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L’Homme sur la paille

Amen=Nomen=Personâme=Possession=Avoir≠Être

La fin du mal sur terre, Jeremy Locke
C’est ce que je répète: « La vérité est simple »… le mensonge compliqué

Exactement la définition et l’utilisation de l’Écologie qui n’est que l’Éco(nomie)-logos (enregistrement, l’Écho du nom/registre!)… la fée du logis est la fé(ss)e électricité…

A part la fin de la vidéo sur le bonheur de la Technologie! C’est la technologie qui a mis l’humain en Esclavage… Écriture, Agriculture (viol de la Terre), Élevage (Viol du Règne Animal), Armes, Machines… voir par exemple… l’imprimerie… le virtuel n’est pas du réel… ok, pour le con-vaincu de la Techno… même utilisée pour le bien de l’humanité, elle détruit la planète et est toxique pour l’humain… certes, Tesla a trouvé une électricité propre, certes l’énergie libre, certes la radionique qui protège… la terre baigne dans le sang humain et animal… voir pour des définitions intéressantes à la fin de la vidéo! Dans le texte qui suit: Dieu= Divin ou ce que tu veux: Nature, etc…

Pour Clint Richardson: Dieu= Nature. Ici, « Chrétien » peut être remplacé par « Musulman », « Bouddiste », etc… mais pas par « Yahoodjin » car les « Borg » font bande à part… une bande d’enculés à ne pas mélanger…

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Extraits tirées de « Strawman Story » ou « l’Histoire de l’Homme de  Paille »… Clint Richardson.

« Toutes les pensées intelligentes ont déjà été pensées, il suffit d’essayer de les repenser. »

« Les hommes ignorants posent des questions auxquelles les sages ont répondu il y a mille ans. »
—Johann Wolfgang von Goethe

« Car tous les dieux des nations sont des idoles… »
Psalms 96:5, KJB

« Les simples vérités n’ont pas besoin d’être prouvées. »
Perspicua vera non sunt probanda. Co. Litt. 16. (Bouv Maxim)

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« Ce qui est écrit à l’intérieur est uniquement destiné à expliquer et à établir ce qui est la Réalité et ce qui ne l’est pas. Croyance et Réalité se heurtent souvent, et je ne peux qu’espérer que la recherche de la Vérité réelle et évidente, telle qu’elle s’exprime dans la Réalité et non pas comme une simple perception de la Réalité qui satisfait l’intérêt personnel ou la dissonance cognitive, prévaudra sur l’esprit du lecteur, lui permettant une appréhension plus approfondie, afin d’atténuer la confusion subversive et le doute ». — Clint Richardson —

« Suis-je donc devenu ton ennemi, parce que je te dis la vérité ? »
Galates 4:16, KJB —

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Un homme n’a jamais besoin de prouver qu’il est un homme. C’est une vérité évidente, bien visible et indéniable. (remarque, le terme Homme/Man/Homo s’appliquait dans l’ancien temps (apparemment!) pour l’homme et pour la femme, « femme/woman » semble être une invention plus récente… en tout cas pour ‘woman‘, faut voir pour ‘femme’… et ‘humain/human’ étant aussi un terme trompeur et qui ne serait que l’ombre de l’homme).

Il n’a jamais besoin de prouver ce qui n’est pas de la Création de Dieu, ce qui est opposé à sa propre Nature. Les noms, titres, numéros d’assurance et autres créations légales des desseins de l’homme, eux, doivent être prouvés, car ils ne sont pas évidents en tant que partie de la Réalité, en tant que partie de Dieu.

L’existence de ce qui est Réel n’exige aucune preuve. Seuls les mots qui décrivent et redéfinissent l’Existence réelle sous une forme fictive ont besoin d’un tel artifice affirmatif.

Et c’est la clé de tout ce que nous devons apprendre à partir de ce point.

Car vivre spirituellement en et sous Dieu (dans la Nature, dans le christ) comme seule autorité est de vivre en dehors de tout artifice légal et des desseins (créations) nuisibles des hommes. Mais simplement, vulgairement, « croire » en Dieu comme Créateur sans vivre dans la Création de Dieu et par cette Loi Suprême de la Nature est l’essence d’un fou. Les fous fréquentent l’église et font semblant d’être christiques dans leur esprit, participant en vain à des cérémonies inutiles de faste et de circonstance, tandis que leur corps et leur âme languissent faute de communion avec leur Source.

La croyance en Dieu est en réalité une déclaration d’intention morale sous la Loi naturelle de Dieu, et les actions qu’un homme entreprend prouvent ainsi cette croyance, et non ses seules paroles. La croyance en ce que Dieu est une évidence est l’état le plus pur de l’Être, de l’Amour et de la Charité purs. Prétendre croire en Dieu au sein d’une religion corporative en tant que membre est une déclaration d’intention amorale sous la loi civile de l’état, et donc un accord ouvert pour rompre avec l’Alliance de Grâce de Dieu. C’est un signe que l’on a besoin d’être gouverné par les desseins de l’homme parce qu’il ne peut pas se gouverner lui-même sous Dieu. C’est une relation sans amour avec Jéhovah, la réalité est toute la nature, comme ce qui existe, comme la création de Dieu.

Un mensonge ne peut pas changer la Réalité, et une opinion sur Dieu ne peut pas changer la Nature de Dieu. La Vérité est seulement la perception de la Réalité par l’homme, est une création seulement de l’homme, et donc un mensonge peut être confirmé comme une « vérité » ou une « loi » légale. La vérité peut certainement affecter la Nature de la Réalité, mais seulement par les actions de ceux qui croient en (aimant) ces mensonges, que nous appelons « vérité » et « loi » légale.

Clint défini Dieu comme la Nature, et L’Homme comme homme/femme/enfant, c’est pas de l’anti-féminisme, juste que le terme Man/Homme est la vrai signification de tout ce qui est ‘humain’… Tout ce qui vient de (est créé par) l’Homme est fiction, le reste donc contient les Lois de la Nature/Dieu.

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L’Église et les États légaux et corporatifs ne sont que des mensonges confirmés et ratifiés qui sont nos fausses vérités proclamées et légalement consenties. C’est La plus grande Tromperie.

Soit on agit religieusement (par un code moral privé), soit on se joint à une corporation religieuse et on assume le titre légal flatteur du nom de cette religion publique (confession) sans actes privés, sans vivre réellement par et dans sa religion (Loi). Il y a ceux qui s’appellent eux-mêmes par le titre flatteur de « chrétien », et il y a d’autres hommes qui suivent les enseignements du christ comme premier exemple de la façon d’exister seulement dans le Royaume spirituel et la Loi de Dieu. Ces derniers sont peu nombreux et très éloignés.

L’un est un titre légal, l’autre est un style de vie. L’Un est seulement un mot en jargon juridique, et l’autre est la Vie Réelle. Et la différence entre les deux est comme la nuit et le jour, comme l’obscurité et la lumière, Dieu et Mammon.

L’Amérique est pleine de « chrétiens » de nom seulement, tout comme toutes les nations « chrétiennes » existent aussi de nom, seulement. Seul un homme sensible et rationnel peut suivre le Christ. Mais le titre de « chrétien » est aussi commun que celui de n’importe quelle prostituée. Une nation est une chose artificielle, une création de l’homme et non une création de Dieu, et donc opposée au christ malgré son titre légal flatteur.

Enlevez la fausse et flatteuse « vérité » des noms et des titres, et ce qui reste est la Réalité de ce qui n’a pas de nom. C’est la Source.

Sans un tel titre flatteur, la plupart de ceux qui prétendent être « chrétiens » en ce monde seraient méconnaissables en tant que tels, malgré leurs aventures dominicales et légales d’État sous une quelconque corporation ayant le titre d’église. La plupart ne jouent tout simplement pas le rôle qu’ils jouent. Leur croyance et leur respect de la loi légale (la loi de mammon) l’empêche. Mais il y a aussi l’autre côté, ceux qui sont privés du droit de vote dans ces religions corporatives mais qui n’ont jamais compris les mots des Écritures de façon tangible, grâce à l’éducation publique de l’Église et de l’État, par le légalisme.

« Les faits négatifs ne sont pas des preuves. »
Factum negantis nulla probatio. (BouvMaxim)

« A l’impossible nul n’est tenu« .
1 Bouv. Inst. n. 601. (BouvMaxim)

« La loi n’exige rien d’impossible »
Lex non cogit impossibilia. Co. Litt. 231, b ; 1 Bouv. Inst. n. (BouvMaxim)

« Si vous choisissez de ne pas décider, vous avez quand même fait un choix. »
Rush, les paroles de la chanson « Free Will« 

« Savoir ne suffit pas, il faut l’appliquer. La volonté ne suffit pas, il faut faire. »
– Johann Wolfgang von Goethe –

« On oublie souvent que (les dictionnaires) sont des dépôts artificiels, rassemblés bien après les langues qu’ils définissent. Les racines du langage sont irrationnelles et D’UNE NATURE MAGIQUE. »
Jorge Luis Borges, Prologue de « El otro, el mismo. » –

Private ou privé = droit négatif = UNalienable (not for sale, with or without consent, n’est pas en vente, avec ou sans consentement, sans-alienation donc sans folie). C’est un état d’Être où tous les droits sont réservés à l’homme individuel seulement, comme l’immunité de toute loi positive (publique) établie, ce qui signifie que le  » droit  » ne peut être imposé à l’homme. Ainsi le droit est à nouveau un verbe, car seules les propres actions de l’homme sous le devoir négatif peuvent établir son droit négatif.

Mais cet état négatif d’être dans l’intimité n’est jamais qu’un choix. Il doit être protégé et combattu, et c’est le seul combat légitime possible. Lorsque nous signons pour un droit dans une fausse personne morale (nom positif) qui n’est pas la nôtre, alors notre signature contracte la forme positive, artificiellement induite, du nom du droit (et pas du nom de Dieu).

Public = droit positif = INalienable (etymo) (reserved but for sale, thus potentially alienable, meaning for voluntary sale by consent and contract; réservé, mais est à vendre, donc potentiellement aliénable, in-alienable= en aliénation, signifiant que c’est volontairement pour la vente par consentement et contrat). (Droit) Transférer à un autre la propriété d’un fonds ou de ce qui tient lieu de fonds.

1er protocole

Le Droit Positif est un état d’artifice (hu-man being, signife: être une nuance de l’Homme, l’hombre de l’homme, un ersatz, une copie) où tous les droits sont écrasés, comme pour la citoyenneté, parce qu’une fois vendus, aucun droit n’est réservé, provoquant ainsi la force du contrat où les « droits » peuvent être appliqués positivement (et non par devoir naturel, mais par la force sous exigence contractuelle), comme le droit d’être taxé, permis, puni, mis en souffrance, et extorqué (exaction). Ce sont les droits des citoyens des États et Nations, dont ils peuvent jouir et qu’ils peuvent faire respecter « à égalité » avec tous les autres citoyens publics, communément appelés  » droits égaux « . Là encore, seuls les esclaves, sous quelque forme que ce soit, y compris les esclaves volontaires, ont des « droits égaux » et des libertés/permissions (c’est-à-dire de devenir citoyen public), ce qui n’est pas la même chose que de naître libre d’esclavage.

pro-tocolex… mercatoria…

Les renseignements véritablement privés, par contre, sont ceux, qui s’opposent aux renseignements personnels. Les renseignements privés sont des renseignements secrets, c’est-à-dire des renseignements qui ne sont pas publics et qui ne sont pas enregistrés (taxés) ou publiés (rendus publics). Toutes les Créations de Dieu (Jéhovah) sont privées (Clint défini Dieu, la Nature par un terme plus propre qui est Jehovah, alors que Dieu vient de ‘dis’= démon). Seuls les noms et les descriptions légalement imposés et imaginairement (légalement) attachés à la Création de Dieu sont publics et personnels.

Car toute la Création de Dieu dans la nature doit être personnifiée (nommée, numérotée, étiquetée et redéfinie) avant que le nom puisse être transformé en propriété ; avant que la Création puisse être légalisée. Un homme est légalisé lorsqu’une personne est volontairement attachée à sa Nature, ou en d’autres termes, lorsqu’un nom de famille ou un nom de débiteur et d’autres marques et signes sont attachés à son bon, prénom chrétien, dans un contrat d’exécution en vertu de la loi. Car l’homme est un terme de la Nature, et la personne est un terme de l’art(ifice).

[La Nature, Homme inclus, est vivante, c’est un ‘verbe’ donc c’est toujours une action… mais pour la propriété est l’esclavage… il faut transformer cela en illusion, en fiction, on a l’illusion que l’on peut arrêter/capturer la Nature, en prendre une photo, à un temps ‘T’ donné (El=Chronos=Hell), ainsi ‘figée’… s’ensuit, une petite mort, une Nature Morte, une Faux-to, presque un Dessin-Animé, qu’on peut remonter en film, copyrighter, projeter et vendre! Donc pour se l’approprier, il faut pouvoir la nommer, donc le discriminer (par Une/La Science), le meilleur vecteur étant, non pas tant la langue que plutôt le langage écrit! L’Imagie, l’Id(r)ôlatrie… et plus tu scies, plus tu découpes, plus tu crées (une illusion de création) des secteurs de commerce et de mots (et maux).

Légalisation ou Législation = ouverture de Marché

Le NOM/Nom devient un Acte, ce n’est plus une action, l’action est permanente, la Nature omniprésente, elle a des cycles mais n’est pas soumis au temps, l’Acte est fictif/passé, il est soumis au temps et donc à l’argent, la Nomination, Domination ou Numération fige/fiche la Nature, la transformant en objet manipulable (et vendable), une chose, elle ne fait plus un Tout Unique.

L’Illusion de l’enregistrement et l’enrôlement sont imagiques. Ainsi née la fiction, l’Homme tombe de l’Arbre de la vie et sa Singe Nature devient Signe de Nature, une représentation de la Nature (mais n’est plus Nature(l)), l’Homme ne vit plus dans le présent mais dans le passé-futur. Alors au fil du temps, il oublie sa/la Nature, il sait bien inconsciemment qu’il y cherche son Imagie, mais il ne voit que sa réflexion (mental) perdue dans les dédales de la prison virtuel du Mental…]

Ce qui appartient à l’homme est privé. Ce qui appartient à la personne assignée à l’homme est un statut public. Pourtant, les deux peuvent être décrits communément (vulgairement) comme personnels. Un homme sans personnalité publique (sans nom de famille, titre, numéro, marque, jeton, etc.) est sa propre ‘personne’ (Soi) indépendante de toutes les autres, et ses actions et sa propriété sont donc personnelles et intentionnellement privées. Un homme agissant en sa personne publique cependant, où il assigne et enregistre tous les biens taxés par cette personne (nom de famille, etc.), n’agit que dans une personne publique (personnellement), ce qui change le sens artistique de ce mot. Nous devons donc comprendre pleinement ce mot-magie dualiste afin d’être toujours du côté de la Vraie intimité non légale (un hors-la-loi).

Ici encore, nous avons l’ambiguïté du nom contre l’adjectif. Et dans la forme nominative sans substance, comme le nom (NOM) d’une personne, d’un lieu ou d’une chose comme « propriété », nous trouvons que ce qui est personnel dans le nom, comme ce qui appartient à la succession d’une personne, n’est pas un bien immobilier mais un bien mobilier d’une succession. Ce qui est privé, par contre, est de l’homme sans personnalité publique (sans marque publique de nom de famille et de numéro). Car la personne publique elle-même, en tant que citoyen d’un État, est un bien meuble de cet État. Les navires en mer, après tout, ne sont pas amarrés à la terre, et sont donc des biens meubles (personnels) et pas des biens réels (immeubles), tout comme les pièces de jeu sur un échiquier.

