Une arme de destruction massive

Bella Dodd avertie d’un complot diabolique de pédérastes contre l’Église catholique

https://www.winterwatch.net/2024/05/bella-dodd-warned-of-diabolical-pederast-conspiracy-against-catholic-church/

Selon le rapport, 81 % des victimes d’abus aux États-Unis étaient des hommes. Une étude distincte menée par le Dr Thomas Plante a conclu que ce chiffre pouvait atteindre 90 %.

Seulement 1 % des scandales impliquant des prêtres masculins concernaient des femmes adultes, et seulement 2 % des hommes adultes. La prédation hétérosexuelle d’adolescentes et d’enfants ne représente qu’une fraction de la prédation homosexuelle d’adolescents et d’enfants de sexe masculin.

Ces événements ont terni la réputation de nombreux ecclésiastiques vertueux de l’Église catholique romaine.

Source Henry Makow

Une arme de destruction massive

Le silence complice

C’est l’un des personnages appelés par le jésuite argentin en tant qu’artiste à la Journée mondiale de l’enfance. Il est maintenant clair que Bergoglio est l’un des principaux militants de l’agenda infernal LGBTQ+. Il n’y a plus de mots pour exprimer le scandale et le dégoût, dans le silence complice et lâche de l’épiscopat. « Celui qui scandalisera un seul de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui pendît au cou une meule de moulin et qu’on le jetât au fond de la mer » (Mt 18:6)
twitter.com/x/migrate?tok=eyJlIjoiL0NhcmxvTVZpZ2Fuby9zdGF0dXMv

Le silence complice

Aux fous

D’abord il n’était pas question d’envoyer en Ukraine des armes offensives, puis on en a envoyé. Il n’était pas question d’envoyer des chars, puis on en a envoyé. Il n’était pas question d’envoyer des avions, puis on en a… promis. Il n’était pas question d’envoyer des missiles à longue portée, puis on en a envoyé, mais à condition que ne soient pas visées des cibles sur le territoire de la Russie.

La nouvelle escalade est grave : elle consiste à permettre à l’Ukraine d’envoyer des missiles au cœur de la Russie. Le Royaume-Uni, qui dirige cette guerre depuis le début, a déjà unilatéralement donné cette permission. Des voix s’élèvent aux États-Unis pour que soit prise la même décision, ce qui devrait être fait dans les jours qui viennent. D’autant que le chef de l’OTAN Jen Stoltenberg a pris hier la même position : « Le moment est venu pour les alliés de réfléchir à la possibilité de lever certaines des restrictions qu’ils ont imposées sur l’utilisation des armes envoyées à l’Ukraine », et précisément de donner à Kiev « la possibilité d’utiliser ces armes contre des cibles militaires légitimes sur le territoire russe ». C’est ce qu’a demandé aussi la semaine dernière Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale.

Dès la permission accordée par le Royaume Uni, la Russie a fait savoir que la riposte légitime serait de frapper les cibles britanniques « en Ukraine et au-delà ». Car la fiction a volé en éclats selon laquelle les armes utilisées par l’Ukraine ne sont pas des armes de l’OTAN mais des armes ukrainiennes puisque achetés par l’Ukraine. Il y a longtemps que l’Ukraine ne peut plus acheter d’armes et qu’on les lui donne : « les armes envoyées à l’Ukraine », dit bien Stoltenberg. Les armes de l’OTAN, avec instructeurs de l’OTAN, et renseignements de l’OTAN. C’est donc clairement l’OTAN qui attaque la Russie. Il ne servira à rien de gémir quand la Russie ripostera sur le territoire ennemi : celui des pays de l’OTAN fournisseurs de missiles à longue portée. Dont la France.

Source Daoudal

Aux fous

La gangrène

Union Spirite Française et Francophone

L’Union spirite française et francophone (USFF), anciennement Conseil spirite français (CSF), est une organisation fédérative du mouvement spirite français.

Institution fondée à Tours, en 1985, elle est à l’origine en France d’un retour du mouvement spirite à la lettre de la codification d’Allan Kardec dans les années 1980.

Introduction

La genèse de l’USFF est amplement décrite par Marion Aubrée et François Laplantine1.

Divers changement ébranlent le milieu du spiritisme en France. D’abord, l’abandon en 1976 des mots « spirites » et « spiritisme » par l’Union Spirite Française, qui devient Union Scientifique Francophone pour l’Investigation Psychique et l’Étude de la Survivance. Ensuite, lorsque l’USFIPES opère un braquage vers la parapsychologie, cherchant « la preuve scientifique de la survivance », et qu’elle promeut également la voyance, les milieux spirites de vieille implantation s’organisent. C’est dans la fédération du Nord que la dimension « christique » du spiritisme est demeurée forte.

Deux hommes du nord, Roland Tavernier et Louis Serré publient fin 1983 une petite revue artisanale, Convergences Spirituelles. Rapidement, cinquante six groupes français, six groupes belges et un suisse se font connaître dans ses colonnes. Leur édition reprend la tradition spirite dans sa dimension sociale, tolérante et aussi communautaire, proche de celle au début du XXe siècle.

Profitant de cette dynamique, ils participent à la fondation de l’Union Spirite Française et Francophone, au chef de laquelle on retrouve des groupes du Nord, de Paris et Tours. Rapidement, l’USFF pilote le lancement de groupes ailleurs en France.

Histoire

Sa fondation

L’Union Spirite Française et Francophone succède à l’Union Spirite Française qui organisait jusqu’à présent diverses tendances du spiritisme. Sept ans après avoir rompu avec la ligne christique du spiritisme, les organisations attachées à cette tendance rompent avec l’USFIPES pour former l’USFF7.

Bandeau titre de la Revue Spirite en langue anglaise faisant mention de l’USFF

Elle se donne pour mission de restructurer le mouvement spirite et de préserver le « noyau structurel » de la doctrine. Pour ce faire, elle renoue des liens en Europe (Espagne, Portugal, Belgique, Suisse) et en Amérique (Brésil). Par ses contacts, elle concourt en 1989 à la formation de l’éphémère Confédération Spirite Européenne, qui cesse toute activité dès 1992. Voulant recréer un mouvement européen fort, elle remettra à l’honneur l’espéranto.

