?


« Lors de cette audition, rien de tel n’est survenu. On a assisté à une conversation de café du commerce, avec des propos vagues, jamais étayés ni précis. Cela a commencé par quelques propos lénifiants du président de la commission d’enquête, Laurent Lafon (Union centriste), qui s’est demandé – défense de rire ! – si CNews n’était pas en train de se transformer en un média d’opinion. Mais cela s’est poursuivi, surtout, par les sorties approximatives du rapporteur de la commission, le sénateur socialiste David Assouline.

L’intéressé aurait pourtant eu des raisons d’être pugnace et méthodique. Car les socialistes ont à l’évidence mille choses à se faire pardonner, puisque la concentration des médias s’est très fortement accélérée sous le quinquennat Hollande. Et dans la compétition entre la chaîne qatarie BeIN et Canal+, le président socialiste est fortement intervenu en faveur de Vincent Bolloré dans l’affaire des droits TV du foot, alors qu’il n’a pas levé le petit doigt pour protéger les journalistes d’I-Télé menant une grève longue et courageuse contre la normalisation Bolloré. »

« « La chaîne CNews n’est pas loin d’être une chaîne d’opinion », a encore osé le président de la commission d’enquête, Laurent Lafon. »

« Le résultat de cette première audition n’en est pas moins catastrophique : Vincent Bolloré a roulé dans la farine les membres de la commission d’enquête, qui pour beaucoup n’ont pas pris le rendez-vous au sérieux. Et la belle idée d’une investigation publique sur les graves dangers que fait peser sur la démocratie la normalisation des médias par une poignée de milliardaires pourrait bien être pervertie et se retourner en son contraire : une plateforme de communication pour ces mêmes milliardaires. »




A propos de David Assouline : « En somme, il n’a pas suggéré un seul instant que les pressions publicitaires organisées par LVMH devaient faire tiquer les membres de la commission d’enquête parlementaire, et figurer dans les pistes de réflexion pour durcir les critères anti-concentration.

Soit dit en passant, le même rapporteur n’a pas plus interpellé la veille Vincent Bolloré, en soulignant qu’il y avait aussi un conflit d’intérêts majeur à ce qu’un groupe comme le sien contrôle de nombreux médias, écrits et audiovisuels, et détienne dans le même temps le géant mondial de la publicité qu’est Havas. »

« le plus consternant dans le déroulement de cette audition, c’est que ni le président ni le rapporteur ne se sont émus de cette prétention du milliardaire à faire intrusion dans la vie éditoriale des titres concernés. »

« Pire que la censure… il y a l’autocensure qui, elle, est plus difficile à détecter. »



MÉDIAS : LE DANGER BOLLORÉ !!!

« Quant au reste de l’empire Bolloré, il n’a pas fini de s’étendre. Après avoir mis la main sur les magazines du groupe Prisma Média (Capital, Voici, Gala…), Vivendi a annoncé qu’il avançait son OPA sur le groupe Lagardère au mois de février 2022, confirmant ainsi sa prise de contrôle sur Europe 1, RFM, Virgin Radio, Le Journal du dimanche et Paris Match. Il est vrai que l’élection présidentielle approche à grands pas…

Une échéance électorale dont le traitement récent par CNews a été si caricatural qu’il a été remarqué par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Ce dernier a mis en demeure la chaîne de respecter l’équilibre du temps de parole des différents courants politique français. En effet, d’après le CSA, « une proportion très significative des interventions de l’exécutif et de La France insoumise a été diffusée dans des émissions programmées entre minuit et 5 h 59 », soit « plus de 82 % du volume total des interventions des membres de l’exécutif et plus de 53 % du temps de parole des représentants de La France insoumise ». Des chiffres contestés par la chaîne, mais qui l’exposent à des sanctions financières. »

« Si l’audience monte, les recettes publicitaires montent également. Et pour les préserver, CNews a annoncé avoir porté plainte contre Sleeping Giants, une organisation qui interpelle « les entreprises qui diffusent leurs publicités dans des organes proches de l’extrême droite, en jouant sur leur image de marque. » »

« Et le panorama ne serait pas complet sans rappeler que l’empire de Bolloré n’est pas que médiatique : déjà propriétaire du deuxième éditeur français (Editis), il va, avec son OPA sur le groupe Lagardère, « engloutir le mastodonte Hachette ». Une menace, aussi, sur l’information et la culture. »




Débunkage







Retrouvez la dernière vidéo de l’Extracteur (et son excellente chaîne You Tube sur tous les charlatans du web) :

Sacré Jean-Jacques !


« Idriss Aberkane utilise l’illustration d’un article du Parisien daté du 20 novembre 2021 pour relater des faits qui remontent à novembre 2020. L’étude aurait en effet fait l’objet d’autres falsifications. Elle visait à comparer les résultats des tests PCR effectués auprès de patients de l’IHU, utilisant le traitement de Didier Raoult, et des patients du CHU de Nice ne prenant pas d’hydroxychloroquine comme le relate Le Parisien dans son article mentionné par Idriss Aberkane. Les résultats obtenus « n’allant pas dans le sens de Didier Raoult », ce dernier aurait fait en sorte de modifier le seuil de positivité des tests de ses patients pour obtenir une plus grande part de tests négatifs chez les « cobayes » marseillais que chez les Niçois, écrit Mediapart. »


Analyse



Lire aussi sur le sujet cet article de fond :

« Il est difficile de mener une grève dans certains secteurs — santé, enseignement ou accompagnement social. Cette frilosité s’explique souvent par le chantage affectif en lien avec la mission que l’on doit remplir, et avec la vision sacerdotale que ces professionnel·les peuvent avoir de leur mission. Peut-être que dans ces secteurs, la façon la plus appropriée de mener une grève serait justement de faire le travail concret tel qu’on l’entend. Et donc de ne pas passer notre temps à remplir des dossiers administratifs ou à réaliser des encodages qui valorisent économiquement ce que l’on est en train de faire. Dans ce type de secteurs, faire son travail comme on l’entend, en plus de nous réconcilier avec la dimension éthique (tellement manquante qu’elle met les professionnel·les en souffrance), nous permettrait d’atteindre l’objectif de la grève : mettre la pression économique sur les pouvoirs organisateurs en ne faisant pas le travail de valorisation comptable ou économique. Cette forme d’action relève par ailleurs du syndicalisme de lutte. »


Le dernier article de l’excellent dossier de Ballast :

« Il est indispensable de faire sortir le prolétariat de cette imagerie d’Épinal, qui le fantasme uniquement sous les traits d’un ouvrier blanc en blouse bleue ! Les enseignant·es, les caissier·es, les infirmier·es, les manutentionnaires, les serveur·ses : toutes et tous sont des prolétaires. De même qu’aujourd’hui le prolétariat ne se retrouve pas uniquement dans le travail salarié. L’ubérisation de l’économie a fait sortir du salariat des personnes — auxquelles on donne le statut d’auto-entrepreneurs —, qui sont objectivement des prolétaires, tout autant que les personnes privées de travail. »




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