[Au début fut le Verbe, dans le langage originel, la vie est toujours en mouvement donc un verbe, pour l’attraper, il faut la nommer, le nom donne le poste, la position, l’enregistrement, la photo figée de la Vie donc déjà la Mort… un état zombie et mort-vivant… parfait pour le commerce! Du nom dérive l’adjectif qui qualifie la et les propriétés… L’Acte n’est pas l’action mais l’illusion de l’Action!]

Mais rien de tout cela, n’est dans le royaume de la Réalité…

Pour les besoins de notre compréhension, seule cette distinction entre ce qui est légalement « réel » et ce qui est « personnel » doit être comprise. En d’autres termes, ce qui est attaché (légalement réel/immobilier) au terrain (immobilier) et ce qui n’est pas attaché au terrain (meuble/personnel). Car comme nous le découvrirons bientôt, en tant que citoyens communs d’un État sans domicile dans aucun des États privés (étrangers), nous sommes tous (l)également des biens meubles (nous sommes des étrangers car aussi prisonniers de guerre). Nous n’avons pas de biens immobiliers, seulement des biens personnels enregistrés publiquement, ce qui signifie que tout ce que nous pensons posséder appartient en fait à la personne morale (le Nom mélangé) dans/sous laquelle il est enregistré.

Et si le lecteur n’a pas encore compris, les biens meubles (y compris les personnes fictives) sont la propriété de biens réels (domaines privés). Notre personnalité publique (statut) n’est pas la nôtre. Nous sommes seulement locataires, et locataires des biens immobiliers d’autrui. Mais rien de tout cela n’est réel dans la nature, les terres et les domaines n’ayant aucune substance réelle, « réels et personnels » n’existant que figurativement sur papier (en jargon juridique) comme un mensonge, dans la concession ou l’Acte. (La Carte n’est pas le Territoire).

Tout cela est pour l’homme de paille, des personnes en papier avec des TITRES en papier.

Même une personne publique mène ses affaires comme étant légalement  » privées  » dans de nombreux domaines. Cependant, en fin de compte, une personne publique n’a pas d’intimité naturelle réelle sous la Loi et l’Autorité, seulement l’illusion légale de celle-ci. Car tout ce que nous disons ou faisons en agissant en personne peut être utilisé contre nous dans une cour de justice, car ce n’est pas notre personne (soi) dans laquelle nous existons. Tout simplement, nous ne sommes pas le créateur de notre PERSONNE (ni de soi). Et donc, celui qui est le créateur du soi est la Nature, le créateur de la PERSONNE étant l’Homme/GOUVERNEMENT. Il n’y a pas de vie privée dans la public-cité.

Pour être clair :

Agir (verbe) personnellement, c’est agir sans fausse personnalité.

Se présenter (nom) en personne (personnellement), c’est agir sans agent (avocat).

Agir en général, c’est agir publiquement, comme sans gens (sans tribu/gens, sans gens d’armes privées et sans lignée de sang, et donc au sein d’une espèce ou d’une classe générale de goyim commun d’une nation).

Agir de manière spéciale, c’est agir sans espéciale/espèces et sans gène (légalement parlant, agir de manière particulière ou personnelle, pas de manière générale).

Agir en animal, c’est agir sans âme (sans anima, sans autodétermination). (pourtant justement, il y a l’Anima dedans le souffle de la vie… alors que l’Animation par le dessin ou le Dessin-Anima est une fiction. Clint dit que l’ajout du ‘l’ soustrait l’Âme d’Anima(l) ).

Si nous demandons à un professionnel son avis personnel, il peut nous donner son propre avis sans tenir compte du titre sous lequel sa personne opère. Son opinion personnelle n’est donc pas officielle, comme on ne l’est pas en vertu de sa fonction et de son titre. Elle est donc sans personne. Il s’agit d’un renseignement personnel ou privé, qui n’est pas donné publiquement dans le dossier. Un médecin peut donner son opinion personnelle selon laquelle il est prouvé sans aucun doute que certaines souches et préparations de Canibus tuent le cancer, mais son titre officiel interdit que son opinion privée soit exprimée à quelque titre officiel que ce soit. En effet, le médecin n’agit pas comme son propre vrai moi, mais respecte plutôt la personne et le titre d’une autre personne, ce qui exige l’adhésion aux lois de cette personne publique et de son titre en fiducie. Et vous vous demandez pourquoi je me méfie de la profession médicale ?

De même, si je comparais un Tribunal sans avocat (sans représentation), on peut dire que j’ai comparu en personne, mais seulement en tant que la personne d’un autre. C’est lorsque nous acceptons d’abandonner notre vie privée et de prendre la forme de la personne (statut) légalement créée d’une autre personne que ce mot devient artificiel et contradictoire à sa nature. Car si l’homme privé agit en tant que et pour lui-même seulement, la personne publique n’agit qu’en tant que et pour le moi artificiel d’autrui, sous réserve du principe de la personnalité de l’homme pour lequel il apparaît personnellement comme agent. L’homme privé n’a pas de relation de mandataire avec les juges administratifs publics et les officiers de droit public, apparaissant toujours comme son Moi réel sans respect des personnes morales. L’homme public ne peut pas apparaître comme son vrai moi, car son nom est une propriété publique et il ne peut être représenté que lorsqu’il agit en tant que personne fictive ou par un agent (avocat) pour cette personne.

Comme il est défini ci-dessus, le terme d’identité personnelle n’est que similitude (idem, identique= (l)égalité, simulacre/fiction), et ne s’exprime que par la conscience, l’évidence de la Vie et de l’Être. Il s’agit d’une verbosité. Mais lorsque l’identité personnelle est énoncée comme un nom, c’est-à-dire dans le nom légal et le titre, alors tout ce qui est combiné avec ce persona n’appartient pas à l’homme mais à la personne seule. Ce qui est personnel à l’homme agissant dans la personne publique d’autrui est donc toujours la propriété d’autrui. Les esclaves ne détiennent aucune propriété, et une personne est toujours un esclave en service (en tant que relation maître et serviteur). La personne détachée elle-même et tout ce qui lui est attaché (y compris l’homme et son cadavre inclus) est considérée comme un bien meuble de l’État, comme une « propriété personnelle », tout comme le bétail.

Et donc la grande différence ici est simplement ceci : un homme privé contrôle sa propre personne tandis qu’un homme public est contrôlé par sa personne. La loi de la marionnette contrôle et dépasse la loi (morale, religion) du maître. La souveraineté privée fait la loi sur les personnes de ses sujets publics.

Ici, peut-être plus qu’ailleurs, la différence entre le sens commun (vulgaire) et le sens latin (légal/élevé/figuratif) des mots est rendue horriblement significatif. Et c’est aussi la raison pour laquelle la Bible est catégorique : aucun homme ne doit respecter les Personnes sous quelque forme que ce soit. Car agir personnellement (sans personne) dans la Nature même de notre propre Création, et dans la perfection de l’Origine et du Design de celle-ci est le seul chemin spirituel. Tout art requiert une personnalité, le vase (vaisseau et voile) de l’artificialité est utilisé pour cacher la vraie nature de toute existence. Surmonter notre fausse personnalité, comme la cessation du respect et de l’utilisation de cette identité légalement ajoutée, est le plus grand de tous les mensonges à surmonter. Car l’esclave ne reçoit des bénéfices que s’il est enregistré comme esclave, tout comme un homme libre ne reçoit des bénéfices que s’il est enregistré sous le statut de la personne d’un autre, comme son esclave volontaire, en cautionnement.

Les hommes privés (ceux qui n’ont pas d’identité commerciale délivrée par l’État comme fausse personne) sont immunisés contre ces lois administratives des personnes, car seules les paroles d’un homme agissant en tant que personne publique (dans le commerce) et par signature de contrat peuvent être utilisées contre l’homme agissant en tant que tel (en tant qu’agent enregistré).

Sans une personne morale (id-entité), il n’y a rien (pas de nom/NOM) à administrer. Un homme privé n’est pas attaché au droit public, car l’homme privé n’est attaché à aucune personne publique (commerciale) à moins qu’il ne choisisse de contracter cette maladie et d’exploiter un navire dans un trust, une fiducie ou une agence de commerce public inter-étatique. Ainsi, les politiciens et les PDG de sociétés ne se soustraient pas simplement par magie à la punition (sanction) du droit public, ils cessent simplement leur existence temporaire et légale dans toute personne publique qu’ils représentent en tant que PDG. Ils enlèvent leur faux masque de personne de confiance public par le truchement de la publicité d’entreprise, avant que toutes accusations ne soient portées contre eux, le garant (homme) de cette agence. Et donc oui, ils s’en tirent littéralement, légalement, en faisant le mort civile volontaire d’un supposé bureau d’une personne fictive qui aurait commis ces crimes. La personne, en d’autres termes, est donc sommairement exécutée. Le nom et le titre sont mis à mort civilement (et desfois médiatiquement). Mais l’homme vit un jour de plus pour corrompre et piller sous un nouveau nom qu’il se donne en privé.

entrust (enconfiance, inconfiance, unconfiance, inconscience)…

En bref, le pouvoir de créer sa propre fausse personnalité au sein d’un trust et d’exploiter ensuite commercialement ce faux nom commercial (nom de marque) par l’intermédiaire d’une autre entité appelée trust (en fiducie… sous contrat) est le pouvoir de commettre un crime pratiquement illimité et de se pardonner en toute impunité (permission par contrat).

Un autre mot pour cela est la souveraineté (la vérainté pour jack :)… vér(a)i(n)té… qui verra, verra et voit… uni-verain). Nous, cependant, ici dans le commun général, sommes livrés (confi(n)és) à la naissance à une personne (statut) de l’état, non pas de notre propre choix, et sans accès à cette fiducie/confiance, ce qui signifie que nous ne sommes pas le créateur de notre propre personne, et n’avons donc aucune capacité souveraine tout en étant soumis à la juridiction et à la loi publiques (les parents et l’enfant n’ont pas accès au trust, ce n’est pas leur création, ils ont abdiqué leur ‘souveraineté’ naturelle, ainsi que leur Nature réelle).

Nous pouvons maintenant comprendre que l’application de ce terme et de bien d’autres artifices, dépend uniquement de la condition de l’homme et de sa « personne » (statut), qu’elle soit publique ou privée. Par conséquent, notre propre utilisation de tout mot n’est considérée que selon le statut (persona) dont nous parlons, notre propre position ou dis-position in personam. Je ne peux pas réclamer publiquement des dommages personnels si je n’ai pas de personne publique ou privée (une réputation ou un caractère reconnu par la loi), car je ne pourrais apparaître dans aucune représentation fictive pour faire une telle réclamation (légale) fictive. Je ne peux pas invoquer le droit public des personnes sans être l’agent d’une personne publique. Je serais comme un poisson hors de l’eau, un Vrai homme essayant de faire appel à un personnage de dessin animé inanimé. Ma langue serait étrangère, ainsi que ma propre personne et la Loi.

Ainsi, le pardon absolu et illimité est une partie nécessaire de la liberté naturelle sous Dieu. C’est seulement sans un tel amour dans le pardon que les tribunaux et les corporations d’avocats existent. Ces avocats du diable doivent promouvoir le diable pour assurer les réactions diaboliques de nous tous. Pardonner est divin. Et ainsi, quand nous pardonnons sans besoin, sans permission ou sans décision d’un juge ou d’un magistrat faussement titré dans la légalité non spirituelle de l’homme, nous enlevons le pouvoir de ces maîtres du diable en robe noire en contournant simplement leurs « opinions » sur nos actions privées. Les avocats seraient peu nombreux si le pardon était la première et la plus haute loi. Cependant, puisque les avocats ne s’occupent que de fiction, et puisque l’homme du commun a tourné le dos à Dieu au lieu de sa fiction légale, nous jouons dans ces parcs d’attractions d’avocats toute la journée, chaque jour et chaque nuit de notre fausse existence. Nous nous poursuivons mutuellement (par l’intermédiaire des avocats) pour des dommages causés aux choses fictives, de l’argent et des biens immobiliers qui ne sont pas réellement les nôtres.

Le (par)don est un vilain mot en droit. C’est-à-dire que le mot pardonner n’est pas listé dans la 4e édition de Black’s Law, ni dans le Dictionary of Law de William C. Anderson de 1889, le mot pardonner se lit comme suit : voir « excuse, miséricorde et pardon ».

Il n’y a pas de profit ou de gain dans le pardon (eh oui, par don, tu as donner, tu leur as tout donner, tu ne peux donc profiter de tes gains, ni gagner), et donc le pardon n’est tout simplement pas permis (il n’est pas taxé, ni monétisé), sauf pour pardonner les crimes des dieux légaux. Ainsi, le président nouvellement élu pardonne les crimes du dernier dans chaque nouvelle administration. En d’autres termes, lorsqu’il s’agit du personnage commun, seul le dieu (juge) de la cour peut pardonner, en déversant sa bienveillance de miséricorde et de pardon sur le pauvre con qui prie pour un tel pardon de l’erreur légale aux dieux des choses légales. Étonnamment, des mots comme amour, pardon, charité, et des concepts « spirituels »  similaires sont traités avec beaucoup de mépris ou comme de simples mots d’incitation à contracter légalement, encore une preuve que l’esprit de la Parole de Dieu (le Fils) tue l’artifice. Ces termes de la Nature sont des concepts mauvais dans le pays de l’artifice, des images miroirs de la Vérité sans substance reconnue. Simulacre. Ils sont notre solution, si nous pouvons seulement trouver le chemin en trouvant notre Vrai moi… (il utilise les concepts comme le pardon/par-don comme ils le veulent, comme ils le définissent! Car ils font la/leurres lois).

Mais ne prétendons pas non plus que certaines actions de l’homme puissent jamais être pardonnées. Celles-ci doivent être traitées sur une base individuelle, sans qu’il soit nécessaire de recourir à une structure juridique entière où toutes les actions publiques des personnes publiques doivent être entendues par les autorités publiques constituées. Seuls les hommes privés peuvent vraiment se défendre dans le cadre des protections de la Loi, même de la plus haute Loi.

Le Christ n’était en aucun cas un pacifiste (un pacsifiste est un contracteur… qui empêche de respirer, ce n’est pas l’anima!), car la Parole de Dieu nous ordonne de quitter les villes en ramassant notre pieu/poste (en abandonnant notre « personne » publique) en nous éloignant physiquement et mentalement de ces structures immorales de l’Église et de l’État et en ne faisant jamais marche arrière. C’est un acte d’agression (non-gré/accord) négative (droit négatif naturelle). Ce n’est pas un état de paix (pacte), mais de quarantaine, d’auto-exile du mal, et de mépris total et absolu pour toute fiction juridique qui donne du pouvoir aux titres flatteurs et aux fausses créations de la loi et de l’imagination de l’homme.

Et que celui qui ose porter atteinte à l’Église (le Peuple) du Christ et à la Nature pure prenne garde, car aucune loi légale ne peut protéger la personne d’un homme de la colère du Peuple privé de Dieu. L’exil, l’exclusion et l’ostracisme est la plus ancienne punition dans les livres, et est souvent appelé au figuré comme l’exécution ou la mort, et même métaphoriquement la décapitation de l’homme, en raison de la notion d’être aboli ou non reconnu comme faisant partie d’une tribu ou d’une ville dans laquelle les têtes (sans noms) sont comptées dans le recensement. Une mort civile, fictive.