L’USFF se dote rapidement d’un organe officiel, La Nouvelle revue des spirites d’expression française, dans lequel elle diffuse ses idées. En la personne de Roger Perez (d) , l’USFF requiert auprès du tribunal de commerce de Meaux les droits qu’André Dumas détenait encore sur le titre la Revue Spirite, ce qu’elle obtient le 23 mars 1989.

Son expansion

Mémorial Allan Kardec, quai Gailleton (Lyon 2e arrondissement)

Dès sa création, elle rassemble des groupes un peu partout en France. Ces groupes sont nommés « centres », « chaînons » dans le nord de la France, « groupe », « association », « société d’étude », chacun regroupant entre quinze et cinquante personnes.

À la fin des années 1980, l’USFF revendique 1000 pratiquants, entre 4000 et 5000 à la fin des années 1990. Marion Aubrée précise bien que ce nombre ignore ceux qui le pratique pour se divertir, par curiosité, les groupes informels et/ou les groupes indépendants7. Les centres affiliés à l’USFF s’articulent tous sur le même but : 1) l’étude de la doctrine et la prière, 2) le développement de la médiumnité, 3) la mise en place de séances publiques ou/et privées.

En 1992, l’USFF et d’autres fédérations nationales créent conjointement le Conseil Spirite International. D’ailleurs, en 2000, l’USFF lui cède ses droits sur la Revue Spirite. Cette même année, l’USFF participe au Millennium Peace Summit of Religious and Spiritual Leaders (en), à l’ONU, du 28 au 31 août 2000.

C’est sous son patronage qu’en 2004, le 4e congrès spirite mondial se déroule à Paris, célébrant en grande pompe le bicentenaire de la naissance d’Allan Kardec, produisant à cette occasion un DVD. L’année suivante, à Lyon, l’USFF et les groupes locaux font déposer une stèle mémoriel au lieu de sa naissance.

Des divisions internes

Couverture du recueil Vignes de Lumière

À partir de l’année 2007, l’USFF connaît de nombreux changements. En premier lieu, elle est dissoute et de nombreux présidents de centres fondent en 2007, à Denicé, le Conseil Spirite Français. À cette occasion, elle publie le périodique Vignes de lumière. D’après Claire Souillac, le 21 mars 2016, une trentaine de centres et groupes français y étaient affiliés. Il avait pour but de rétablir une base pour l’union et le rassemblement des spirites en France.

Logo du CSF de 2007 à 2018

En 2017, l’organisation se déchire de nouveaux. Une partie des membres attaché aux origines du mouvement la renomme USFF, une autre partie fonde la Fédération Spirite Française. Les deux organisations participent conjointement au développement et au rayonnement du Conseil Spirite International en France jusqu’en 2020, date à partir de laquelle la FSF cesse cette collaboration.

La refondation

En octobre 2018 le nom de CSF est toujours utilisé, comme à l’occasion du second congrès médico-spirite de Menton, c’est un mois plus tard que le CSF reprend le nom d’USFF. C’est elle qui est chargée d’organiser le congrès du CSI pour ses trente ans d’existence, en 2022. Le congrès qui devait se tenir à Nice est finalement organisé en ligne.

Objets de l’organisation

Dans ses statuts (2018), l’USFF a pour fondement d’étudier, enseigner, divulguer et s’efforcer de mettre en pratique la philosophie spirite telle que codifiée par Allan Kardec.

Pour divulguer le spiritisme elle publie à ses débuts certains ouvrages avant de se faire l’intermédiaire en France des éditions du CSI. Aussi, elle obtient rapidement le droit, en 1989, de republier La Revue Spirite. Depuis 2020, elle se dote d’une boutique en ligne qui propose à la vente des ouvrages publiés en son nom (USFF éditions), ceux d’Allan Kardec et d’auteurs brésiliens (Divaldo Pereira Franco, Chico Xavier, etc).

Cette divulgation se fait aussi par l’intermédiaire des symposiums, des congrès et des rencontres avec des conférenciers pour la plupart venus du Brésil.

Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous vous en supplions :
et vous, Prince de la Milice Céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais qui
parcourent le monde pour la perte des âmes.
Amen.
La gangrène

A quoi servent les guerres ?

LE LUNDI 27 MAI EST LE MEMORIAL DAY AUX ÉTATS-UNIS.

Le Memorial Day normalise la guerre, la même guerre que les satanistes mènent contre Dieu et les hommes depuis des siècles.

Toutes les guerres sont des opérations psychologiques. Le COVID n’était pas grand-chose comparé à la Première Guerre mondiale, à la Seconde Guerre mondiale, à la Guerre froide, à la Corée et au Vietnam. Toutes ces guerres ont été mises en scène par les banquiers des Illuminati pour dégrader et détruire la civilisation chrétienne et pour sacrifier des millions d’êtres humains à Satan. Si nous considérons les morts de la guerre comme des « héros » plutôt que comme des victimes d’une conspiration diabolique, nous ne les honorons pas. Nous cautionnons leur assassinat.

Je vous invite à regarder cette interview du professeur Anthony Sutton. Il y explique que Wall Street a financé Hitler et la machine de guerre nazie et a fourni des technologies indispensables. Wall Street a également financé la révolution bolchevique, a littéralement construit l’URSS et lui a fourni la technologie des bombes nucléaires.


« Capitalisme et communisme sont identiques », affirme Sutton, une vérité que nous découvrons aujourd’hui, à notre grande consternation. Loin d’être libres, nous sommes des souris dans un laboratoire dirigé par des psychopathes.


Un État communiste mondial a toujours été leur objectif.

Voir aussi Sutton – Wall Street et la révolution bolchevique

Comprendre l’histoire

– La guerre est un canular tragique. Le canular des covidés n’est qu’un autre exemple de la guerre cabaliste à long terme contre l’humanité. Les guerres sont ce qui se rapproche le plus de l’enfer sur terre. Que voulez-vous ? Elles sont conçues par des satanistes. Pourquoi les acceptons-nous comme naturelles et inévitables ? Pourquoi perpétuer le mythe selon lequel les soldats « défendent notre liberté » alors qu’en réalité les guerres sont conçues pour les sacrifier à Satan et nous priver de notre liberté ?

