Covenant : Promenons-nous dans l’espace !

Cher Journal,

Je suis retourné au cinéma avec une amie. Elle était plus fan de la série que moi mais je n’étais pas contre un peu de frisson.

Qu’avons-nous vu ?

Alien Covenant

Genre : comédie
Réalisé par Ridley Freud
Avec Fassbender dans les rôles de Nono le gentil Robot et sa version originale : Felon 2000.

Le pitch :
C’est un grand moment pour l’humanité ! Le premier vaisseau colonial interstellaire contenant plus de 2000 colons en stase chemine vers Osef-Prime. Pour mener à bien cette expédition, l’équipage, trié sur le volet, est composé des meilleurs stagiaires de Weyland. Le Commandant Jean-Michel Doutage, peut compter sur la franche camaraderie qui règne entre le Sergent Tacos Guacamole, le mécano (?) Buffalo Yankee, le second Random BadassGirl et tout le reste de l’équipage issu de la Télé-réalité.
Ils devront faire face à d’innombrables catastrophes provoquées par leur capacité à prendre systématiquement les décisions le plus stupides. Florilèges :
– Dérouter un vaisseau colonial vers une destination inconnue.
– Sur l’exo-planète : toucher à TOUT, surtout si c’est franchement repoussant.
– Faire confiance à un droïde inconnue ressemblant à Brice de Nice et vivant dans une nécropole dans laquelle il se livre à la génétique et à la papeterie.
– Pendre un cours de flûte avec le dit droïde (Meilleure scène du monde, sans déconner).
– Attendre de ne plus avoir l’adversaire en mire pour tirer.
– Et les classiques : faire des groupes de un ou prendre sa douche tout seul à 6 km du groupe de 1 le plus proche.

Cela dit, j’ai passé un bon moment : j’ai rarement autant ri. Il y a même une réflexion « philosophique ». L’invention de l’homme lui échappe telle lui-même se détournant de son créateur pour aller s’enfiler dans la bible… Parce que c’est bien connu, quand on n’a pas la foi, on s’encule (métaphore subtile pour dire qu’il n’y a plus de morale).

Magique !

Gros bisous.

3 réflexions sur “Covenant : Promenons-nous dans l’espace !

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