…. Ici, on entrevoit pourquoi les souverains anglo-saxons donnent autant d’intérêt à la Bible (qui siège au Tribunal, c’est un livre de Loi(s)), en tout cas, une autre interprétation … on voit aussi la puissance de l’exclusion sociale et de l’exclusion numérique (FB et réseaux sociaux) qui nous isolent volontairement par construction et ingénierie sociale…

Soyons clairs quant à la différence entre les biens personnels et les biens réels dans le langage juridique, en nous rappelant que sous la légalité de la fiction, rien n’est réellement réel (de la nature divine de la création). Tous les mots sont confirmés et acceptés mensonges en jargon juridique.

Ainsi, ce terme d’art(ifice) réel se réfère à la terre en papier (avec titre, la terre plate) (comme un bien immobilier), ainsi qu’à la propriété du domaine qui est soit meuble ou immeuble sur elle. Les personnes publiques NE PEUVENT PAS TENIR DE TERRAIN/TERRE (elles sont déjà ENTERRE).

Les personnes publiques ne sont jamais que des biens meubles non réels, et donc toujours des biens personnels. Ils ne peuvent pas se tenir debout (avoir un statut légal) sur leur propre terre, seulement sur la terre d’un autre seigneur de terre (dieu). Ce qui est déjà la propriété d’un autre, ne peut pas détenir d’autres biens en toute impunité de titre parfait, car quelqu’un doit posséder le bien d’origine.

Les personnes publiques sont autorisées à posséder et à utiliser des biens meubles ou personnels, tels que des bijoux et des objets brillants ou technologiques qui nous distraient et nous divertissent, mais elles ne peuvent jamais être propriétaires fonciers. Les personnes publiques (toutes en attelage) n’ont pas de sang, et la terre n’hérite jamais qu’aux héritiers du sang. La propriété ne peut pas détenir de propriétés, et tous les habitants d’un État sont des biens publics. C’est la différence majeure et la plus importante entre ce qui est légalement considéré comme une personne privée et une personne publique, car sans terre, aucun homme ne peut être libre, car il doit toujours vivre (louer) et marcher (intrusion= coupable= payer= pays) sur la terre d’un autre.

La citoyenneté est donc un permis général ou une « servitude » permettant aux personnes publiques de marcher sur des lieux publics, mais pas nécessairement privés. Aucun esclave (sujet) ne détient jamais la terre sur laquelle il travaille et squatte. Le privé est propriétaire du public dans tous les cas, et donc une personne publique est la propriété des hommes privés (tapis dans l’ombre) qui ont créé la nation de la corporation (en tant que père et principal des choses créées publiquement).

La citoyenneté est toujours, sans exception, une personne publique. Et le public (agence) n’existe que pour servir le privé (principal). En d’autres termes, une personne publique n’a qu’un seul père (La Patrie, l’État, le District en tant que créateur des personnes morales, des lieux et des choses), qui est la nation/district de César (saisie, césarienne de la propriété), car l’homme a abandonné le domaine de la Nature et de la Réalité de Dieu (Divin) et ne peut donc pas réclamer les Armoiries du droit du sang de son Père Naturel ou Spirituel, mais seulement le créateur artificiel de sa personne.

Et tous les dieux des nations sont des idoles…

Si ce que vous pensez posséder comme propriété est enregistré (taxé) au nom légal (personne) d’un autre, alors en Vérité vous ne possédez rien du tout.

Ce que vous considérez comme un bien personnel est en fait sous la saisie du district de César (détresse/saisie/destraindre).

Et ce qui est le plus ironique dans cette réalisation, c’est que dans la Réalité, c’est-à-dire dans la Nature (la Propriété de Dieu de la Création), l’homme ne possède que des choses damnées, car tous les noms de toutes choses sont en effet damnés et seulement fictifs (discrimination), et seules les personnes damnées peuvent posséder ce qui est nommé. Une personne morale n’existe que dans une damnation spirituellement morte (Satanisme).

Nous sommes si complètement détruits dans notre spiritualité et notre harmonie avec la Nature de Dieu que nous avons permis que le monde entier soit enregistré et possédé par des noms fictifs de corporations (personnes artificielles) et de fictions légales appelées corporativement comme « personnes physiques ». L’homme a tout abandonné à la fiction et est donc entièrement régi par les noms (les NOMS) de son propre artifice imaginaire. Notre conscience a été re-dirigée (programmée) au point que nous ne reconnaissons collectivement qu’une simulation de la Réalité, le symbolisme de Dieu (la Religion du Papier!), et seulement la forme artistique de la Nature, comme si nous vivions dans un tableau de la Vie réelle ou que nous étions piégés dans son reflet froid. Appeler cela l’enfer et appeler ce style de vie comme du satanisme totalitaire (contraire à la Nature) est l’euphémisme de l’époque.

Le nom de famille, sur-nom est aussi appelé « nom de païen » (pays, paie). Un autre mot pour les Gentils est ‘commun’ (= prostituée), ou ‘goyim’, en tant qu’adorateur païen des faux dieux des nations dans lesquelles le « nom entier » ajouté est enregistré. Ce n’est que le nom hérité, assumé et contracté (comme une maladie) du statut du parent. Le parent n’a pas besoin de considérer ou de choisir ce nom de famille (mot), car il est automatiquement transmis à chaque nouveau sujet des dieux des nations selon le statut dans lequel il représente les parents. Mais le nom de famille ou sur-nom seul n’est pas considéré comme un nom personnel (ni comme un pro-nom personnel). Le nom de famille est donc une création et un terme de droit (fiction).

Cependant, lorsque le premier nom (personnel/seul) est placé avec le dernier nom (gentilhomme/commun/goyim) comme un groupe de mots qui décrit une personne « individuelle » constituée en société comme une fiction du droit, alors le nom complet est également considéré comme le nom personnel d’une entité juridique, également appelée « personne physique ».

Mais ce mot personnel, utilisé ici dans la description artificielle du nom complet/entier dans la fiction, est la version légale du mot, alors que le terme personnel tel qu’utilisé pour le premier nom de la nature (prénom), le don de Dieu, fait référence au sang et à l’esprit sans tache.

Dans le nom complet (mélangé), nous agissons dans la personne (incorporation) d’un autre, et donc nous agissons personnellement dans ce sens juridique (un bâtard). Nous agissons artificiellement comme une personne qui n’est pas la nôtre, et non comme notre Soi réel. (Nous commettons donc tous les maux de la Terre sous/en le(urre) NOM… nous prenons cette responsabilité, ce droit et donc les punitions qui vont avec… toujours coupable car toujours coupable de fiction et de refus de la/sa Nature).

Mais avec ce premier nom (prénom) chrétien seulement, nous agissons ‘personnellement’ en tant que notre propre Soi. En d’autres termes, le nom (chrétien) donné seul n’est pas une personnification de soi, c’est le Soi réel ou effectif. Le nom complet (prénoms + FAMILLE), cependant, représente ce même homme prétendant être un personnage fictif dans un nom impersonnel et légal de l’État, car pour porter le nom de famille d’un autre, il faut une relation contractuelle de ce malaise avec son propriétaire (la vraie union bâtarde). Et donc l’homme doit apparaître comme/dans la nomenclature (groupe de mots) (nom clef= sésame et/ou prison) qui constitue cette incorporation des prénoms et des noms de famille, comme la propriété d’un autre et sous la loi d’un autre. Il n’est pas différent de la relation employeur/employé, l’employé (agent) agissant au nom de son employeur (mandant). Cette personne est un bien-fonds meuble, comme un bien mobilier, et la principauté qui fait la loi du pays fait donc la loi de la personne morale, ordonnant que cette loi soit la loi la plus élevée dans le « pays » fictif (juridiction) du territoire de la nation.

Pour suivre le Christ, il faut toujours marcher comme son vrai Moi dans son évidence Organique vivante, et ne pas prétendre être autre. Être corrompu par des noms et des titres légaux, c’est suivre le chemin satanique (celui qui est contraire à la Vérité, à la Nature, et à nous-mêmes en général, à Jéhovah). C’est l’histoire du christ ; la Parole (pas rôle) comme Loi de Dieu. La Bible est très claire à ce sujet ; c’est-à-dire, si vous ne la lisez pas en latin-de-cuisine pendant que vous agissez en tant que personne juridique tout en essayant de satisfaire votre propre ego, tout cela causé par de fausses id-entités créées par l’artifice de l’église et de l’État, et tout en essayant de protéger votre « domaine » de richesses et de biens acquis par la personne morale, sous de faux titres, complètement contre les enseignements scripturaires.

Et donc la question qu’un homme de Dieu, un vrai disciple du Christ (Être soi, choisir son prénom, refuser le NOM) doit se poser est simplement celle-ci : quand je dis la phrase « Je suis… », que représente le mot  « Je » ?

Suis-je moi-même ou suis-je une entité juridique fictive créée par quelque chose de non naturel?

Est-ce que j’agis à la première personne comme mon propre Moi ou impersonnellement à la troisième personne, un étranger?

Si je prétends être Clint Richardson, alors je confirme que mon deuxième moi est une fiction, et toute ma conversation publique sera considérée à la troisième personne (par procuration) (agent de Il, IL, ILLIES, EL/AL) au lieu d’être la mienne, tout comme l’homme prétend être le pape et le roi. C’est là le piège juridique. Car pour réclamer des protections légales (artificielles) sous la troisième personne, il faut croire (aimer) cette personne fictive à laquelle ces protections assurables sont attachées. Et donc nous vivons constamment dans cette identité légale de la troisième personne, jamais comme notre propre homme. Et nous avons été entraînés à nous reconnaître les uns les autres seulement en troisième personne (en nom légal seulement) aussi, de sorte que rien de ce que nous faisons dans la vie n’est basé sur la Réalité, ni sur une intention spirituelle, charitable, aimante.

(je rajouterais la deuxième personne, celle qui vient après le « Je » et le « Prénom », celui qui « Tu » et le Saint Siège ou Holy See/Sea, l’œil qui voit tout et qui vous voit, le « Vous » et le « Qui êtes/est Vous? »).

Arrêtez-vous ici et pensez à la façon dont votre nom légal complet est écrit et placé sur tous les documents légaux.

Car nous devons nous rendre compte que la langue est une arme, qui nous fait agir non pas en tant que nous-mêmes, mais à la première, deuxième et même troisième personne. (Nous sommes possédés). Quel nom précède l’autre dans l’ordre?

Est-ce que le nom dans lequel votre maison est enregistrée est par exemple écrit comme Richardson, Clint, où le nom chrétien prend la position secondaire ?

C’est le « nom (NOM) qui procède (précède) du verbe (état d’être= prénom) » (Sujet-Verbe-COD), le nominatif du nom chrétien comme don et grâce de Jéhovah. C’est le placement de la marque du domaine temporel (Saturne, Satan, Stan, State, El, Chronos, Le Temps) devant l’esprit intemporel de Dieu, contractant la maladie du légalisme sur l’âme fictive entachée.

C’est toujours le nom de famille (le plus élevé dans l’ordre et la volonté) qui est convoqué au tribunal. C’est toujours le nom de famille qui est assuré. Et tous les biens sont enregistrés sous ce nom de famille légal.

Dans la fiction, le nom chrétien (prénom, origine) est pratiquement ignoré, utilisé seulement comme l’une des nombreuses marques et signes pour identifier (adjectif) et rendre certifiable et non ambigu l’homme agissant dans ce péché de droit et d’agence comme caution, assurant l’apparence de l’utilisateur et du bénéficiaire de ce nom de famille lorsqu’il est invoqué comme un démon par son maître (principal).

Ce qui est fait in person-âme n’est la propriété de personne.

Le plus important dans cette notion est que l’id-entité d’une personne repose aussi sur ce qu’elle prétend être, son créateur ou son antécesseur.

Qu’est-ce qui a naturellement créé l’homme, et qu’est-ce qui a légalement créé la personne? Le sang ou l’encre? La chair ou le papier? L’âme ou la personne? Dieu/La Nature ou le gouvernement?

L’identité re-présentée prévoit la loi à laquelle on adhère, et l’enfant suit le statut (persona) de son père. Le père d’une personne ayant la citoyenneté n’est jamais que l’État (district romanisé de César). Nous voyons donc l’importance du nom chrétien en tant que tel, comparé au fait que ce nom spirituel est rattaché et incorporé au nom de famille légal de l’État et donc à la loi légale de l’État.

« Une addition [à un nom] prouve ou montre une minorité ou une infériorité. »
Additio probat minoritatem. (Blacks’ Law 4th)

Le nom de famille est un ajout qui, lorsqu’il est invoqué par nos actions, notre signature et notre utilisation du crédit ou de la propriété d’autrui, prouve légalement que notre nom chrétien donné par Dieu est inférieur à ce dernier nom légal (supérieur) (anti-Dieu/Nature), et il en va de même pour notre Loi morale et spirituelle.

AGGREGATIO MENTIUM, aggregatus#la, agréger:

Il vient du latin aggrégaremettre en troupeau ») formé par le préfixe ad- avec le mot grex, gregis, (« troupeau »)… égrégore?

Au contact des populations septentrionales, Yahvé est assimilé à El, le dieu suprême des Cananéens, auquel il va se substituer tout en agrégeant les caractéristiques de Baal, le dieu de l’orage.

Arrêtons-nous ici et voyons quel est le but de ce processus de dénomination. Car nommer une chose, c’est la revendiquer, c’est lui imposer sa volonté.

Car quoi de plus puissant et de plus influent qu’un nom?

Porter son nom, c’est montrer qui est son maître. Dieu ou Mammon.

La nature ou ce qui lui fait obstacle. Sans un nom, un homme (ou quoi que ce soit ou n’importe où ailleurs) ne peut être enregistré et taxé. Et donc nous devons comprendre ce but du nom, car le nom est un acte de guerre ou de Paix, de haine ou d’Amour, de commerce ou de Charité.

Ce que nous permettons d’ajouter au nom chrétien (le don de la grâce de Dieu) est ce qui déclare notre intention. Le nom légal, par exemple, n’est pas un don de Dieu. Il est officiellement donné (imposé/enregistré), un titre de fonction, de classe, de rang, et de style dans la fiction légale satanique (adverse). Ajouter à la Création de Dieu est un manque de respect envers la nature même de la Perfection de la Conception de Dieu. Les noms sont conçus pour distinguer ce qui n’est pas, pour identifier l’homme autrement ambigu et non identifiable en le transformant en une marchandise reconnaissable (re-connaissance= intel-ligence= information) et taxable. Nous ne pouvons être considérés par le nom formel (juge/juridiction) que comme une autre forme de nom (nom légal), jamais comme le verbe substantiel de l’Existence et de la Vie spirituelle que nous sommes réellement à tout moment.

(Le  verbe ‘Être’, toujours au présent et/ou à l’infinitif, Je Suis= Sujet Verbe= Être (état d’Être)= Jésus= Christ= Prénom Chrétien, Je suis Christ est suivre la ‘religion/lien’ et les lois de la Nature… l’état d’Être est toujours permanent et toujours en action, toujours vivant… encore ici, rien de religieux, simplement des comparaisons et métaphores).

nam#Latin

nam

nam#Old_English

niman#Old_English

naam#Etymology

मार्नु

मर्नु

Naam, Nam dans d’autres langues signifie aussi ‘Eau’…

NAMATIO

Pour être clair, le processus de dénomination légale et d’ajout (ad-diction) d’un nom de famille enregistré a un seul et unique but, celui de distraire, d’angoisser, de mettre en fourrière, et donc de placer l’homme sous la loi légale, le gouvernement, et la sanction (sanctification ou thanksion, no mercy! ou misère-i-corde) en attachant son nom chrétien avec un nom de famille « légal » émis par l’état (birthed, naissant, n’est sang) qui est enregistré et certifié comme la création d’une entité légale, appelée communément une « personne » légale.