Dans la Symphonie rouge, l’initié juif des Illuminati Christian Rakovsky a déclaré : « Les guerres sont révolutionnaires »

« Révolution » signifie en réalité « renverser » la civilisation occidentale. Remplacer Dieu par Lucifer. « Le christianisme est notre seul véritable ennemi, car tous les phénomènes politiques et économiques des États bourgeois ne sont que ses conséquences », déclare Rakovsky.

La paix est « contre-révolutionnaire » puisque c’est la guerre qui ouvre la voie à la révolution. La révolution signifie en fait le renversement de la civilisation occidentale. La guerre est donc une entreprise autodestructrice conçue par des gens qui veulent nous avilir et nous réduire en esclavage.

Lorsque les États-Unis et l’Angleterre ont prêté de l’argent au Mexique en 1903 en utilisant ses recettes douanières comme garantie, le banquier Illuminati Jacob Schiff a câblé à son homologue anglais, Ernest Cassel : « S’ils ne paient pas, qui percevra les droits de douane ? »


Cassel répond : « Vos marines et les nôtres ». (La vie d’Otto Kahn, p. 22)

Le général de marine Smedley Butler (1881-1940) a confirmé qu’il était « un homme de main de haut niveau pour les grandes entreprises, Wall Street et les banquiers ».

Dans War is a Racket (1935), il écrit : « J’ai contribué à rendre le Mexique, en particulier Tampico, sûr pour les intérêts pétroliers américains en 1914. J’ai contribué à faire d’Haïti et de Cuba des endroits décents où les gars de la National City Bank pouvaient percevoir des revenus. J’ai participé au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale au profit de Wall Street. L’histoire du racket est longue. J’ai aidé à purifier le Nicaragua pour la banque internationale Brown Brothers en 1909-1912. J’ai éclairé la République dominicaine pour les intérêts sucriers américains en 1916. En Chine, j’ai contribué à faire en sorte que la Standard Oil poursuive son chemin sans être dérangée ».

En 2011, l’OTAN a fomenté et dirigé une mission en Libye, l’un des quatre pays qui n’avaient pas de banque centrale Rothschild. Aujourd’hui, la Libye en a une. Ils n’appellent plus cela de l’impérialisme. Ils l’appellent « Notre mission en Libye ». Les soldats ne sont pas des mercenaires, ce sont des « missionnaires ». Ils s’en prennent maintenant à la Syrie, à la Corée du Nord et à l’Iran, trois des quatre derniers pays qui n’ont pas de banque centrale Rothschild

LES BANQUIERS CENTRAUX SONT DERRIÈRE TOUTES LES GUERRES

Toutes les guerres sont organisées par les banquiers Illuminati pour recouvrer ou contracter des dettes, tuer des goyim, piller ou faire des profits, et pour faire avancer leur programme de tyrannie maçonnique juive de « gouvernement mondial ».

Ils font appel à notre patriotisme pour nous attirer dans leurs filets. On nous dit que nous nous battons pour « préserver la liberté », alors que c’est tout le contraire.

Quel regard devons-nous donc porter sur les morts de la guerre ?

Je considère que leur vie a été tragiquement interrompue pour une cause bidon. Ce sont des sacrifices humains, des dupes et des mercenaires. Nous avons tous été dupés pendant très longtemps. Cela confère au Memorial Day une teinte de pathos et de cynisme.


DEUXIÈME GUERRE MONDIALE

Pendant que nous perdions nos pères et nos fils, les banquiers centraux alliés et nazis étaient assis côte à côte à Bâle, à la Banque des règlements internationaux (BRI), et finançaient principalement les nazis.

La BRI a remis aux nazis le trésor national de la Tchécoslovaquie, des Pays-Bas et de la Belgique pour que la guerre puisse continuer. Cet or, d’une valeur de 378 millions de dollars à l’époque, a servi de base aux prêts accordés aux nazis et n’a jamais été restitué.

La BRI a accepté et stocké le butin nazi – œuvres d’art, diamants et métaux précieux, y compris l’or dentaire et l’alliance des détenus des camps de concentration.

La Réserve fédérale américaine, les banques d’Angleterre, de France, d’Italie, du Japon et la Reichsbank étaient toutes membres de la BRI.

La Reichsbank nazie disposait de la plupart des sièges, mais le président de la BRI était un factotum de Rockefeller, Thomas H. McKittrick (1889-1970). (Il est significatif qu’il n’ait pas d’entrée dans Wikipédia).
« CHANGER LE MONDE » SIGNIFIE AVOIR UNE GUERRE MONDIALE.



Interrogé par un fonctionnaire du département du Trésor américain en mars 1945, McKittrick a déclaré que la guerre n’avait été qu’une mascarade depuis le début et que l’Allemagne en avait fait les frais.

À la question de savoir pourquoi la BRI travaillait avec les nazis, il a répondu : « Dans la structure financière compliquée de l’Allemagne, certains hommes qui ont le point de vue de leur banque centrale occupent des positions très stratégiques et peuvent influencer la conduite du gouvernement allemand… »

Puis il a tout expliqué, même si c’était un euphémisme. Le but de la guerre était de repositionner l’Allemagne dans le Nouvel Ordre Mondial des banquiers :

« McKittrick a poursuivi en disant qu’il y avait un petit groupe de financiers qui avaient senti dès le début que l’Allemagne perdrait la guerre ; qu’après la défaite, ils pourraient émerger pour façonner le destin de l’Allemagne. Qu’ils « maintiendraient leurs contacts et leur confiance avec d’autres éléments bancaires importants afin d’être dans une position plus forte dans le monde de l’après-guerre pour négocier des prêts pour la reconstruction de l’Allemagne ».

La citation ci-dessus est tirée du livre époustouflant de Charles Higham, Trading With the Enemy, 1983, p. 37. (Voir des extraits ici)

Ces banquiers contrôlaient un grand nombre d’entreprises qui possédaient des usines dans l’Europe occupée, lesquelles soutenaient l’effort de guerre nazi et en profitaient largement.


