Il arrive
certains instants
sans trop savoir
le pourquoi du comment
de devenir capable
d’une rencontre
alors le temps d’une lumière
d’un regard
de la page d’un livre
l’autre
devient
possible
certains instants
sans trop savoir
le pourquoi du comment
de devenir capable
d’une rencontre
alors le temps d’une lumière
d’un regard
de la page d’un livre
l’autre
devient
possible
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Comme un cheveu sur la soupe 
Oui, ça arrive, ce sont les aléas de la vie…. 🙂
Sympa de nous faire découvrir ce jeunes écrivain, ne le connaissais pas.
C’est Mirabelle qui va être jalouse… 😀
Bonne soirée Vincent.
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Oui, jeune, c’est ce qui m’a frappé aussi quand j’ai appris son âge après avoir été touché par un de ses poèmes qui se terminait ainsi, « Nous sommes des bêtes blessées et seules les bêtes blessées connaissent la tendresse. » Depuis, je frèquente quotidiennement son blog et j’y laisse souvent des commentaires, tant j’aime sa poésie. J’ai lu également ses romans, je te recommande particulièrement « Ici ça va », il est magnifique, j’en parle souvent sur ce blog. Ses recueils de poésies sont aussi superbes, j’ai offert « Noir dedans » de nombreuses fois à des gens que j’aime et particulièrement à une amie dans un très grand malheur et qui a trouvé à sa lecture un peu de réconfort.
Non, Mirabelle n’est pas jalouse, elle aime regarder la voute céleste, les pommiers en fleur, les photographes, elle aime la poésie.
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Vais écouter ton conseil ! 😉 Merci !
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Rencontrer la poésie.
« La poésie est dans la rue, dans le ruisseau, elle est tout à fait dénuée de hiérarchie, elle ne sait pas. Elle ne sait rien. Elle est le chant de notre ignorance. Elle ne connaît pas son homme, ni ses amours, ni ses idées politiques, ni ses ambitions sociales. Elle est ce qui est toujours là, dans nos jours et nos nuits difficiles… »
Georges Perros (Papiers collés II)
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