Étonnamment, le mot César porte aussi le sens de saisie, de détresse et de distraction. Et ces mots ont tous la même signification que le mot district (stricture= contraction, dis= mal). L’homme, par son nom (personne), est saisi (étreindre en contractant et serrant) à la naissance (contractions des eaux, contrat d’amirauté, contre-acte-sion) et mis dans un état d’être légal et artificiel (district de Columbia). Et donc l’empire de Rome de César n’est pas un lieu géographique autant qu’une juridiction ou un district légal. Plus sur ce sujet à venir…

L’ajout du nom de famille est en fait un signe de délivrance (livraison, affranchissement= Poste= Franchise), une marque de condamnation, les chaînes (de la Franchise NOM) de la personnalité à la suite d’être condamné (préjugé) à une existence légale spirituellement morte. Une des réalités les plus difficiles à affronter pour cet auteur a été d’accepter qu’aux yeux des dieux méchants (magistrats) des nations, les gens communs sont considérés simplement comme des goyim, comme du bétail (biens meubles) utilisé dans un système de gestion du capital humain (une ferme humaine planétaire). La seule différence entre le bétail et l’esclavage du capital humain est que le bétail n’a pas le choix, alors que l’engagement volontaire et la servitude sont aussi vieux que les rois et les gouvernements. Nous choisissons notre maître tout comme nous choisissons d’honorer nos noms et titres supplémentaires donnés par ce maître (faux dieu). Et comme nous allons le découvrir, ce processus de dénomination change notre statut et notre considération légale, car nous n’avons plus les droits inaliénables (droit du sang) donnés par Dieu/Nature et l’immunité à la loi de l’homme sur toutes les fictions légales, mais nous sommes considérés comme des personnes publiques sans droits naturels réservés, ce qui est la même chose que pour tout animal domestique. Le nom de famille est la marque/MARQUE (Market/Marché), et la marque signifie une bête (nom/personne) de charge (taxe), plaçant l’homme dans le domaine éminent de ceux qui ont ordonné la « terre ».

NAMIUM

VETITUM NAMIUM

addendum

addictio

Ce terme latin ‘namium vetitum‘ est la description parfaite de ce qui se passe dans l’enregistrement de la naissance publique, où nos enfants sont habituellement poussés dans l’étau de la juridiction fédérale étatique, littéralement un lieu illégal (de facto/illégitime), en prétendant que ce fardeau de la nouvelle vie est préjudiciable à l’État (les gens du pays, les gens privés) où il s’est produit, la naissance plébéienne d’un autre « mangeur inutile », « sans dents » et sans héritage de sang. Une graine infructueuse.

PRENDRE – Il s’agit d’une expression technique qui signifie avoir le droit de prendre, comme le fera un légataire en vertu du testament.

Prendre signifie aussi saisir, comme prendre et emporter. L’acte de saisir un objet, avec ou sans l’enlever ; une prise criminelle ne suffit pas sans un emport, pour constituer le crime de vol. (q. v.) Et lorsque la prise a été légale, aucun acte ultérieur n’en fera un crime. 1 Moody, Cr. Cas. 160.

Prise = « Harceler, chasser, capturer, tuer ou collecter, ou tenter de harceler, chasser, capturer, tuer ou collecter. » – Département du commerce des États-Unis – NOAA (NMFS) tel que défini dans la MMPA

Prendre = « Harceler, blesser, poursuivre, chasser, tirer, blesser, tuer, piéger, capturer ou collecter, ou tenter de se livrer à une telle conduite (sans permis 😉 ) » – Département du commerce des États-Unis – NOAA (NMFS) au sens de l’EESA

addictio

On est livré (abandonné) à la naissance légale dans la juridiction de ces magistrats municipaux (pirates des mers) opérant dans le bureau des administrateurs de l’agence fédérale, car les parents en addictio ont donné notre état civil à l’Etat, qui a assumé nos biens et responsabilités en personne (in person-ame) et en assurance par la délivrance (naissance) d’un nom créé et enregistré (taxé) d’une personne morale (personne publique).

Avec sa protection, l’enfant est censé être en sujétion civile toute sa vie durant. Tout cela s’est produit avec l’ajout du nom de famille d’état au prénom chrétien consenti et certifié par nos parents involontaires et volontairement ignorants sans aucune compréhension réelle de leur propre part, puis confirmé et ratifié par nos propres actions en vieillissant et dans notre non-évitement de l’utilisation de ce nom légal et de sa signature confirmant et consentante.

Nous avons été réassignés dans une société agrégée (district) induite par nos noms complets (ci-joints), où le nom de famille (légal) assigné et joint de l’état l’emporte sur notre prénom donné par Dieu. La fiction l’emporte sur la nature. Et ce n’est qu’en se débarrassant de cette incorporation de la personne que la vraie loi naturelle des écritures peut l’emporter sur la loi légale, qui ne s’applique qu’aux personnes fictives, afin que les hommes puissent agir sur leur croyance (amour) consciente et morale (religieuse) selon leurs propres principes moraux et religieux qui sont en accord avec la loi non écrite de Dieu et qu’ils le fassent au nom non écrit (non enregistré) du christ (nom chrétien seulement).

Tant que cette séparation des noms n’aura pas eu lieu, tant sur le plan mental que sur le plan juridique, l’homme est tenu de respecter la loi des personnes en tant que garant des biens de l’État. Et s’il ne suit pas dès lors cette loi supérieure de Dieu, en ne vivant que selon l’exemple du Christ (dans sa propre nature), il sera aspiré de nouveau dans la fiction juridique. Car nul homme n’est au-dessus de la loi de sa propre nature. Cela serait impossible dans la Réalité, car nous ne pouvons jamais réellement échapper à notre Vraie Nature, seulement prétendre être quelque chose que nous ne sommes pas par les inventions de l’homme et les conceptions artistiques de la fiction.

Nous devons récupérer notre propre identité personnelle, et donc notre Soi Réel, de cette fiction publique tout en tuant simultanément l’ego intérieur qui justifie nos propres actions malfaisantes en artifice et agit la partie de l’identité, en devenant purement privé dans nos affaires, en récupérant la Vraie liberté religieuse en abandonnant les fausses libertés (franchises/droits) de l’état qui interdisent légalement nos actions religieuses (Pure Charité) de nos croyances religieuses (Amour).

Et ainsi, assez étrangement, nous devons être et appar-aître comme le même homme, comme notre Vrai Soi, et jamais dans une simulation représentative, jamais dans la similitude (ni dans l’identique) de personnes « naturelles » artificielles. Nous devons nier tous les titres, numéros et autres marques accordés par les corporations (agences) de l’État. Nous devons toujours être le même homme que nous sommes, à l’intérieur et à l’extérieur, qu’il s’exprime à l’extérieur ou à l’intérieur. Nous devons toujours vivre dans l’esprit et jamais dans la fausseté de la chair légalisée.

== Accorde ta guitare ou désaccorde ta guitaré ou l’inverse! ==

Identité et Personne

IDENTITÉ – Dans le droit de la preuve. SAMENESS ; le fait qu’un SUJET, une PERSONNE ou une CHOSE devant un tribunal est le même que celui qu’il est REPRÉSENTÉ, RÉCLAMÉ ou ACCUSÉ d’être (Identique, Idem). (BLACK’S LAW 4th)

IDENTIFICATION – Preuve d’identité ; la preuve qu’une PERSONNE, UN SUJET OU UN ARTICLE devant le tribunal est le même qu’il est ALLÉGUÉ, CHARGÉ OU RÉPUTÉ à être ; comme lorsqu’un témoin reconnaît le prisonnier à la barre comme étant la même personne qu’il a vu commettre le crime ; ou lorsque l’écriture, les biens volés, la monnaie contrefaite, etc. sont reconnus comme étant les mêmes qui sont passés sous l’observation de la personne qui les identifie. (BLACK’S LAW 4th)

IDENTITATE NOMINIS – En droit anglais. Une ancienne ordonnance (maintenant obsolète) qui s’appliquait à une personne prise et arrêtée dans le cadre d’une ACTION PERSONNELLE, et envoyée en prison, PAR FAUSSE PRISE POUR UN AUTRE HOMME DU MÊME NOM. (BLACK’S LAW 4th). (IDENTIQUE, IDE(N)TIQUETTÉ).

« La véritable identité est recueillie à partir d’une multitude de signes »
Identitas vera colligitur ex multitudine signorum. Bac. Maxim. (BLACK’S LAW 1st)

EN PERSONNE – Une partie, demandeur ou défendeur, qui poursuit un bref ou un autre processus, ou qui semble mener sa cause en cour LUI-MÊME, au lieu de passer par un avocat ou un conseiller juridique, est dit AGIR ET APPARAÎT EN PERSONNE. (BLACK’S LAW 4th)

IN PERSONAM, IN REM – Dans le DROIT ROMAIN, DONT ILS SONT TOUJOURS PRISES, les expressions « in rem » et « in personam » étaient TOUJOURS OPPOSÉES À UNE AUTRE, un acte ou une procédure in personam étant un acte ou une procédure fait ou dirigé contre ou en référence à UNE PERSONNE PARTICULIÈRE, alors qu’un acte ou une procédure in rem était un acte ou une procédure fait ou dirigé en référence à AUCUNE PERSONNE PARTICULIÈRE, et par conséquent contre ou en référence à tous ceux qu’il pourrait concerner, ou « tout le monde ». Ces expressions s’appliquaient particulièrement aux actions ; une actio in personam étant le recours où une réclamation contre une personne spécifique SORTIE D’UNE OBLIGATION, qu’elle soit ex contractu ou ex maleficio, alors qu’une actio in rem était celle qui était intentée pour faire valoir un DROIT de propriété, de servitude, de statut, etc. De cette utilisation des termes, ils en sont venus à être appliqués pour signifier l’antithèse de  » disponible contre une personne en particulier  » et  » disponible contre le monde entier « .

Ainsi, les droits du jura in personamare sont principalement disponibles contre des personnes spécifiques ; le jura in rem (droit réel), droits disponibles seulement contre le monde entier. On dit donc qu’un jugement ou un décret est in rem LORSQU’IL LIE LES TROIS PERSONNES (FIDUCIE, TRUST). Telle est la sentence d’un tribunal d’AMIRAUTÉ sur une question de PRIX, ou un décret de nullité ou de dissolution de MARIAGE, ou un décret d’un tribunal dans un pays étranger quant au statut d’une personne qui y est domiciliée. Enfin, les termes sont parfois utilisés pour signifier qu’une procédure judiciaire s’exerce sur UNE CHOSE OU UNE PERSONNE. Ainsi, on dit de la cour de chancellerie qu’elle agit in personam, et non in rem, ce qui signifie que ses décrets opèrent en COMPOSANT les défendeurs pour faire ce qu’on leur ordonne de faire, et non en produisant directement l’effet. Jugement in Personam. Voir ce titre. (BLACK’S LAW 4th)

IN INDIVIDUO – Sous la forme distincte, IDENTIQUE ou INDIVIDUELLE, en espèce. (BLACK’S LAW 4th)

IN SPECIE – Spécifique ; spécifique ou/et espèce. Ainsi, décréter la performance en espèce, c’est décréter la PERFORMANCE spécifique. En nature ; sous la MÊME ou la MÊME FORME. ON DIT QU’UNE CHOSE EXISTE EN ESPÈCE LORSQU’ELLE CONSERVE SON EXISTENCE EN TANT QU’INDIVIDU DISTINCT D’UNE CLASSE PARTICULIÈRE. (BLACK’S LAW 4th)

« L’action in personam est celle par laquelle nous poursuivons celui qui est dans l’obligation de faire ou de donner quelque chose. » -IN PERSONAM ACTIO EST, QUA CUM EO AGIMUS QUI OBLIGATUS EST NOBIS AD FACIENDUM ALIQUID VEL DANDUM. Creuser. 44, 7, 25 ; Bract. lOlb. (BLACK’S LAW 4th)-=-

Bien entendu, il n’existe aucune obligation sans contrat. Mais notre action volontaire in persona, utilisant les marques et signes et l’identité d’une autre personne, comporte le contrat implicite d’être lié à la fois par la loi de cette personne morale (statut) et par les décisions judiciaires (précédents) causées par tant de fausses prières juridiques devant nous.

Nous ne devons pas confondre l’état négatif du devoir permanent selon la Loi naturelle et l’obligation positive créée par le contrat juridique et par le statut de la personne. L’un est spirituel et non écrit, l’autre est légal et représente la loi stricte des personnes publiques. Ils sont opposés, comme le bien et le mal.

Alors, de quelle personne agissez-vous ?

Votre personne est-elle votre propre personne privée, ou est-ce une « tierce personne » louée en agence et sous la contrainte et la détresse du district de César ?

Agissez-vous à la première ou à la troisième personne ?

Connaissez-vous au moins l’enfer du débiteur que vous invoquez à chaque utilisation de l’identité et de la signature de l’homme de paille ?

Seul un homme ayant une connaissance approfondie de ces arts du langage peut répondre honnêtement à ces questions.

En tant qu’hommes Divin, nous n’utiliserions jamais de verbes impersonnels, car nous vivons en tout temps dans la Réalité, dans le présent, et ne respecterons toutes choses que par leur Réalité (par leur Vraie Nature à la première personne). Ainsi, toutes les choses seraient naturellement personnelles en ce qui concerne notre esprit, notre corps et notre âme en tant que seule Unité interne et externe du Soi, car le Vrai, l’homme évident n’est qu’une partie de la Nature et donc Un avec elle.

Les noms de toutes choses (mots) n’auraient aucune signification ou valeur légale dans Mammon, restant purement comme des descriptions sincères et des Vérités sur la Réalité basées uniquement sur le sens. Pas d’absurdités!

Cette trinité et la totalité de l’homme ne peuvent tout simplement pas être mentionnées de façon impersonnelle. La troisième personne n’est jamais du Divin. C’est toujours une fiction subjective, une fausse histoire racontée ou prédite, comme la Réalité dans la forme et le nom seulement. Et les affaires et les effets personnels d’une tierce personne sont toujours la propriété d’une autre personne, généralement de l’État ; le créateur de cette fiction légale et de ce terme d’art.

Ainsi le verbe (action) (au début fut le verbe…) des personnes morales ne peut s’exprimer que sous forme de nom, dans les mots des actions légales (actions fictives= acte, dessins-animés), sur le papier juridique, et en apparence légale (on voit des signes (postes fixes) sur un papier, ils sont figés et ce n’est pas parce qu’un pseudo-homme de justice les agitent, que ces symboles sont vivants, ni prennent vie! Là est la magie du magistrat!) où l’homme représente la personne morale et ses actions sont reconnues comme étant faites donc « in persona » (C’est la magie de Disney, agiter/animer du papier pour faire croire qu’il est vrai et que ces choses (les vraies ‘res‘) sont vraies et sont vivantes!). C’est la fausse existence dont nous souffrons tous. Nos actions sont impersonnelles à notre Être naturel, et étrangères au dessein de Dieu sur la Nature. (On rêve de 3D, et donc de virtualité, quand la realité est plus réel que la 3D, mais nos sens se sont perdus, égarés et ont dégénérés).