Ford, General Motors, Standard Oil et ITT ont fourni aux nazis des camions, des moteurs d’avion, du matériel et des technologies essentiels, leur donnant souvent la préférence en cas de pénurie. Par exemple, les Alliés ont bombardé une usine de roulements à billes en Allemagne, mais le stock a été remplacé par une usine en Pennsylvanie (via la Suède).

Higham appelle ces banquiers « la fraternité ». Ce sont les Illuminati.

Un groupe antérieur de banquiers a orchestré la Première Guerre mondiale et l’a maintenue. Mais vous voyez ce que je veux dire. Toutes les guerres sont en réalité menées par les banquiers centraux lucifériens contre l’humanité, c’est-à-dire « les goyim ».

En 1916, près de 1,2 million de soldats britanniques, français et allemands sont morts ou ont été mutilés au cours de la seule bataille de la Somme. Ils étaient la crème de leur génération. La dette nationale britannique a été multipliée par dix.

En participant à une guerre, nous sommes complices de notre propre destruction. Ils nous sacrifient à leur Dieu Satan.

Les militaires sont eux aussi en train de comprendre. Un récent sondage a révélé que seuls 34 % des vétérans de l’armée américaine de l’après 11 septembre pensaient que les guerres d’Irak et d’Afghanistan valaient la peine d’être menées. Les soldats américains disent maintenant généralement qu’ils se battent « pour leurs copains » et non pour leur pays.

CONCLUSION

Nous ne pouvons honorer les morts de la guerre sans reconnaître que, comme nous, ils ont été dupés. Sinon, nous perpétuons le sinistre pouvoir qui nous retient prisonniers.

En fin de compte, le Nouvel Ordre Mondial consiste à remplacer le règne de Dieu par le règne de Lucifer. C’est pourquoi le mot « Dieu » est devenu un gros mot. La guerre est le principal moyen par lequel les disciples de Lucifer, les banquiers centraux cabalistes (satanistes), « changent le monde ».

Ils ont érigé un État policier derrière la façade de la liberté. Nous ne le savons pas parce que nos dirigeants au sein du gouvernement, de l’éducation et des médias y participent, volontairement ou involontairement. La trahison à l’égard de Dieu et de la patrie est une condition préalable à la réussite dans de nombreux domaines, plus que jamais aujourd’hui.

Si honorer les morts de la guerre signifie perpétuer un cycle de guerre sans fin, il faut arrêter. Mieux vaut honorer les morts en abolissant les guerres. Nous pouvons le faire en nationalisant les banques centrales privées et en obligeant les banquiers à répondre de leurs crimes.

Source Henry Makow

A quoi servent les guerres ?

Le choix est simple

La fille aînée de l’Église, ou la fille aînée des « Lumières »?

IL faut choisir, soit la vraie religion qui unit au seul vrai Dieu, la civilisation, la vie, l’intelligence, la beauté, l’art, les vertus qui ont façonné la France, la vraie liberté; soit la révolte contre Dieu, les ténèbres, la barbarie, la stupidité, la laideur, le non-sens, les vices pourvoyeurs de l’Enfer, l’esclavage au Prince de ce monde et ses suppôts …….

Le choix est simple

Quicumque vult salvus esse

Symbole de foi de saint Athanase

La Très-Sainte Trinité : Père & Fils & Saint-Esprit


Le symbole de saint Athanase, appelé « Quicumque » – du nom de son premier terme, est un symbole de foi confessant la Trinité et l’union des deux natures divine & humaine dans le Christ.
La tradition occidentale en attribue unanimement la paternité à saint Athanase (c. 298 † 373), patriarche d’Alexandrie, champion de la foi catholique professée au concile de Nicée et par là grand adversaire de l’hérésie arienne.
Toutefois comme le texte a été rédigé manifestement en latin en Gaule et qu’il est inconnu des Orientaux, la critique moderne a voulu y voir une fausse attribution au grand évêque d’Alexandrie.
Pourtant, c’était vite oublier que saint Athanase, persécuté par le pouvoir impérial arien, a été exilé plusieurs années en Gaule, plus précisément à Trèves, capitale de la Gaule Belgique Première ainsi qu’à Rome. Lors du Concile de Sardique (343), il représente 34 évêques de Gaule qui lui ont donné signature.

Saint Athanase, lettré et savant, ne pouvait pas ne pas utiliser le latin lors de ses nombreux & longs exils en Occident. Ce symbole est vraisemblablement un compendium de sa foi laissé à ses amis les évêques de Provence.

On trouve les premières traces claires de ce symbole dans le Commonitorum de saint Vincent de Lérins († 450). Un livre de commentaire lui est dédié dès le Vème siècle qui semble être rédigé par Euphronius (sans que l’on sache s’il s’agit de l’évêque de Tours ou de celui d’Autun de cette époque – un manuscrit milanais de cet ouvrage l’attribue à Fortunat, mais on ignore s’il s’agit de l’évêque de Poitiers de cette époque). On retrouve de nombreuses expressions proches de celles de notre symbole dans les écrits de saint Augustin d’Hippone († 430) comme de saint Fulgence de Ruspe († 533)

Saint Athanase d'Alexandrie

La première mention précise qui en est toutefois connue se trouve dans un sermon de saint Césaire d’Arles prononcé en 542 : “Ici commence le symbole de la foi catholique du saint évêque Athanase”.

De la Gaule, ce symbole rayonne dans les pays voisins, en Espagne, en Afrique ; en 633, le quatrième concile de Tolède, sous la présidence d’Isidore de Séville, en incorpore des citations dans sa déclaration doctrinale. Le même saint Isidore cite ce symbole dans plusieurs de ses lettres.

