Chronique : La rapporteuse des brumes, Caroline Morlat Mialaret.

LIBRINOVA
Pages : 119
Sortie : 27 juillet 2021

Prix ebook : 2,99 €
Prix papier : 12,90 €

Résumé :

Ce texte tendre et mélancolique, existentiel et amoureux, rassemble de nombreux sujets sous forme d’une suite d’intitulés. Ni nouvelles ni roman, la rapporteuse témoigne de trois saisons à contempler la vie. L’auteure s’adresse à ses lecteurs et les prend à partie comme des faiseurs de rêve.

Ce que pense Julie :

Lorsque j’ai reçu ce livre je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre, est-ce que j’allais aimer ? Le genre me correspond-il ? Puis je me suis lancée sans attente particulière mais avec tout de même curiosité dans ce livre.

Tout d’abord, j’ai trouvé les avant-propos intéressants et pertinents pour la suite du livre. Personnellement, ils m’ont donné envie de me lancer dans la lecture. 

Je ne lis pas vraiment de poésie dans ma vie quotidienne mais de temps à autre pourquoi pas. C’est un genre qui peut me plaire mais tout dépend vraiment de la plume de l’auteur(e). Pour le coup, j’ai adoré l’écriture, la justesse, la douceur et la sincérité de Caroline Morlat Mialaret tout au long des livres. C’est beau, c’est doux, c’est rempli d’émotions et de sentiments divers, vraiment je ne saurai que dire d’autres à part que j’ai réellement passé un agréable moment avec cette lecture. 

Ce livre couvre plusieurs émotions et finalement, en tant que lecteurs, nous le ressentons : tristesse, désespoir, espoir… Nous sommes facilement transportés par les mots de l’autrice, par ce côté poétique et nous voyageons au fil de la lecture en ayant quelques réflexions mais surtout en vivant complètement l’histoire.

Livre reçu pour le Jury Librinova 2021.

Citations :

« L’espace et le temps sont finalement uniquement fonctionnels, je crois que j’en suis de plus en plus persuadée. Ils se dépassent dans les livres, les tableaux, la musique. Ceux qui traversent, ceux qui aiment, ceux qui ouvrent. »

« Je ne peux plus perdre mon temps à des batailles idiotes. L’absurdité de la plupart des choses dont les autres se targuent m’éloigne de plus en plus de leur réalité. J’en crée une où je me sens bien. Où je me sens moi. J’ai l’urgence d’être enfin moi. »

4/5

Où le trouver :
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Lien Librinova

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