Le grand imitateur de chacun de nos « moi » promeut en nous une identité erronée (MK Ultra édulcoré) à travers cette nomenclature nominative, pour les raisons dualistes de nous faire vivre dans l’erreur en ignorant notre Vraie Nature sous Dieu, et en nous faisant continuellement être dans un état d’incompréhension par la confusion totale (et le stress et la peur), du fait que le moi objectif a en fait été volé et marqué comme une espèce subjective de persona (classe et statut). Car se mettre en dessous, avec ou sans connaissance de ce que nous acceptons de mettre en dessous, signifie seulement se mettre sous l’autorité de cette personne ou de cette chose et de sa loi. Ainsi, la personne devient plus puissante que nous (perte d’auto-rite sur Soi), que notre vrai moi, et la loi des personnes est auto-risée par nous, par choix, à supplanter la loi et l’autorité de Jéhovah à la place de ces faux dieux légaux (les créateurs et les dirigeants de personnes fictives, de noms, de nombres, de langues, de marques et de titres).

Encore une fois, nous voyons que la compréhension des vraies significations des termes juridiques ne les fait pas rejeter. La magie ne serait pas magique si elle ne provoquait pas l’illusion et le délire par la ruse, et une victime ne serait pas une victime s’il n’y avait pas un faucheur (gouvernement militarisé par des mercenaires) de cette mort spirituelle par ladite ruse des mots juridiques.

Les hommes deviennent assimilés à des zombies, de simples coquilles n’existant que pour les parasites légaux pour les gouverner comme leurs marionnettes mentales, tandis que la principale église parasitaire « universelle » dans sa divinité auto-proclamée gouverne au-dessus de tous les gouvernements (têtes) en souveraineté, comme un esprit de ruche gigantesque régulant son enfer de débiteur interconnecté et à ciel ouvert sur terre.

La Vraie Nature du Divin est légalement arrachée comme le film d’une vieille image Polaroid (photo/fauxto) afin de ne laisser que la fausse image (Positif et Droit positif… à l’opposition du négatif de la photo, droit négatif) et la forme d’une certaine réalité virtuelle comme considération légale, contrôlée en dernier ressort par le faux bureau papal en tant que vicaire du Divin (christ). Toutes les personnes morales, les lieux, et les choses (les noms) ne sont que des mensonges, des images (des sellfish), et des formes comme de fausses idoles, y compris toutes les corporations (personnes artificielles) qui s’appellent elles-mêmes comme « religions ». C’est cette forme et cette apparence seulement qui est nommée, organisée et brevetée (lettres patentes) dans la nomenclature (catalogues de mots/noms) des livres et registres de fiction juridique du « droit » du registraire.

En fin de compte, ironiquement, le pape est, et ne peut être, que le faux dieu des morts spirituels; de ceux qui se détournent de Jéhovah, de leur propre Soi et de leur propre Nature, pour adorer l’idolâtrie et le symbolisme de « l’Église Une » universelle et de son simulacre de chef de terre.

« L’outil de base pour la manipulation de la réalité est la manipulation des MOTS. Si vous pouvez contrôler le sens des mots, vous pouvez contrôler les personnes qui doivent les utiliser. » -Philip K. Dick-

« La souveraineté elle-même n’est, bien sûr, pas soumise à la loi, car elle est l’auteur et la source de la loi. » -Yick Wo v. Hopkins, 118 U.S. 356 1886 (auto-right… auto-rite…).

HOMME (MAN) : « … Celui qui est MAÎTRE DE SES POUVOIRS MENTAUX, ou qui se conduit avec son jugement habituel. Quand une personne a perdu ses sens, ou agit sans son jugement habituel, nous disons, IL N’EST PAS SON PROPRE HOMME. » – Webster’s 1828 Dictionary, de la définition de « l’homme ».

Aussi difficile que cela puisse paraître de comprendre, parler à un homme par son nom de famille, en respectant son apparence et sa personnalité fictives sous une forme juridique et juridictionnelle qui est contradictoire (satanique) à sa Vraie Nature, c’est parler du mal (artifice) de cet homme (frère spirituel). C’est manquer de respect à la Création du Divin (l’homme) en lieu de son faux spectacle. C’est de respecter seulement la forme sans la Substance de la Source. C’est rejeter l’Amour, la Paix, la Piété et la Charité, car respecter la personne, c’est respecter la valeur d’un homme seulement en Mammon (évaluation commerciale).

Et donc même l’action d’appeler quelqu’un par son nom légal est un acte de jugement artificiel et fictif (doom). C’est simplement un mensonge confirmé. Reconnaître un autre homme comme une entité légale et publique, c’est contracter avec lui et respecter son artifice de loi; prétendre que la Loi de Dieu ne suffit pas. Car seuls les hommes malhonnêtes avec des intentions autres que ce qui est le devoir négatif sous la Loi naturelle du Divin ont besoin de se cacher derrière les protections et les garanties fictives du nom et du titre légal d’un autre, et seuls ceux qui n’agissent pas dans la Vérité cherchent les protections légales de la personne morale (assurance monétaire de Mammon) dans les autres hommes par sa signature et son contrat maudits (cursifs).

En d’autres termes, seul celui qui agit sans Amour et sans Charité purs, dans la poursuite de ce dieu mam-mon, chercherait et respecterait la sécurité de la personne juridique, d’un homme en relation contractuelle, au lieu de reconnaître et d’assurer seulement une relation spirituelle pure et fraternelle. Et convoquer (invoquer et sum-mon) personnellement un tel dé-mon au tribunal en employant (utilisant) le pouvoir des dieux du tribunal en principauté et en magistrature, c’est manquer de respect à la Nature même de la Création du Divin. C’est détruire le devoir négatif et la potentialité de la vie privée, et donc de la spiritualité d’un tel homme. C’est in-jur(i)er (blesser).

Être la force et la raison derrière le fait qu’un homme doit apparaître artificiellement comme quelque chose qu’il n’est pas, c’est être le serviteur de Satan. Et les magistrats en robe noire comptent sur cet abandon total de la raison et sur le respect de Dieu et de la Nature pour rester en affaires.

Pas de clients, pas d’extorsion. Pas de volontaires (sujets), pas de maîtres. Pas de débiteurs, pas de créanciers. Le gouvernement, et l’homme comme agent (avocat, etc.), est l’ultime apologiste pour lui-même.

Le gouvernement, donc l’homme, en tant qu’agent (avocat, etc.), est le défenseur ultime de lui-même.

Naissance et Nativité

NATIVITAS – Villenage ; cet état dans lequel les HOMMES sont nés esclaves. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIVUS – Latin. Dans l’ancienne loi anglaise, A NATIVE=UN NATIF ou NAÏF; plus précisément, ONE BORN INTO A CONDITION OF SERVITUDE= Né sous condition d’esclavage ; A BORN SERF OR VILLEIN= Né serf ou vilain. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIVA – Un niefe ou villein. Ainsi appelée parce que pour la plupart LIÉ PAR LA NATIVITÉ. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIVI DE STIPITE (Stipulatio)- Villains ou obligés PAR NAISSANCE OU PAR STOCK. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIVI CONVENTIONARII – Villeins ou obligés PAR CONTRAT OU ACCORD. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIONALITÉ – Cette qualité ou CARACTÈRE qui découle du fait qu’une personne appartient à une nation ou à un État. La nationalité détermine le STATUT POLITIQUE de l’individu, en particulier en ce qui concerne l’ALLEGANCE ; PENDANT QUE LE DOMICILE DÉTERMINE SON STATUT CIVIL. La nationalité est déterminée soit par la naissance, soit par la naturalisation. Selon Savigny, la  » nationalité  » est également utilisée par opposition à la  » territorialité « , pour distinguer le cas d’une nation n’ayant pas de territoire national ; par exemple, LES JUGES. (BLACK’S LAW 4th, p1252)

NATIVE – Un SUJET OU CITOYEN né naturellement ; UN DENIZEN PAR LA NAISSANCE ; UN SUJET OU CITOYEN QUI DONNE SON DOMICILE OU SA CITOYENNETÉ AU FAIT DE SA NAISSANCE DANS LE PAYS (BLACK’S LAW 4th, p1252)

FRANCHISE – nom – fran’chiz. [Voir Frank.] Correctement, LIBERTÉ, FREE. Par conséquent,

1. un droit (= une obligation, un lien, un contrat) ou un privilège particulier accordé par une princesse ou un souverain à un particulier ou à un certain nombre de personnes, comme le droit d’être une société avec succession perpétuelle, le droit de tenir un tribunal ou un autre tribunal, d’avoir des renonciations, des épaves, des trésors ou des confiscations. Ainsi, le droit de voter pour le gouverneur, les sénateurs et les représentants, est un droit qui appartient aux citoyens et dont les étrangers ne jouissent pas. Le droit d’établir une banque est un droit de vote.

2. L’EXEMPTION D’UNE CHARGE OU D’UN DEVOIR AUQUEL D’AUTRES SONT SOUMIS.

3. LE DISTRICT OU LA JURIDICTION AUQUEL S’ÉTEND UN PRIVILÈGE PARTICULIER ; LES LIMITES D’UNE IMMUNITÉ.

4. Un asile ou un SANCTUAIRE, où les PERSONNES sont à l’abri d’une arrestation. Les églises et les monastères en Espagne sont des FRANCHISES POUR CRIMINELS. – verbe transitif – TO MAKE FREE (Rendre libre/gratuit) ; mais l’expression enfranchise est plus généralement utilisée. (Webs1828)

ENFRANCHISED – participe passif – SET FREE; libéré de l’esclavage (gratuit?). 1. ADMIS aux droits et privilèges des hommes libres. (Webs1828)

Ne vous laissez pas confondre par ce terme de « freeman » (homme libre ou souverain), car tous les termes juridiques sont des termes de tromperie (art). Il s’agit simplement d’un titre légal pour un sujet de quelque maître. N’oubliez jamais que pour les dieux de la loi, les créateurs des mots brevetés, le mot « libre » signifie « franchise », et l’usage légal du mot « homme » signifie « esclave ».

le mot « libre » signifie « franchise », et
l’usage légal du mot « homme » signifie « esclave ».

Être libre (en franchise), ce n’est pas être en esclavage direct, c’est jouir de ce qui est permis par ce qui donne la liberté (la franchise). C’est ce qu’on appelle aussi l’indépendance politique (soit franc avec moi, tu peux parler de tes opinions politiques). Mais cette forme légale d’indépendance (sans substance) n’est en aucune façon naturelle. Une personne (statut juridique) n’est jamais libre au sens naturel, seulement au sens politique, car son existence artistique dépend de l’existence de l’état/ÉTAT dans lequel elle est née (créée) légalement. Tout ce dont il jouit en tant que personne publique ne lui appartient pas en réalité. Ses droits sont imposés à sa personne, et non pas donnés par Dieu à son vrai Soi (Le Vrai Par-don de Dieu, de la Nature, elle te donne Naturellement tout, tu ne dois jamais la payer! non?!). Nous ne pouvons pas être dupés (habités) par de tels concepts (fruits) de l’arbre du bien (réalité) (arbre de la vie) et du mal (fiction) (arbre de la con-naissance). Que vous soyez un maître ou un sujet, votre pouvoir imaginaire ne vient que de l’état que vous soutenez volontairement. Et ne vous y trompez pas, ces deux statuts (maître et serviteur) ne sont atteints que dans le péché contre Jéhovah. Ils ne sont que les titres artificiels des hommes.

Liberté, Gratuit, Free-dom

FREEMAN – nom – [libre et homme.]

1. Celui qui jouit de la liberté, ou qui n’est pas soumis à la VOLONTÉ d’un autre ; IL N’EST PAS ESCLAVE OU VASSAL.

2. CELUI QUI JOUIT OU QUI A DROIT À UNE FRANCHISE OU À UN PRIVILÈGE PARTICULIER ; COMME LES AFFRANCHIS D’UNE VILLE OU D’UN ÉTAT. (Webster 1828)

ENFRANCHISE – verbe transitif – s comme z. [De la franchise] Libérer; libérer de l’esclavage. AFFRANCHI

1. Rendre libre d’une ville, d’une corporation ou d’un état ; admettre les privilèges d’un homme libre. Les colonies anglaises ont été affranchies par des chartes spéciales.

2. Libérer ou mettre en liberté.

3. NATURALISER ; DENIZER ; RECEVOIR EN TANT QUE DENIZEN ; EN TANT QU’ENFRANCHISEUR DE PAROLES ETRANGERES. (Webs1828). (Naturaliser, n’est pas rendre Naturel! C’est la Nature de la Loi, le royaume du juridico-légale! C’est legaliser la Nature/nature, ouverture d’un marché, tu peux faire business= payer des impots, dans ta nouvelle Patrie!).

ENFRANCHIR et AFFRANCHIR – RENDRE LIBRE L’INCORPORATION D’UN HOMME dans une société ou un corps politique. Vide Disfranchise. (Bouv1856)

ENFRANCHISSEMENT ou AFFRANCHISSEMENT – nom – Libération de l’esclavage ou de la détention. 1. L’ADMISSION DE PERSONNES À LA LIBERTÉ D’UNE SOCIÉTÉ OU D’UN ÉTAT ; l’investiture avec les privilèges des citoyens libres ; L’INCORPORATION D’UNE PERSONNE DANS UNE SOCIÉTÉ OU UN CORPS POLITIQUE. (Webs1828)

ENFRANCHISSEMENT – ppr – Libérer de l’esclavage ou de la garde ; ADMETTRE aux droits et privilèges des ressortissants ou des citoyens libres d’un État, ou AUX PRIVILEGES D’UN HOMME LIBRE DANS UNE SOCIÉTÉ. (Webs1828)

LIBRE/GRATUIT (FREE) – nom – [Hébreu. Voir Frank.]

1. Être libre ; ne pas être sous la nécessité ou la contrainte, physique ou morale ; un mot d’application générale au corps, à la volonté ou à l’esprit, et aux corporations.

2. Dans le gouvernement, NON ASSUJETTI ; non en état de vassalité ou de dépendance ; soumis SEULEMENT à des lois fixes, faites par consentement, et à une administration régulière de ces lois ; non soumis à la volonté ARBITRAIRE d’un souverain ou d’un seigneur ; en tant qu’État, nation ou peuple libre.

3. Institué par un peuple libre, OU PAR LE CONSENTEMENT OU LE CHOIX DE CEUX QUI DOIVENT ÊTRE SUJETS, ET GARANTISSANT LES DROITS PRIVÉS ET LES PRIVILÈGES PAR DES LOIS ET DES PRINCIPES FIXES ; non arbitraire ou despotique ; comme une constitution ou un gouvernement libre. Il ne peut y avoir de gouvernement libre sans une branche démocratique dans la constitution.

4. NON EMPRISONNÉ, CONFINÉ OU SOUS ARRÊT; comme, le prisonnier est mis en liberté.

5. Sans contrainte, sans contrôle, sans contrainte ni contrôle. Un homme est libre de poursuivre son propre choix ; il jouit du libre arbitre (arbitre= juge).

6. PERMIS; OUVERT; NON APPROPRIÉ; comme, les places d’honneur et de confiance sont libres pour tous ; nous entendons rarement parler d’un commerce parfaitement libre (et encore moins gratuit!). (Webs1828)

Il est clair que les esclaves étaient « libres » afin de pouvoir être incorporés (dénaturés, hors-nature, naturaliser) aux États-Unis en servitude volontaire. Et en vérité, ce n’était pas vraiment un choix, car la seule protection qu’ils pouvaient obtenir en tant qu’hommes noirs était d’accepter la nature protectrice du personnage fictif (statut) de citoyen des États-Unis en vertu du 14e amendement, car ce n’est qu’alors qu’ils seraient considérés comme artificiellement « égaux » en ce qui concerne les droits civils (spirituellement morts). Et soudain, ce n’était pas simplement un nègre pendu et assassiné de sang froid, c’était une « citoyenneté américaine ». C’était désormais un crime financier contre l’un des actifs du capital humain de la nation (naissance de l’assurance).

