Festival 7è Art : Candice Patou : « Il ne faut pas que ces films meurent ! »

C’est par conviction que l’actrice Candice Patou a accepté d’être la marraine du 1er festival Septième art, consacré aux films classiques restaurés, qui s’est déroulé à Vittel.

L’actrice de théâtre et de cinéma Candice Patou entretient depuis plusieurs décennies de belles histoires d’amour. Avec le cinéma, avec son mari Robert Hossein mais aussi avec la ville de Vittel. Trois amours que l’actrice a concilié durant tout ce week-end puisque la marraine de la première édition du festival Septième art, qui veut défendre à Vittel les films classiques restaurés, est dans la cité thermale.

Candice Patou, comment êtes-vous devenue la marraine de la première édition du festival Septième art ?

« Tout d’abord, on m’a choisie. Sans doute en raison de la présence à mes côtés de mon mari, Robert Hossein, qui a tant donné au cinéma et au théâtre. Mais aussi, je crois, parce que j’aime le cinéma. J’ai joué dans beaucoup de films. Par exemple « Les misérables » dans lequel j’ai interprété le rôle d’Éponine Thénardier. Un rôle qui m’a émerveillée sur un tournage complètement fou ; tournage qui m’a permis de côtoyer de grands acteurs, comme Lino Ventura, Michel Bouquet… Pour moi, le cinéma c’est comme la nourriture : c’est quelque chose de nécessaire. »

Lire ici la suite de l’article de Didier Humbert -Vosges matin du 29 juin 2013

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