Le premier canon du concile d’Autun (en 670 ou 676) présidé par l’évêque saint Léger ordonne que les prêtres et les clercs de l’Église de Gaule sachent par cœur le symbole de Saint Athanase :

Si quis presbyter, aut diaconus, subdiaconus, clericus, symbolum quod, Sancto inspirante Spiritu, Apostoli tradiderunt, et fidem sancti Athanasii præsulis irreprehensibiliter non recensuerit, ab episcopo condamnetur.
Si quelque prêtre, ou diacre, sous-diacre, clerc ne sait pas sans faute le symbole que les Apôtres ont délivré sous l’inspiration du Saint-Esprit, ni la foi du prélat saint Athanase, qu’il soit condamné par l’évêque.

Jusqu’au XIème siècle, ce symbole était en effet chanté tous les jours dans les Églises de France.

L’un des plus ancien manuscrit qui contient le texte (BnF 3836), lequel est du VIIIème siècle, nous indique que le copiste qui l’a écrit l’a trouvé dans un manuscrit plus ancien à Trèves : Hæc invini Treviris in uno libro scriptum sic incipiente Domini nostri Ihesu Christi, et reliqua.

Au VIIIème siècle, saint Boniface le fait chanter en Allemagne ; il se répand à la même époque en Angleterre (Denebert, évêque élu de Worcester, fait profession de sa foi catholique vers 798 devant Ethelhard, archevêque de Cantorbéry en citant le symbole de saint Athanase). Anskar, évêque de Brême, recommande en mourant de le chanter. Hayton, d’abord abbé de Reichenau, puis évêque de Bâle, en impose la récitation chaque dimanche à prime. Cet usage se répandit dans tout l’Occident, et le chant du symbole de saint Athanase à prime des dimanche après l’Épiphanie & après la Pentecôte fut observé dans l’office romain jusqu’en 1960, année où il fut réduit à la seule fête de la Trinité par les nouvelles rubriques.

Voici ce que dit saint Thomas d’Aquin du symbole de saint Athanase dans sa Somme Théologique (composée vers 1270) : « S. Athanase n’avait pas composé un éclaircissement de la foi par manière de symbole, mais plutôt par manière d’enseignement doctrinal, comme on le voit à la façon dont il s’exprime. Mais parce que son exposé doctrinal contenait intégralement en peu de mots la vérité de foi, l’autorité du Souverain Pontife l’a fait recevoir comme règle de foi. » (La Foi, question 1, article 10, paragraphe 3).

Connu primitivement des latins, il fut traduit de façon ancienne en grec et fut utilisé dans les controverses théologiques autour du Filioque. Il figure en appendice au Psautier dans l’Église russe depuis Siméon de Polotsk († 1680) et le Patriarcat de Constantinople l’inséra dans son Horologion, avant de le supprimer.