Et ainsi tous les hommes, noirs et blancs, se sont émancipés (libérés) sous la tyrannie de la nation.

Le plus grand réveil pour cet auteur a peut-être été la compréhension des variations de ce mot libre (et de gratuit? car ambiguité dans la traduction de ‘free‘). C’est peut-être l’un des mots les plus trompeurs créés par ces pirates, car de même qu’un rat est libre dans une cage, de même une citoyenneté est libre dans sa juridiction.

La liberté et être libre ou libéré se présentent sous deux formes, celle du public ou celle du privé. Une fois encore, il est nécessaire d’adopter une certaine perspective pour comprendre ce qu’est réellement un état de liberté publique.

Et bien sûr, lorsque nous ajoutons le terme d’art « dom » (free-dom= liberté, dom= domination, domaine, maison, juridiction, fre) à n’importe quel mot, nous en modifions encore le sens, de sorte que ce sort de liberté émancipée puisse être pleinement connu de celui qui en subit l’illusion juridique. Comme le serpent qui mange sa propre queue (c’est-à-dire qui se parle à l’existence), quel que soit le mot utilisé par un esclave, sa liberté est une illusion circulaire. Il est un habitant de la fiction. La liberté en Amérique et ailleurs est simplement une licence pour faire du commerce dans la franchise d’un bateau-citoyen, avec l’accord d’être mis en prison et de faire du travail de prisonnier pour avoir enfreint la par(ab)ole des règles de bonne conduite (bonnes manières) contractuelle concernant cette franchise légale et civile.

DOM – Utilisé comme terminaison, désigne la JURIDICTION, OU la PROPRIÉTÉ ET LA JURIDICTION ; principalement, DOOM, JUGEMENT ; comme dans royaume, earldom (Comté, Département, Région). Il est donc utilisé pour désigner l’ÉTAT, la CONDITION OU la QUALITÉ, comme dans la sagesse, la liberté. (Webs1828)

LIBERTÉ (FREEDOM-LIBERTY) – nom – 1. un état d’EXEMPTION du pouvoir ou du contrôle d’un autre ; liberté ; EXEMPTION DE L’ESCLAVAGE, DE LA SERVITUDE OU DU CONFINEMENT. La liberté est PERSONNELLE, CIVILE, POLITIQUE ET RELIGIEUSE. [Voir Liberté.]

2. Privilèges particuliers ; FRANCHISE ; immunité ; comme la liberté d’une ville.

3. POUVOIR DE JOUIR DES FRANCHISES.

4. EXEMPTION DU DESTIN, DE LA NECESSITE OU DE TOUTE CONTRAINTE EN CONSEQUENCE DE PREDETERMINATION OU AUTRE ; comme la liberté de la volonté.

5. Toute exemption de contrainte ou de contrôle.

6. La facilité ou la facilité de faire quelque chose. Il parle ou agit avec liberté.

7. Franchise ; audace. Il s’adresse à son auditoire avec liberté.

8. LICENCE ; familiarité inappropriée ; violation des règles de la bienséance ; avec un pluriel. Attention à ce qu’on appelle les libertés innocentes. (Webs1828)

LIBERTÉ (FREEDOM) – Liberté ; LE DROIT DE FAIRE CE QUI N’EST PAS INTERDIT PAR LA LOI. La LIBERTÉ NE PRÉCLUDE PAS L’IDÉE DE SOUMISSION AU DROIT ; EN fait, elle présuppose l’existence de QUELQUES DISPOSITIONS LÉGISLATIVES, DONT L’OBSERVATION NOUS ASSURE LA LIBERTÉ, en assurant le même respect de la part des autres. (Bouv1856)

LIBERTÉ (FREEDOM, LIBERTY) – 1. (Liberté naturelle) La qualité ou l’état d’être libre, comme :

(a) l’absence de nécessité, de contrainte ou de coercition dans le choix ou l’action

(b) la libération de l’esclavage ou de la contrainte ou du pouvoir d’autrui : l’indépendance

(c) la qualité ou l’état d’être exempté ou libéré habituellement de quelque chose de pénible (liberté de soins)

(h) l’utilisation sans restriction <lui a donné la liberté de son foyer>

LIBERTE (FREEDOM) – 2. (comme liberté politique)

(a) UN DROIT POLITIQUE (b) FRANCHISE, PRIVILEGE (Webster’s online, source)

LIBERTÉ – nom – [L. libertas, de liber, free.] (en passant, une condition d’homme libre a une condition… non?! un liber est un registre quand même!).

1. Liberté de contrainte, dans un sens général, et applicable au corps, à la volonté ou à l’esprit. Le corps est libre, quand il n’est pas confiné ; la volonté ou l’esprit est libre, quand il n’est pas contrôlé ou maîtrisé. L’homme jouit de la liberté quand aucune force physique n’opère pour restreindre ses actions ou ses volitions.

2. La LIBERTÉ NATURELLE consiste dans le pouvoir d’agir comme on le juge bon, sans aucune contrainte ni contrôle, SAUF DANS LES LOIS DE LA NATURE. C’est un état d’EXEMPTION DU CONTRÔLE DES AUTRES, ET DES LOIS POSITIVES ET DES INSTITUTIONS DE LA VIE SOCIALE. CETTE LIBERTÉ EST RESTREINTE PAR L’ÉTABLISSEMENT DU GOUVERNEMENT.

3. La LIBERTÉ CIVILE est la liberté des hommes dans un état de société, ou la liberté naturelle, qui n’est restreinte et limitée que dans la mesure où cela est nécessaire et opportun pour la sécurité et l’intérêt de la société, de l’état ou de la nation. UNE RESTRICTION DE LA LIBERTÉ NATURELLE, NON NÉCESSAIRE OU OPPORTUNE POUR LE PUBLIC, EST LA TYRANNIE OU L’OPPRESSION. La liberté civile est une exemption de la volonté arbitraire d’autrui, laquelle exemption est garantie par les lois établies, qui empêchent tout homme de blesser ou de contrôler autrui. C’EST POURQUOI LES RESTRICTIONS DE LA LOI SONT ESSENTIELLES À LA LIBERTÉ CIVILE. La liberté de l’individu ne dépend pas tant de la suppression de toute contrainte qui pèse sur lui, que de la RESTRICTION DE LA LIBERTÉ D’AUTRES. Dans cette phrase, le dernier mot liberté désigne la liberté naturelle.

4. Le mot LIBERTÉ POLITIQUE est parfois utilisé comme synonyme de liberté civile. Mais il désigne plus justement la liberté d’une nation, la liberté d’une nation ou d’un État de toute limitation injuste de ses droits et de son indépendance PAR UNE AUTRE NATION. C’est pourquoi nous parlons souvent des libertés politiques de l’Europe, ou des nations de l’Europe.

5. La LIBERTÉ RELIGIEUSE est le libre droit d’adopter et de jouir d’opinions sur des sujets religieux, ET DE PORTER LE SUPRÊME SELON LES DICTES DE CONSCIENCE, SANS CONTRÔLE EXTERNE. (Webs1828) (liberté de mutiler les enfants… pour certains…).

6. La liberté, en métaphysique, comme opposée à la nécessité, est le pouvoir d’un AGENT de faire ou de s’abstenir de toute action particulière, selon la détermination ou la pensée de l’esprit, par laquelle l’un est préféré à l’autre. Liberté de la volonté ; exemption de la contrainte ou de la retenue dans la volonté ou le volontariat.

7. Privilège ; exemption ; IMMUNITÉ AGRÉÉE PAR PRESCRIPTION OU PAR SUBVENTION (sous-vente, sous-doyer/devoir) ; avec un pluriel. Ainsi nous parlons des libertés des villes commerciales de l’Europe.

8. Congé ; PERMISSION ACCORDÉE. Le témoin a obtenu la liberté de quitter le tribunal.

9. UN ESPACE DANS LAQUELLE ON EST PERMIS DE PASSER SANS RESTREINTE, ET AU-DELÀ DE QUI IL NE PEUT PAS Passer DE JUSTICE ; avec un pluriel ; COMME LES LIBERTÉS D’UNE PRISON.

10. Liberté d’action ou de parole au-delà des limites ordinaires de la civilité ou du décorum. Les femmes doivent repousser toute liberté inappropriée. De prendre la liberté de faire ou de dire n’importe quoi, d’utiliser une liberté qui n’est pas spécialement accordée. De se mettre en liberté, de se libérer de l’enfermement ; de se libérer de la contrainte. Être libre, être libre de toute contrainte. La liberté de la presse, c’est la liberté de ne subir aucune restriction dans le pouvoir de publier des livres ; le libre pouvoir de publier ce qu’il plaît, sous réserve seulement de la punition pour abus du privilège, ou de publier ce qui est malveillant pour le public ou préjudiciable aux individus. (Webs1828)

FREEMAN – Celui qui jouit du droit de faire ce qu’il veut, NON INTERDIT PAR LA LOI. CELUI DANS LA POSSESSION DES DROITS CIVILS PROFITÉS PAR, le peuple GÉNÉRALEMENT. (Bouv1856)

FREEMAN – nom – [libre et homme.]

1. Celui qui jouit de la liberté, ou qui n’est pas soumis à la volonté d’autrui ; celui qui n’est ni esclave ni vassal.

2. Celui qui jouit ou est admis à une FRANCHISE ou à un privilège particulier ; comme les libres d’une ville ou d’un état. (Webs1828)

Des moyens appartenant à. Donc un homme libre d’une ville ou d’un état est une personne appartenant à une ville ou un état. Et c’est pourquoi le Peuple privé n’est pas titré (stylé, glosé, titrisé) comme le Peuple commun des États-Unis. Le créateur n’est jamais né de sa propre création, jamais redevable de celle-ci.

Je me souviens d’avoir lu pour la première fois cette déclaration, où la liberté est définie comme une exemption du destin et des conséquences de nos actions. C’est alors que j’ai réalisé à quel point ce mot est vraiment dangereux, et à quel point nous avons été stupides de permettre à nos soi-disant dirigeants, dans leur souveraineté fictive déclarée, de posséder une telle liberté si totalement et sans loi ou test moral, religieux.

Nous avons en fait été trompés en croyant que la séparation de la religion et de la légalité en droit est une bonne chose par ceux qui ont utilisé une telle séparation pour nous mettre en échec et nous priver moralement (les États Religieux… c’est pas bien mieux, voir pire!). Car la « liberté » artificiellement induite qui est permise dans les cadres juridiques est spécifiquement conçue pour contourner la responsabilité personnelle et la placer artificiellement sur une fiction de la loi, une personne ou un titre flatteur, libérant ainsi l’homme de la correction ou de la punition de ses propres péchés. C’est la voie de l’Église et de l’État, l’un protégeant l’autre dans une corruption sans fin du destin. L’État exempte l’Église et l’Église exempte l’État, car tous deux sont de faux dieux de leur propre création légale.

….

Il faut toujours se souvenir de distinguer entre les droits négatifs (inaliénables/Naturels) de l’homme et les droits positifs de la personne dont il est le garant. Le négatif n’est pas appliqué, et est un choix; le positif est appliqué sans choix.

Il n’y a rien de la nature qui soit positif (qui nécessite une preuve) ou qui soit accordé par une licence ou un permis par l’homme, et la « liberté » et la « liberté politique ou civile » ne sont pas des exceptions. N’oubliez jamais ce qu’est vraiment la liberté, mais soyez toujours conscients que la fausse liberté légale (contradictoire/satanique) est tout ce que toute citoyenneté a ou peut avoir (mais pas être), comme celle qui est contradictoire à la liberté naturelle sous la loi de Dieu ou du Divin.

(négative c’est l’énergie Electro-Magnétique, c’est le vrai ‘positif’… la polarité EM: E et M… le (droit) positif est le vrai négatif, le poste qui ne bougent pas, l’énergie volée , détournée et siphonnée, la fosse mise à la terre, la mise à l’enterre, l’inversion des pôles et (bi)pola-rités… donc le courant/currency qui passe entre le droit + et le droit – genere de fausse tension, de faux courants, une énergie detournée… un circuit ferme fermé… La Nature c’est Droite et Gauche, Electro et Magnétique… qui est la même chose.

« On l’appelle le rêve américain parce qu’il faut être endormi pour y croire. »

« On vous donne l’illusion de pouvoir choisir.
Les Américains sont censés se sentir libres par l’exercice de choix insignifiants ».

« Les élections et les politiciens sont en place pour donner aux Américains l’illusion d’avoir la liberté de choix. Vous n’avez pas vraiment le choix dans ce pays. »

– George Carlin (citations séparées) –

« Je suis fasciné que notre gouvernement puisse nous mentir de façon si flagrante, si évidente, pendant si longtemps, et que nous ne fassions absolument rien à ce sujet. »

« Vous êtes libres de faire ce que nous vous disons ! »

– Bill Hicks (citations séparées) –

Nous (notre personne) vivons (avons un domicile) (alors que le corps est notre vrai domicile) dans la maison (district/juridiction) du dieu de notre homme de paille, dieu de paille/paye/pays, qui est le créateur et l’administrateur de ses propres personnes morales. Notre statut public ne peut exister qu’en acceptant notre place subjective dans cette maison et sous ses dieux (magistrats) (l’aNalsion). Sinon, nous sommes étiquetés comme illégaux et étrangers (hors-la-loi) et, une fois capturés, nous sommes publiquement (internationalement) déportés là où se trouvent les dieux de notre navire, là où s’est déroulée notre histoire de nativité enregistrée. Et ainsi nous pouvons voir la différence entre un simple échantillon des nombreuses formes de loi qui affectent les personnes publiques d’une nation; et comment les hommes privés (lui sans « soi » public, personnifié et enregistré) sont immunisés.

Être employé par un autre, c’est être « utilisé » par un autre pour obtenir un gain. Il n’y a rien de tel dans la Nature que le juste emploi ou le juste salaire, car l’argent n’a pas de valeur réelle et donc échanger du temps (travail) contre de l’argent est une aventure infructueuse pour tout homme. Alors que les pirates avaient l’habitude de commettre des vols en montant à bord du navire d’un autre, ces pirates modernes fournissent le navire (la personne) et les taxes pour son utilisation. Ce qu’ils prennent, ils le représentent sur papier sous forme d’argent, de crédit, etc. En d’autres termes, ils ne fournissent que la forme tout en extrayant toute la substance, ne laissant à l’employé commun que la réception du papier, que ce soit l’argent lui-même ou le papier public, titre défectueux de la propriété privée d’autrui.

Le gain de la personne est le gain du mandant, et non du mandataire. Et ainsi, tout l’argent qui est payé (donné, par don) pour les services rendus (servitude volontaire), cet argent étant la propriété exclusive du gouvernement et émis sans rien de réel à l’appui (imprimé de toutes pièces), est immédiatement remis en circulation (dépensé) dans ce qui constitue essentiellement le magasin de la compagnie – dans l’une des milliers de sociétés appartenant à l’élite privée dont nous avons été rendus totalement dépendants. On pourrait dire que nous vivons dans une ville de compagnies nationale géante.

Porter la croix, le symbole du « christianisme » romain, c’est porter le signe d’un fou qui adore la symbolique, l’imagerie et les dieux idolâtrés, plutôt que la Réalité qu’ils (re)présentent.

(j’irais plus loin encore, l’Église a réussi à faire porter, autour du coup du pèlerin, (une corde!) la crucifixion même du Christ, ILS leurre font porter un instrument de torture! Autour du cou… avec un mort dessus! (Y a du mal à faire plus satanique à part des piercing et des tatouages glauques!). Avec un homme torturé et mourant dessus! C’est pas un peu de la Necromancie? C’est cela la puissance de la Magie Noire! Quand George Orwell démontre que tout est inversé, et qu’on regarde Invasion Los Angeles, on est encore loin de comprendre vraiment la profondeur de ce bouquin et de ce film). (Je porte le symbolisme plus loin avec la cravate/cravache autour du coup…).

