PLAYA SANTA TERESA (du 28/02/2016 au 01/03/2016)

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‘Dans un voyage, ce n’est pas la destination qui compte, mais toujours le chemin parcouru et les détours’.
Je trouve que cette citation s’applique parfaitement à mon voyage du jour.

Je pars pour la péninsule Nocoya. Je voulais aller à Montezuma, mais compte tenu du prix des hébergements et de mes problèmes de carte bancaire qui devraient durer encore quelques jours,  j’ai choisi d’aller à Playa Santa Teresa, un coin parfait pour le surf. Et comme je ne surfe pas, je n’aurais pas d’autre choix que de me reposer.

C’est parti !
Je prends un premier bus, à 6h00, pour aller jusqu’à Puntarenas. Le bus dépose ses passagers au terminus, à 9h00.
Comme le ferry de 9h00 vient probablement de partir, je me joins aux autres marcheurs pour parcourir les 2 km qui nous permettent de rejoindre l’embarcadère.
Après une attente d’environ 1h30, je finis par monter sur le bateau pour une traversée d’1h20.
Puis, je monte assez dans mon deuxième bus de la journee, qui me dépose… à un autre arrêt (ne me demandez pas lequel), un heure plus loin, où j’attends 1h30 pour monter dans un dernier bus. Au total, ce ne sont pas loin de 10h00 de trajet pour parcourir 150km.

J’espère être plus efficace pour mon retour vers San José dans quelques jours, parce que lorsque j’arrive, je suis épuisée. Et dire qu’à l’arrêt d’1h30, il y avait une femme avec un bébé de 15 jours, qui attendait patiemment, assise par terre, avec un autre fils un peu plus âgé.

Le hamac qui se balance lentement juste devant le dortoir dans lequel se trouve mon lit sera mon meilleur allié de mon arrivée jusqu’à mon départ.
Vraiment peu d’autres choses au programme. Lecture, petites promenades sur la plage, couchés de soleil magnifiques.

Et mes premières séances de yoga !
Bon, pas tout à fait premières,  parce que j’avais fait une tentative à Paris. Ça n’avait pas été très satisfaisant.
J’avais également eu l’occasion de tester des exercices plus centrés sur la respiration, dans un parc parisien, pas loin du travail… et là, c’était déjà plus concluant, mais la prof était excellente (elle se reconnaitra j’espère).

Bref, je me lance dans un premier cours de yoga, qui se déroule sur une terrasse de bois sur pilotis, sous l’oeil observateur d’un singe.
J’en ressors épuisée au bout de 2h20. Probablement par le yoga en lui-même,  mais aussi par la concentration que m’a demandée l’accent très prononcé du prof. Heureusement, j’ai pu m’inspirer de ce que faisait les autres participants.

Le lendemain, je me lance dans un deuxième cours. Cette fois-ci, le prof est une femme, à l’accent tellement clair que j’en oublis que c’est en anglais. Pas besoin d’ouvrir les yeux pour regarder ce que font les autres, tout se déroule tranquillement, sereinement, au son d’une musique douce. Et aujourd’hui, bien que le lieu soit le même que la veille, c’est sous l’oeil d’un écureuil éveillé que se déroule le cours.

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