Quicumque vult salvus esse, * ante omnia opus est ut téneat cathólicam fidem :Quiconque veut être sauvé, doit avant tout tenir la foi catholique.
Quam nisi quisque íntegram inviolatámque serváverit, * absque dúbio in ætérnum períbit.Celui qui ne la garde pas entière et inviolée, périra sans aucun doute pour l’éternité.
Fides autem cathólica hæc est : † ut unum Deum in Trinitáte, * et Trinitátem in unitáte venerémur :Or la foi catholique la voici : nous adorons un seul Dieu en trois personnes et la Trinité dans l’unité.
Neque confundéntes persónas, * neque substántiam separántes.Sans confondre les personnes ni diviser la substance.
Alia est enim persóna Patris, ália Fílii, * ália Spíritus Sancti.Car autre est la personne du Père, autre celle du Fils, autre celle de l’Esprit Saint.
Sed Patris, et Fílii, et Spíritus Sancti una est divínitas, * æqualis glória, cœtérna majéstas.Mais une est la divinité du Père et du Fils et de l’Esprit Saint, égale leur gloire, coéternelle leur majesté.
Qualis Pater, talis Fílius, * talis Spíritus Sanctus.Tel est le Père, tel est le Fils, tel est l’Esprit Saint.
Increátus Pater, increátus Fílius, * increátus Spíritus Sanctus.Incréé est le Père, incréé est le Fils, incréé est l’Esprit Saint.
Imménsus Pater, imménsus Filius, * imménsus Spíritus Sanctus.Immense est le Père, immense est le Fils, immense est l’Esprit Saint.
Ætérnus Pater, ætérnus Fílius, * ætérnus Spíritus Sanctus.Éternel est le Père, éternel est le Fils, éternel est l’Esprit Saint.
Et tamen non tres ætérni, * sed unus ætérnus.Et cependant il n’y a pas trois éternels, mais un seul éternel.
Sicut non tres increáti, nec tres imménsi, * sed unus increátus, et unus imménsus.Non plus que trois incréés ni trois immenses, mais un seul incréé et un seul immense.
Simíliter omnípotens Pater, omnípotens Fílius, * omnípotens Spíritus Sanctus.De même, tout-puissant est le Père, tout-puissant est le Fils, tout-puissant est l’Esprit Saint.
Et tamen non tres omnipoténtes, * sed unus omnípotens.Et cependant il n’y a pas trois tout-puissants mais un seul tout-puissant.
Ita Deus Pater, Deus Fílius, * Deus Spíritus Sanctus.Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, l’Esprit saint est Dieu.
Et tamen non tres Dii, * sed unus est Deus.Et cependant il n’y a pas trois Dieux mais un seul Dieu.
Ita Dóminus Pater, Dóminus Fílius, * Dóminus Spíritus Sanctus.Ainsi le Père est Seigneur, le Fils est Seigneur, l’Esprit Saint est Seigneur.
Et tamen non tres Dómini, * sed unus est Dóminus.Et cependant il n’y a pas trois Seigneurs mais un seul Seigneur.
Quia sicut singillátim unamquámque persónam Deum ac Dóminum confitéri christiána veritáte compéllimur : * ita tres Deos aut Dóminos dícere cathólica religióne prohibémur.Car de même que la vérité chrétienne nous oblige à confesser que chaque personne en particulier est Dieu et Seigneur, ainsi la religion catholique nous défend de dire qu’il y a trois Dieux ou trois Seigneurs.
Pater a nullo est factus : * nec creátus, nec génitus.Le Père n’est fait par aucun autre, ni créé, ni engendré.
Fílius a Patre solo est : * non factus, nec creátus, sed génitus.Le Fils est du Père seul : ni fait, ni créé, mais engendré.
Spíritus Sanctus a Patre et Fílio : * non factus, nec creátus, nec génitus, sed procédens.L’Esprit Saint est du Père et du Fils : ni fait, ni créé, ni engendré, mais procédant.
Unus ergo Pater, non tres Patres : † unus Fílius, non tres Fílii : * unus Spíritus Sanctus, non tres Spíritus Sancti.Il y a donc un seul Père et non trois Pères ; un seul Fils et non trois Fils ; un seul Esprit Saint et non trois Esprits Saints.
Et in hac Trinitáte nihil est prius aut postérius, † nihil majus aut minus : * sed totæ tres persónæ coætérnæ sibi sunt et coæquáles.Et en cette Trinité rien n’est antérieur ou postérieur, rien n’est plus grand ou moins grand, mais les trois personnes sont coéternelles et égales entre elles.
Ita ut per ómnia, sicut jam supra dictum est, † et únitas in Trinitáte, * et Trínitas in unitáte veneránda sit.De sorte qu’en tout, comme il a été dit ci devant, l’unité doit être adorée dans la Trinité et la Trinité dans l’unité.
Qui vult ergo salvus esse, * ita de Trinitáte séntiat.Celui donc qui veut être sauvé, doit penser ainsi au sujet de la Trinité.
Sed necessárium est ad ætérnam salútem, * ut Incarnatiónem quoque Dómini nostri Iesu Christi fidéliter credat.Mais il est nécessaire au salut éternel de croire fidèlement aussi en l’incarnation de notre Seigneur Jésus-Christ.
Est ergo fides recta ut credámus et confiteámur, * quia Dóminus noster Iesus Christus, Dei Fílius, Deus et homo est.C’est donc la foi droite que de croire et de confesser que notre Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, est Dieu et homme.
Deus est ex substántia Patris ante sǽcula génitus : * et homo est ex substántia matris in sæculo natus.Il est Dieu, de la substance du Père, engendré avant les siècles, et il est homme, de la substance de sa mère, né dans le temps ;
Perféctus Deus, perféctus homo : * ex ánima rationáli et humána carne subsístens.Dieu parfait, homme parfait composé d’une âme raisonnable et de chair humaine,
Æquális Patri secúndum divinitátem : * minor Patre secúndum humanitátem.Egal au Père selon la divinité, inférieur au Père selon l’humanité.
Qui licet Deus sit et homo, * non duo tamen, sed unus est Christus.Bien qu’il soit Dieu et homme, il n’y a pas cependant deux Christ, mais un Christ ;
Unus autem non conversióne divinitátis in carnem, * sed assumptióne humanitátis in Deum.Un, non parce que la divinité a été transformée en la chair, mais parce que l’humanité a été assumée en Dieu ;
Unus omníno, non confusióne substántiæ, * sed unitáte persónæ.Un absolument, non par un mélange de substance, mais par l’unité de la personne.
Nam sicut ánima rationális et caro unus est homo : * ita Deus et homo unus est ChristusCar, de même que l’âme raisonnable et le corps font un homme, de même Dieu et l’homme font un Christ.
Qui passus est pro salúte nostra : descéndit ad ínferos : * tértia die resurréxit a mórtuis.Il a souffert pour notre salut, il est descendu aux enfers, le troisième jour il est ressuscité des morts.
Ascéndit ad cælos, sedet ad déxteram Dei Patris omnipoténtis : * inde ventúrus est iudicáre vivos et mórtuos.Il est monté aux cieux, il siège à la droite du Père, d’où il viendra juger les vivants et les morts.
Ad cuius advéntum omnes hómines resúrgere habent cum corpóribus suis ; * et redditúri sunt de factis própriis ratiónem.A sa venue, tous les hommes ressusciteront avec leurs corps et rendront compte de leurs propres actes :
Et qui bona egérunt, ibunt in vitam ætérnam : * qui vero mala, in ignem ætérnum.Ceux qui ont bien agi iront dans la vie éternelle, ceux qui ont mal agi, au feu éternel.
Hæc est fides cathólica, † quam nisi quisque fidéliter firmitérque credíderit, * salvus esse non póterit.Telle est la foi catholique, et quiconque ne gardera pas cette fois fidèlement et fermement, ne pourra être sauvé.
Glória Patri et Fílio * et Spirítui Sancto.Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit,
Sicut erat in princípio et nunc et semper * et in sæcula sæculórum. Amen.Comme il était au commencement et maintenant & toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Saints Athanase et Cyrille - archevêques d'Alexandrie
Saints Athanase et Cyrille – archevêques d’Alexandrie

Source Schola Sainte Cécile

Quicumque vult salvus esse

A quand la mort digne du Grand Orient ?

L’origine maçonnique du projet de loi sur l’euthanasie

L’origine maçonnique du projet de loi sur l’euthanasie

Après la contraception et l’avortement, la légalisation de l’euthanasie s’inscrit dans le programme de « transformation sociétale » des obédiences maçonniques qui ont toujours voulu contrôler la vie, de la naissance jusqu’à la mort. Dans France catholique, Fabrice Madouas écrit :

«Quelle est l’opinion du Grand Orient de France concernant la création d’une journée éducative sur la mort à destination des enfants ?
– Cette éducation nous semble essentielle, dans le cadre de cette loi de liberté et de laïcité. »

Voilà ce dont on parle dans les cénacles de la République : de « l’éducation » des enfants à la mort. Cet échange glaçant s’est déroulé au sein de la « Commission spéciale » de l’Assemblée nationale chargée de préparer l’adoption du projet de loi sur la fin de vie. Les députés en débattront en séance publique à partir du 27 mai. Présidée par Agnès Firmin Le Bodo, ancien ministre de la Santé favorable à l’euthanasie et au suicide assisté, la Commission spéciale auditionnait les obédiences maçonniques le 25 avril. La question sur « l’éducation » des enfants à la mort est de Caroline Fiat, députée LFI qui a déposé, dès 2017, une proposition de loi visant à légaliser l’euthanasie et le suicide assisté. La réponse est de Guillaume Trichard, grand maître du Grand Orient de France (GODF), lui aussi favorable à ce projet, même s’il juge nécessaire de « l’améliorer » : le Grand Orient « a toujours été aux avant-postes du combat pour une mort digne », a-t-il rappelé, soucieux de délivrer les hommes de « l’angoisse de la mort [qui] constitue le terreau sur lequel s’est édifié le pouvoir des Églises sur les hommes ». Dans un communiqué de presse du 30 mars 2021, les organisations maçonniques présentaient déjà l’euthanasie et le suicide assisté comme « la réponse républicaine, laïque et humaniste à la question de la mort ».