« Cette par(ab)ole leur a parlé de Jésus : MAIS ILS NE COMPRENNENT PAS les choses qu’il leur a dites. »
John 10:6, KJB

« Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait ».

Regardons maintenant la Bible comme l’œuvre tout à fait imparfaite qu’elle est aujourd’hui, traduite et re-translittée par des hommes colorant et édulcorant par la loi et par la doctrine religieuse, au point qu’il est en quelque sorte socialement accepté que chaque version est en quelque sorte aussi la même dans sa simple similitude (identique) avec la Source et l’Origine des textes anciens et surtout des arts du langage. Certains peuvent aussi avoir besoin d’une excuse pour la nature figurative et métaphorique de la Bible, croyant qu’une parabole ne peut pas être prise comme un Truisme.

(Clint Richardson dit que la Bible est un Simulacre, une copie sans l’original)

Ce qui est écrit dans les écritures n’est pas ce que les prêtres et les ministres des religions corporatives disent à leurs paroissiens, car la compréhension de telles vérités paraboliques détruirait complètement l’église corporative basée sur l’a(r)gent et qui se déguise en la personne de Mammon, c’est-à-dire de telles religions corporatives et du gouvernement qui protège leur fausse dialectique (logique) des doctrines institutionnelles (rhétorique) basée sur des écrits (grammaire) non fondés sur l’évidence (le Trivium et la Trinité de la Deception et de la Tromperie) (évider, ne pas voir?). (Tout agent, pretre, rabin, immam, moine, etc… est l’agent de Mammon).

C’est la loi écrite, la lex scripta de Rome ou Droit codi-fié (cryptique) (Droit écrit, législatif et statutaire). Les écritures (Bible) ne sont certainement pas une fiction juridique, car elles instruisent l’homme d’éviter de tels artifices. Ce sont des paraboles sur la façon de vivre sous une loi morale, sans avoir besoin de cette fiction juridique, pour guider ses actions dans la corruption pure. Et comme je l’ai vu de mes propres yeux, la Bible, lorsqu’elle est utilisée correctement, est comme de l’eau bénite pour ces vampires parasites légaux du gouvernement, car ils connaissent et respectent tous la Loi Supérieure lorsqu’elle leur est imposée, et l’utilisation de celle-ci pour prêter serment contredit la Bible même sur laquelle ils le font.

ALER A DIEU

LAW FRENCH (dico) est un vieux dialecte Anglo-normand qui mixe anglais et français, l’ancien Normand… être renvoyé du tribunal. Retourner, aller vers Dieu, ton Prénom Divin!

« Les coutumes du mal doivent être maîtrisées par degrés…  » (en anglais, ‘degree‘ est aussi ‘diplôme universitaire’) et c’est pourquoi, à la fin des programmes d’éducation publique et universitaire (reprogrammation mentale), nous pouvons recevoir un diplôme de crime appelé diplôme (diplomatie et immunité diplomatique par licence pour commettre le crime organisé), comme une maîtrise, comme une licence permissive de l’État pour commettre des maux contre la réalité de l’ordre et du dessein de la nature de Dieu.

C’est ce qu’on appelle le syndicalisme, et sa forme la plus ardente est l’anarcho-syndicalisme, le chaos organisé de l’esclavage d’intérêt public par le biais des institutions publiques et de l’éducation (le dressage d’animaux pour faire des tours pour le cirque). Nous ne devenons qu’un maître du titre conféré à notre homme de paille, et au mieux un maître du chien-latin ou latin-de-cuisine, le roi de l’analphabétisme technique.

Le processus d’éducation publique est conçu pour aiguiser la personnalité individuelle (unique) de l’homme et l’obliger à tolérer et à professer l’état immoral ou amoral et légal(ité) des choses. Éduquer, c’est former par profession (mot), un certain aspect du commerce. Et donc le but ultime de l’éducation est de contrôler la personnalité individuelle (verbe) de manière à conformer l’homme à un professionnel (nom, pute), où les mots de l’homme ne sont pas son opinion personnelle mais celle des associations et corporations syndicalistes (personnes artificielles) qui contrôlent l’industrie et créent des informations officielles. De nos jours, une vraie personnalité non corrompue par la fiction est peut-être un objectif impossible à atteindre.

« La personnalité est la réalisation suprême de l’idiosyncrasie innée d’un être vivant.
(De ἴδιος, ídios (« propre », « particulier ») et σύγκρασις, súnkrasis (« mélange »))
C’est un ACTE de courage lancé face à la vie, l’affirmation absolue de tout ce qui constitue l’individu, l’adaptation la plus réussie aux conditions universelles de l’existence, couplée à la plus grande liberté d’autodétermination possible »

G. Jung, « Le développement de la personnalité », 1932 —

To(i) let et Louer soit ton saigneur

LET – prétérit transitif du verbe et participe passif – Letted est obsolète. [Lâcher, comme le latin elocare, c’est LOUER.]

1. Permettre ; autoriser; souffrir ; donner la permission ou le pouvoir par un acte positif, OU NÉGATIVEMENT, retenir ; ne pas empêcher… De louer ; D’ACCORDER LA POSSESSION ET L’UTILISATION moyennant une compensation…

3. De souffrir ; de permettre…

4. Dans le mode impératif, ‘let’ a les usages suivants. Suivie par la première et la troisième personne, elle exprime un désir ou un souhait ; c’est pourquoi elle est utilisée dans la prière et l’imploration aux supérieurs, et à ceux qui ont leur pouvoir, comme, « ne me laisse pas m’éloigner de tes commandements ».

Psaumes 119:10. « Je te cherche de tout mon cœur: Ne me laisse pas égarer loin de tes commandements! ».

Suivie de la première personne du pluriel, exprimons une exhortation ou une prière ; comme, lève-toi, partons. SUIVI DE LA TROISIÈME PERSONNE, IL IMPLIQUE UNE PERMISSION OU UN ORDRE ADRESSÉ À UN INFÉRIEUR. Qu’il parte, qu’ils restent, sont des commandements adressés à la deuxième personne. Laissez-le, ou laissez-vous, c’est-à-dire, permettez-lui de partir. Parfois, le mot « laisser » (to let) (laisse…) est utilisé pour exprimer un commandement ou une injonction à une tierce personne (un accord, une corde, une laisse, un accro, un hameçon… un âme son). Quand le signal est donné d’engager, que chacun fasse son devoir. Lorsqu’il est appliqué à des choses non rationnelles, il implique une allocation ou une concession. « O’er sables dorés laissent couler le riche » Pactolus.

5. Retarder ; entraver ; gêner ; empêcher ; interposer des obstacles. 2 Thessaloniciens 2:3. [Ce sens est maintenant obsolète, ou presque.] Laisser seul, laisser ; souffrir pour rester sans s’interposer… Se laisser aller, se libérer de toute contrainte ; permettre d’errer en liberté. Laisser entrer ou entrer, permettre ou souffrir d’entrer ; admettre… aussi, louer ou laisser louer. Lâcher, décharger, laisser voler, comme une flèche ; ou faire exploser, comme un fusil… (Webs1828).

« Letting » est « To Let » est « Louer » et « A Louer »… LOUEZ SOIT LE SAIGNEUR! ALOUETTE AINSI SOIS_JE…

Ici, le Black’s Law définit une Lettre comme un instrument formel qui donne Autorité!

A/UN LOT est ALLOW est AUTORISER! Et BALLOT ou BALLOTER est VOTER! C’est Balo?! (comme un footballeur et un footba’aleux). Seuls le Roi et la Reine peuvent faire Rebelotte! Le Loup, le Renard et la Belette…

[Donc, une lettre de l’alphabet, donne Autorité! Une lettre ecrite (celle qu’on envoit) donne aussi Autorité, surtout après signature… elle donne (par don) et or-donne (à la personne tierce, généralement l’agent ou l’État) autorité! LET-TRE… Let/louer/donner à Tre/trois/tierce personne]

Alote, Alloee, Allower, Aloues… 1779 Kelham Dico Norman et ancien francais.
1701 Law French, définition Bail…

Bail ou Contrat de Louage
(Si près des Louanges! Seigneur!)

en anglais c’est aussi: « praise » donc « prier », le juste « prix » tu vois la danse des mots?!

‘Prôner’ est déjà ‘trôner’! Une prise est déjà un prendre… et reprendre c’est louer 😉 ou lover… en latin (u=v), l’over lol terminator, iover et iova, le faux dieu… voir plus haut la définition de ‘prise’, c’est électrique: « Harceler, chasser, capturer, tuer ou collecter, ou tenter de harceler, chasser, capturer, tuer ou collecter. », et ça me fait pas rise.

le com-misère priseur…

A noter que le mot « Bail-if » (louer-si!) est huissier! « to bail » est « Libérer sous caution » (Argot) Se barrer, filer, Tirer d’affaires!

« Bailment » est Le transfert du contrôle ou de la possession de biens personnels par une personne, le bailleur, à une autre, le dépositaire, à une fin précise dont les parties ont convenu.

Bail, en ancien français: Pieu armé de fer. Enceinte, palissade, retranchement. Bailli, gouverneur, régent. Pouvoir, garde, tutelle, administration, délégation.

Bailler: Du latin bajulare (« porter », puis « confier la charge de »).

Bailler aux corneilles : faire quelque chose d’aussi niais que de prêter (de l’argent) aux corneilles. D’autres écrivent plutôt bayer aux corneilles, et lui donnent le sens de « rêvasser, perdre son temps en regardant en l’air niaisement ».

De bajulus (« portefaix »). Porter sur le dos. (Porte-fex… porte-foie… porte à faux…).

Tu comprends mieux la balle de paille sur le dos?! Un beau Baluchon non?! Un peu Ballot pour l’Homme de Paille/Pays, le paysan qui porte la Balle de Paille ou Straw Bail(if) ou la charge sur son dos! Le Bête de Somme… Un sacré Bail, pour l’Eternité!

 

Straw Bail est la mauvaise paille, la paille bâtarde car compressée (stressée), la « Botte de Paille » de l’Homme de Pays! Le Paysan, un gueux et un dégueu comme toi et moi… un pauvre cuisinier de latin… une pute comme la gueuse…

Straw bail. Caution/Paille nominale ou sans valeur. Les personnes irresponsables, ou les hommes sans biens, qui ont l’habitude d’être libérés sous caution pour toute personne qui leur verse un droit à cet effet (intéressant, « verser un droit est payer »!!!) (un Droit= Payer!), et qui, à l’origine, portaient de la paille dans leurs chaussures, en signe de leur intention. (En gros, tu payes un mec pour qu’il fasse de la prison pour toi).

def Dalloz… Louange?!

BAIL. En droit français et canadien. Bail de terres. Voir Merlin, Repert. Caution.

Bail a cheptel ou Bail de cheptel. Contrat par lequel une des parties donne à l’autre le bétail à garder, à nourrir et à soigner, l’emprunteur recevant la moitié du bénéfice de l’augmentation et supportant la moitié de la perte. Duverger. Location d’un fonds de bétail que l’une des parties donne à l’autre pour le garder, le nourrir et le soigner, sous les conditions convenues entre elles ; le bétail concerne toute espèce d’animaux susceptible de croît ou de profit pour l’agriculture ou le commerce (DALLOZ).

Bail a ferme ou Bail de ferme. Contrat de location de terres.

Bail a longues annêes ou Bail à long terme. Un bail de plus de neuf ans ; la même chose que le bail emphytéotique ou une location emphytéotique.

Bail it loyer ou bail à loyer. Un contrat de location de maisons.

Bail It rente ou bail de location. Contrat participant de la nature du contrat de vente, et de celle du contrat de location ; il est translatif de propriété, et la rente est essentiellement rachetable. Clark’s Heirs v. Christ’sChurch, 4 La. 286 ; Poth. Bail a Rente, 1, 3.

Bon, tu commences à maîtriser la Law French?

Bailif, 1779 Kelham dico de Norman et ancien français.

Bailif: Celui à qui une autorité, un gardien, une tutelle ou une juridiction lui est remise, confiée ou confiée ; celui qui est chargé ou désigné pour prendre en charge les affaires d’autrui (notamment acheter/transférer la dette sur lui-même!!!) ; un surveillant ou un surintendant ; un gardien, un protecteur ou un tuteur ; un intendant. Spelman. Un shérif ou un adjoint (I shot the sherif or the deputy?!). 1 Bl. Comm. 344. Un magistrat qui a déjà administré la justice dans les parlements ou les cours de France, répondant aux shérifs anglais mentionnés par Bracton. Une personne agissant en qualité de ministre qui a, par délivrance (la délivrance, n’est pas ‘être libéré!’ donc ‘libérer’ est aussi ‘livrer’! C’est la racine ‘liber’; c’est aussi ‘délibérer’), la garde et l’administration de terres ou de biens au profit du propriétaire ou de l’aviateur, et qui est tenue d’en rendre compte. 271 ; Story, Eq.Jur. § 446 ; West v. Weyer,18 N.E. 537, 46 Ohio St. 66, 15 Am.St.Rep. 552.

Du coup, le Shérif des films de Cow-Boys avec son étoile 5 ou 6 branches n’est plus un modèle de Justice, mais bien un modèle de Droit donc un justicier des Contrats, du Commerce et de la Guerre, c’est pour cela qu’il est armée! Et àl’armée! Encore un racompteur de Balivernes! ou Baille-verne… comme Jules… de la petite gouvernaille! T’es paumé, 20 000 lieues (leuca/location/louer/leg/borne/mille/mesure de terre/héritage/patrimoine) sous les Mers…

Ca va bien plus loin… dans Bailiff  on retrouve Chatelain/Castellan (donc Borg/Berge/Chateau), administrateur/exécuteur, et Procureur/Magistrat avec la hache et les fasces (basket/panier pour l’aumone)…

L’Homme de Pays, en Pays et sur la Pays, Il n’y a que l’Homme de P-aïe!!! qui lui aïe!!! Le mal au cul(te) terreux!

LETTER ou LETTRE – nom [de LET.]

1. Celui qui permet.

2. Celui qui retarde ou entrave.

3. Celui qui donne de l’air ; comme une lettre de sang.

– Nom – [Littérature latine] 1. MARQUE OU CARACTÈRE, écrit, imprimé, gravé ou peint ; utilisé comme représentant d’un son, ou d’une articulation des organes humains de la parole… Lettres patentes, ou ouvertement, un écrit exécuté et scellé, PAR LEQUEL LE POUVOIR ET L’AUTORITÉ SONT ACCORDÉS À UNE PERSONNE POUR FAIRE QUELQUE CHOSE, UN ACTE, OU POUR PROMOUVOIR (PROMOTION) QUELQUE DROIT ; comme lettres patentes sous le sceau de l’Angleterre. (un lettre est une per-mission!) – verbe transitif – Pour impressionner ou former des lettres sur ; comme, pour écrire un livre ; un livre doré (glose/glossa/enluminé) et lettré. (Webs1828).