« La France, fille des Lumières »…

Le 8 novembre dernier, le président de la République était allé saluer l’œuvre du Grand Orient de France, lors du 250e anniversaire de cette obédience. « Je pense notamment au droit de mourir dans la dignité […]. Et je vous remercie pour les contributions que vous avez produites en lien avec le gouvernement qui va nous permettre de faire cheminer dans les prochains mois ce texte », avait-il déclaré, après avoir relevé que « les francs-maçons n’ont, semble-t-il, jamais été aussi nombreux » en France : 135 000 à 140 000, dont « plein de journalistes », dit Alain Bauer, ancien grand maître du Grand Orient. Et de politiques, précise Serge Abad-Gallardo, ancien franc-maçon revenu à la foi chrétienne en 2012, qui estime à 40 % le nombre des parlementaires francs-maçons, dont beaucoup font partie de la Fraternelle parlementaire (FC n° 3821).

En accueillant le chef de l’État, Guillaume Trichard avait réaffirmé la « position de toujours » du GODF : « La libre disposition pour chacune et chacun de son corps, durant sa vie jusqu’à sa mort. » « Par cette loi, la France, fille des Lumières, garantira cette liberté ultime. Après les luttes menées pour ne plus enfanter dans la douleur, après les combats pour le droit à la contraception, puis l’interruption volontaire de grossesse, il s’agit peut-être de la dernière liberté que nous souhaitons conquérir, en tant que franc-maçonnes, femmes et citoyennes », a résumé Catherine Lyautey, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de France, devant la Commission spéciale de l’Assemblée. […]

A quand la mort digne du Grand Orient ?

Le « saint pape » subversif

Le « pape » de la subversion

Consistoire du 24 mai 1976 : « C’est au nom de la Tradition que nous demandons à tous nos fils, à toutes les communautés catholiques, de célébrer dans la dignité et la ferveur, la liturgie rénovée. L’adoption du nouvel Ordo Missæ n’est pas du tout laissée au libre arbitre des prêtres ou des fidèles […]. Le nouvel Ordo a été promulgué pour être substitué à l’ancien […]. Avec la même autorité suprême [que celle de saint Pie V] qui nous vient du Christ Jésus, nous exigeons la même disponibilité … » À M. Jean Guitton qui lui suggérait d’autoriser la messe de saint Pie V pour apaiser les esprits, le pape répondit : « Cela jamais ! »

La messe de Paul VI est bien un sacrifice, mais pas celui que l’on croit :

Le dimanche 7 mars 1965, il célébra, pour la première fois, la messe (traditionnelle) entièrement en italien.Dans son allocution, lors de l’angélus du même jour, il déclara :

« Ce dimanche marque une date mémorable dans l’histoire spirituelle de l’Église, parce que la langue parlée entre officiellement dans le culte liturgique, comme vous l’avez vu ce matin… L’Église a fait un sacrifice en ce qui concerne sa langue propre, le latin, qui est une langue sacrée, grave, belle, extrêmement expressive et élégante. Elle fait le sacrifice de traditions séculaires et, surtout, de l’unité de langue entre ses divers peuples pour le bien d’une plus grande universalité, pour arriver à tous. »

« Ce n’est plus le latin, mais la langue courante, qui sera la langue principale de la messe. Pour quiconque connaît la beauté, la puissance du latin, son aptitude à exprimer les choses sacrées, ce sera certainement un grand sacrifice de le voir remplacé par la langue courante. Nous perdons la langue des siècles chrétiens, nous devenons comme des intrus et des profanes dans le domaine littéraire de l’expression sacrée. Nous perdons ainsi en grande partie cette admirable richesse artistique et spirituelle qu’est le chant grégorien. Nous avons, certes, raison d’en éprouver des regrets et presque du désarroi. »

Dictature du relativisme

Consacré par le concile Vatican II, l’œcuménisme fut imposé à la conscience catholique par le pape à travers des gestes spectaculaires et scandaleux que ses successeurs n’auront plus qu’à imiter. En 1964, Paul VI fit un voyage en Terre Sainte durant lequel il rencontra le patriarche de Constantinople sur un pied d’égalité : après avoir lu alternativement l’Évangile, ils bénirent ensemble l’assistance à l’initiative de Paul VI. De retour à Rome, il n’hésita pas à donner aux « orthodoxes » le chef de saint André qui était une des reliques insignes de la basilique Saint-Pierre. Le dernier jour du Concile, le 7 décembre 1965, Paul VI annonça la levée de l’excommunication des orthodoxes sans exiger la moindre abjuration de leur part. Lors de son voyage en Turquie en 1967, le pape remit une lettre officielle au patriarche de Constantinople dans laquelle les Églises orthodoxes et l’Église catholique étaient présentées comme des « Églises sœurs» C’était dire que Rome ne prétendait plus être la Mère de toutes les Églises et que le pape ne demandait plus à être reconnu comme le père commun des fidèles.

Quant à l’œcuménisme avec les protestants, il suffit d’évoquer la réception du Dr Ramsey, « archevêque et primat » de l’Église anglicane, en mars 1966. Le pape lui promit de faire réétudier la question de la validité des ordinations anglicanes (pourtant tranchée par Léon XIII) et, déjà, il lui montra quelle était son opinion en lui demandant de bénir l’assemblée en sa présence. Le « primat » anglais ne comprit pas cette demande inouïe et commença à se mettre à genoux lui-même. Le pape le releva prestement. Mais ce n’était qu’une première surprise. Paul VI, dans un geste prémédité, enleva ensuite son propre anneau épiscopal pour le passer au doigt du Dr Ramsey.

Jamais le règne de Notre-Seigneur n’a autant souffert des mains d’un pape. Il est vrai que celui- ci avait surtout le culte de l’homme

Ayant refusé de condamner le communisme au cours du Concile, Paul VI s’est plusieurs fois plié aux exigences des pays de l’Est. Il suffit d’évoquer le cas du cardinal Mindszenty qui a probablement davantage souffert des manœuvres du pape que de ses bourreaux en Hongrie. Tous les pays encore catholiques ont été encouragés à rayer le nom de Notre-Seigneur de leur constitution : après l’Espagne, la Colombie, certains cantons suisses, ce fut le tour de l’Italie. La doctrine condamnée de Lamennais a été reprise par Paul VI dans le message aux gouvernants : « Que demande-telle de vous, cette Église… aujourd’hui ? Elle vous l’a dit dans un des textes majeurs de ce Concile : elle ne vous demande que la liberté. »

Le « saint pape » subversif

Paganisme pas mort

Durant 4 jours, notre journaliste a suivi les cours d’introduction au druidisme de l’école Eoriañ, à Bôle (NE). Conversations avec les arbres, histoire celtique, calendrier druidique… Ouvrez son carnet de notes pour découvrir cet univers poétique. Lorsque vous l’aurez refermé, le monde ne sera plus le même.

Portrait de Ellen De Meester

Par Ellen De MeesterJournaliste Blick

Vous êtes les bourgeons qui habillent les branches. Vous êtes les ruisseaux qui claquent dans les vallées. Vous ne faites qu’un avec la forêt, avec cet arbre solide qui veille, toutes feuilles aux aguets. Vous êtes ce brin d’herbe qui a résisté à l’hiver… Vous ne le saviez pas? Alors les druides vous le diront, si vous prenez le temps de leur parler.

Justement, moi, j’ai voulu les interroger. À l’aube du 25 janvier, j’ai pris le train pour Bôle, prête à vivre mon premier cours de druidisme. Car oui, il y a des druides en Suisse. Avides de partager leur savoir, ils et elles proposent des cours aux personnes que leur univers inspire. Et si vous aimez «Le Seigneur des Anneaux», le concept risque de vous parler! À peine sortie du wagon, un peu nerveuse, je me demandais effectivement si j’allais croiser des elfes dans cette campagne neuchâteloise en pleine hibernation, encadrée par des falaises. Hélas, aucun cousin de Legolas n’a émergé des buissons, mais je suis quand même ravie d’affirmer qu’un arc-en-ciel s’est déployé au-dessus de ma tête, comme un signe encourageant.

Bôle est une localité et une ancienne commune neuchâteloise. Elle se situe à 10 minutes de train depuis le centre-ville de Neuchâtel.

D’un pas vif, j’ai rejoint l’école druidique Eoriañ («ancrer» en breton), fondée il y a 15 ans par la druidesse, herboriste et autrice romande Joëlle Chautems. Les curieux, les hypersensibles et les apprentis druides (surnommés les «marcassins») s’y rejoignent pour acquérir des connaissances en herboristerie, sylvothérapie, géobiologie et lecture de runes, tout en développant une connexion profonde à la nature. Pendant ces 4 jours, j’ai pu entrevoir un fragment de leur cursus, parler aux arbres (qui m’ont répondu), penser le temps différemment et proposer des offrandes aux esprits de la nature. C’était un voyage unique. Suivez-moi, je vous emmène.

Qui sont les druides helvétiques?

Au moment de déposer mes affaires dans mon casier, je ne sais absolument pas ce qui m’attend. En compagnie de six autres élèves, toutes des femmes d’âges et d’horizons différents, je m’installe sur un tapis de yoga, alors que trois chats ronronnants papillonnent de l’une à l’autre. Chacune se présente et explique la raison de sa venue. Certaines veulent trouver un sens à leur vie ou mieux se connaître, d’autres cherchent à renforcer leur lien à la nature. D’emblée, les récits de leurs parcours bouleversants font jaillir des larmes dans le cercle: «Nous sommes désormais un clan, rassure Joëlle Chautems. Nous prendrons soin les unes des autres.»

Les cours théoriques se déroulent dans une salle parsemée de tapis de yoga.

Il n’est pas toujours facile de se concentrer quand des chats irrésistibles se pavanent à proximité.

Celle qu’on surnomme «Hadana» (son nom de druidesse) a reçu ce titre après 18 longues années d’études solitaires, additionnées à deux ans d’instruction dans une école: «J’ai rencontré un druide sur le tard, qui m’a proposé de valider mon parcours, raconte-t-elle. Quand il m’a annoncé qu’il voulait me nommer druidesse, j’ai ressenti un coup de fouet énergétique, j’ai fait un pas en arrière et j’ai pleuré.»

Le nom de druidesse choisi par Joëlle Chautems est Hadana.

À ce moment-là, j’avoue que le terme «druide» m’évoque encore, de façon très clichée, la grâce de Galadriel et la sagesse de Panoramix, avec un zeste de malice façon Totoro. Or, concrètement, ce titre implique surtout une mission: celle d’amener la paix et de prendre soin de sa communauté, grâce à un panel d’outils consacrés au rôle de guérisseur, de médiateur ou de magicien. Le terme «druidisme», quant à lui, définit simplement la pratique philosophique et spirituelle de la tradition celtique, perdue au travers des siècles: «Il m’est très important, via les cours d’Eoriañ, de redonner une place à la spiritualité de notre terre, commente Joëlle. On a tendance à reléguer la tradition celtique à la Bretagne, l’Angleterre ou l’Irlande, mais la Suisse possède aussi un riche berceau spirituel. Je dédie ma vie à la redécouverte, l’étude et à la transmission de cette culture.»

Le miracle de l’arbre consacré aux faux dieux
(détail d’un vitrail de l’église Saint-Martin de Chagny, au diocèse d’Autun-Châlons et Mâcon)

Saint Martin priez pour nous

Paganisme pas mort