Lettre

on retrouve le Connaissement d’InPower! La Lettre est un véhicule! Il faut donc payer un permis (un timbre) et cela doit être réguler! Code des Postes et Télécommunications.
un Affidavit qui réfute…
Contre-lettre= Acte de Naissance?! Définition et utilisation intéressantes de la personne!
Explication US vs USA

Alors qu’un territoire est la terre ou la « Terre », la nation est une pure fiction. Ainsi, un « État » est un nom propre désignant un (plusieurs) peuple privé sur la terre, un territoire ainsi nommé par son peuple qui détient ces terres territoriales en vertu d’un titre de propriété parfait en allodium (en son nom propre), tandis que le gouvernement de ce peuple est appelé « État », nom non-propre (non-capitalisé), une fiction du droit (personne artificielle) conçue pour contrôler le commerce interétatique et l’imposition de tiers étrangers tels que les citoyens-ships des États-Unis en agence pour des fonctions publiques.

Alors qu’un citoyen privé peut se déplacer sur des terres publiques, une personne publique ne peut se déplacer sur aucune propriété privée du territoire (État). Pour être clair, aucun État n’a jamais été formé sans être d’abord devenu un territoire des États-Unis d’Amérique (en assemblée du Congrès). Le territoire est géré, bien entendu, par le district « États-Unis », la nation, une société de gestion de portefeuilles municipaux du Peuple (États) en confédération (conspiration/combinaison), où des organismes légaux et militarisés tels que le Service forestier des États-Unis sont créés par le Congrès.

Ainsi, le Congrès de jure (légitime) crée l’agence fédérale de facto (illégitime/militairement appliquée) pour la protection de leurs territoires contre nous, nous permettant des laissez-passer annuels et journaliers payants pour errer publiquement sur leurs territoires, une courte vacance de notre esclavage général et volontaire comme capital humain. Comme c’est gentil…

Un fait est très important à retenir ici, et il sera exposé au fur et à mesure que nous poursuivrons ce travail. Une citoyenneté publique des États-Unis (Washington D.C.) n’est pas une citoyenneté privée d’un État (peuple). Par conséquent, un navire-citoyen (citizen-ship) des États-Unis ne peut pas détenir de terres, car les États-Unis sont étrangers à tous les États. En d’autres termes, et c’est la clé, les « États-Unis » ne sont pas un État (peuple), bien qu’ils soient parfois appelés par le surnom « l’État ». Le District de Columbia a été créé seulement après que les premiers États aient cédé leurs terres aux « États-Unis ».

Ainsi, la terre (territoire) située à l’intérieur de cette frontière de la Nouvelle-Colombie n’est pas un des États de l’Union. Il s’agit plutôt d’une création de ces États (peuples) réunis au Congrès. Les États (Peuple) d’Amérique ont créé les États-Unis séparément (étrangers) de leur confédération et pacte d’origine et les ont placés sous la juridiction exclusive du Congrès. Les États ne sont pas sous la juridiction du Congrès, ils sont représentés par celui-ci. Les citoyennetés communes des États-Unis sont sous la loi du Congrès, tandis que les Peuples privés des territoires (États) sont sous la loi privée qui est exclusive du droit public des États-Unis, comme celui qui est positivement créé par le Congrès.

Les « États-Unis » ont été créés par les États (plusieurs) privés (le Peuple) pour leur propre protection, pour la protection de leur vie privée (plusieurs), et pour la protection de leur propriété (les terres privées). Le public n’est pas partie à cette protection (telle qu’elle est constituée), et c’est en fait de cette protection que ces propriétaires fonciers sont protégés. Les États-Unis protègent les territoires des personnes privées (États) contre toutes les menaces, tant étrangères que nationales.

[Tu comprends donc que les États (plusieurs) (France, Italie, etc.) privés (le Peuple) pour leur propre protection, pour la protection de leur vie privée (plusieurs), et pour la protection de leur propriété (les terres privées). Le public européen n’est pas partie de cette protection (telle qu’elle est constituée), et c’est en fait de cette protection que ces propriétaires fonciers sont protégés. L’Union EUropéene protègent les territoires des personnes privées (États) contre toutes les menaces, tant étrangères que nationales].

Ainsi, pour être clair, une nationalité est le signe d’un statut politique (personne morale), et une nationalité des « États-Unis » sous quelque forme que ce soit est totalement non-américaine, et signifie une allégeance au Peuple du territoire appelé « Amérique », comme ces États réunis en confédération.

[Ainsi, pour être clair, une nationalité est le signe d’un statut politique (personne morale), et une nationalité de « l’Union Européene » sous quelque forme que ce soit est totalement non-européene, et signifie une allégeance au Peuple du territoire appelé « Europe », comme ces États réunis en confédération].

Aussi étrange que ce soit à entendre, nous devons comprendre qu’une citoyenneté américaine n’est pas techniquement un « Américain », car le district de notre domicile n’est pas aux « États-Unis d’Amérique ». Il faut être membre du peuple d’un (ou plusieurs) État privé de cette Union pour être « américain ». Les États-Unis, en tant que district et siège du gouvernement commercial, ne s’appellent pas correctement « Amérique ».

Il est appelé (stylé) seulement comme les « États-Unis ». Si on l’appelait « Russie » ou « France » au lieu des « États-Unis », absolument rien de sa structure actuelle ne changerait ; acceptez ce mot (nom/titre) dénué de sens. Le Peuple de l’Amérique resterait tel qu’il s’est originellement désigné. Seul le nom de leurs corporations municipales créée changeraient, pas le nom du Peuple. Le titre ne fait pas la Réalité.

Mais nous devons être clairs qu’aucun homme de Dieu suivant les enseignements du Christ ne porterait de toute façon un titre aussi faux et flatteur que ceux-ci, car ni les États-Unis ni l’Amérique n’existent réellement dans la nature (ni la France, ni le Benelux, ni le Maroc, ni l’Algérie, ni la Tunisie, etc.). Ce ne sont pas des Créations de Dieu. Et c’est là tout l’intérêt. Car nous pourrions passer des heures à débattre, à délibérer et peut-être à nous battre violemment sur la terminologie correcte de ces termes, mais en fin de compte, notre désaccord total porterait sur quelque chose qui n’existe pas réellement dans la Nature. Nous nous disputerions sur une description artificielle d’un nom (lieu) artificiel. C’est le domaine des imbéciles. Et ces « Gens » privés d’Amérique qui gardent des imbéciles comme leurs animaux de compagnie publics et leurs travailleurs journaliers sont tout à fait satisfaits de maintenir une telle dé-libération fictive à perpétuité. Car la connaissance de Jéhovah détruirait leur empire construit sur l’ignorance. La France, être français, chrétien, musulman, parisien, etc… n’est qu’une culture d’esclavage imposé par la lobotomie…

Cela montre la confusion et le danger inhérents aux mots, car appeler n’importe quoi par un nom accepté et consenti par certains ne le rend pas nécessairement comme tel dans la Réalité. Par exemple, nous croyons que les « États-Unis » sont en fait la terre (le territoire) des États-Unis d’Amérique, parce que le nom est si semblable (mais pas le même). Pourtant, aucune de ces choses ne va de soi. La perspective est tout, et les maîtres du langage et de la magie des mots sont plus qu’heureux de vous laisser continuer à penser ce que vous souhaitez pour satisfaire votre propre ego, tant que vous êtes en fin de compte amenés à garder votre identité d’esclave publique intacte pendant que vous débattez de votre propre cours et de votre destin scellé.

La Carte n’est pas le Territoire, et le Territoire n’est pas la Carte.
Le Territoire et la Carte ne sont pas le Monde, ni la/les Terre(s)…

Terre-i-« toire », de « oir » ou « orius« , or (argent) et ius (jus, la loi) de la Terre mais juridique et légal (droit positif), pas celle de la Nature (droit négatif), la Terre (sans apparat ‘itoire’).

Nous avons libéré quatre millions d’êtres humains des chaînes (des esclaves) et ramené tous les travailleurs à un niveau commun, non pas tant par l’élévation des anciens esclaves que par la réduction concrète de toute la population active, blanche et noire, à un état de SERVAGE. Tout en nous vantant de nos nobles actions, nous prenons soin de dissimuler l’affreux fait que par un système monétaire injuste, nous avons NATIONALISÉ UN SYSTÈME D’OPPRESSION qui, bien que plus raffiné, n’est pas moins cruel que l’ancien système d’esclavage mobilier.

Horace Greeley (1811-1872), fondateur du New York Tribune, s’exprimant sur la citoyenneté post-guerre civile, sur le « 14e amendement »

Ça c’est vraiment toi!

Un don est une donation est cela peut se monétiser!

Et la liberté n’est que la liberté de faire du commerce!

Sous différentes condi(c)tio, un libre échange 😉 of course! bien (as)sûr(é)!

[condiction, exercice de l’action personnelle par opposition à l’action réelle]…

Donc une fiction! « Dictio le con » (con-diction) est « dire/racompter » l’arnaque(=con), c’est la « programmer » chez les ‘trop bon, trop con’… les gentiles; et dicter « le con » et/est la tromperie, c’est « racompter » une fiction, une histoire, une légende (glose).

Un fou est un idiot, un idiota, un illettré, comme un bébé ou un enfant… un fou naturel est une personne née sans compréhension et sans comprendre; un fou, un idiot, un « naturel »…

IDiota (et l’ID-IoT: L’Internet des Choses/Objets), ID-entité, ID-entique… homooúsios (« de même substance que Dieu »), de ὁμός, homós (« pareil ») et οὐσία, ousía (« essence », « substance », « être »), alors que les (semi-)ariens soutenaient qu’il était ὁμοιούσιος, homoioúsios (« de substance semblable à Dieu ») (seul un iota distingue les deux mots).

Identique≠ pareil.

Petite quantité négligeable, presque rien. i = yoda 😉

Et le fou ou follis est le feu, le vent… « (s’)agiter comme un soufflet, aller ça et là » et le sens de « vagabond, capricieux, étourdi », sens que l’on a dans « herbe folle, feu follet ».

L’id ou le Ça (latin pour « it », allemand : Es et proto-allemandhit‘ donnant his/her/him en anglais) est la partie désorganisée de la structure de la personnalité qui contient les pulsions de base et instinctives d’un humain. L’id est le seul composant de la personnalité qui est présent dès la naissance (l’acte de naissance lol). Il est la source des besoins, des désirs, des désirs et des impulsions du corps d’une personne, en particulier de ses pulsions sexuelles et agressives. Le Id contient la libido, qui est la source première de la force instinctive qui ne répond pas aux exigences de la réalité. Le Ça ou Id agit selon le « principe du plaisir » – la force psychique qui motive la tendance à rechercher la satisfaction immédiate de toute impulsion – définie comme cherchant à éviter la douleur ou le déplaisir (et non le « déplaisir ») suscité par l’augmentation de la tension instinctive. Selon Freud, le Ça/Id est inconscient par définition :

« C’est la partie sombre (occulte!) et inaccessible de notre personnalité (le registre lol), le peu que nous en savons, nous l’avons appris de notre étude du travail des rêves et bien sûr de la construction des symptômes névrotiques (trauma, multi-personalité multi-papiers!), et la plupart de cela est de caractère négatif et ne peut être décrit que comme un contraste avec l’égo (légaux, légale, juridique lol). Nous abordons le Ça avec des analogies : nous l’appelons un chaos, un chaudron plein d’excitations bouillonnantes. Il est rempli d’une énergie qui lui vient des instincts, mais il n’a aucune organisation, ne produit aucune volonté collective, mais seulement un effort pour amener la satisfaction des besoins instinctifs soumis à l’observance du principe de plaisir ».

Dans Id :

… les impulsions contraires existent côte à côte, sans s’annuler. Il n’y a rien dans l’id qui puisse être comparé à la négation… rien dans l’id qui corresponde à l’idée du temps.

Sur le plan du développement, le ça précède l’ego, c’est-à-dire que l’appareil psychique commence, à la naissance, comme un ça indifférencié, dont une partie se développe ensuite en un ego structuré. Alors que le « ça » est à la recherche du plaisir, « l’égo » met l’accent sur le principe de la réalité. Ainsi, le Ça :

… contient tout ce qui est hérité, qui est présent à la naissance, est inscrit dans la constitution – par-dessus tout, donc, les instincts, qui proviennent de l’organisation somatique, et qui trouvent ici une première expression psychique (dans le ça) sous des formes inconnues de nous.

L’esprit d’un nouveau-né est considéré comme complètement « id-ridden », dans le sens où il est une masse de pulsions et d’impulsions instinctives, et a besoin d’une satisfaction immédiate. Le « ça » se déplace vers ce dont l’organisme a besoin. Un exemple est la réduction de la tension qui est expérimentée.

Le Ça « ne connaît pas de jugements de valeur : pas de bien et de mal, pas de morale. …des cathéters instinctifs qui cherchent à se décharger, c’est tout ce qu’il y a dans le Ça. » Il est considéré comme « le grand réservoir de la libido », la pulsion instinctive de créer les instincts de vie qui sont cruciaux pour une survie agréable. A côté des instincts de vie, il y a eu les instincts de mort – la pulsion de mort que Freud a articulée relativement tard dans sa carrière dans « l’hypothèse d’un instinct de mort, dont la tâche est de ramener la vie organique à l’état inanimé ». Pour Freud, « l’instinct de mort semblerait donc s’exprimer – bien que probablement seulement en partie – comme un instinct de destruction dirigé contre le monde extérieur et les autres organismes » par l’agression. Freud considérait que « le ça, la personne entière… comprend à l’origine toutes les pulsions instinctives… l’instinct de destruction aussi », comme l’Éros ou les instincts de vie. (ça fait bien le parallèle avec la Fraude du Nom).

Les théories de Freud ne sont valables que pour le Trauma, style MK Ultra (trauma par sexe principalement), c’est pour cela que beaucoup le réfute car ils ne voient pas cela, mais c’est intéressant car maintenant on se trouve dans une société MK Ultra édulcorée… la sexualisation de l’enfant qui mène à des inepties comme celle de Kinsey… l’ID donc de l’inconscient (la séparation (scient) par le con (arnaque/tromperie)) et de l’énergie psychique donc le Mental, s’il y a pulsions, il y a émotions donc il semble qu’il y ait un probleme d’équilibre Émotion/Mental… Cerveau Droit et Cerveau Gauche!

Bon, j’ai casé ça lol mais la Psychanalyse n’est qu’une histoire de fou et quand c’est trop compliqué, ce n’est plus la vérité! j’m’arrête là, le bouquin fait presque 800 pages! Mais je pense que j’vais faire les audios de Clint Richardson, très intéressant, car ses recherches mélangent vaccins, moisissures, bactériophages, en relation toujours avec l’étymologie et l’homme de paille… comme Romley Stewart, il précise et illustre bien que le langage a été modifié et que les mots se sont rarifiés! On le voit bien avec la langue de bois et les mots créés par les Think-Tanks.

« Vous êtes libres de faire ce que nous vous disons ! »

– Bill Hicks –

=== Que Dieu te protège* ou pas 😉 ===

=== trad et adapt jackfructus, usus, abusus et appusus ===

« I am fire, I am Death… » — Smaug
« I am Death, The Destroyer of Worlds » — Oppenheimer

source: http://www.strawmanstory.info et https://realitybloger.wordpress.com, aider de Deepl.com

*protéger: protego… pro= professionnel, commerce, pute; tego= assurer, couvrir, ensevelir, enterrer… cqfd 😉

désolé pour cette vidéo d’un borg pédophile… mais cette chanson est erton requiem
Du latin requiem (« repos »), premiers mots de la prière des morts :
Requiem aeternam dona eis Domine («Donne-leur le repos éternel, Seigneur»).
(Christianisme) Prière que l’Église fait pour les morts.
Fin de quelque chose.
Requ(i)ête?! Consentement Tacite!
La (con)quête se fait en Silence… mais per le son de l’a(r)gent.

Amen=Nomen=Personâme=Possession=Avoir≠Être

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