La photographie – un langage universel

Electricité de Strasbourg (ES) participe à « L’Industrie Magnifique » - avec des photos extraordinaires sur le sujet de l’Eco-exploitation d’énergie. Dans les photographes exposés à l’Aubette, Frantisek Zvardon. Qualité garantie.

Soultz-sous-Forêt - quand l'industrie rencontre l'éternité... Foto: (c) Frantisek Zvardon

(KL) – Electricité de Strasbourg (ES) a un message à faire passer, un message universel. Pour le communiquer, les responsables d’ES ont choisi un support que tout le monde comprend – l’art photographique. 5 photographes ont interprété ce sujet qui est radicalement tourné vers un avenir meilleur, un avenir plus propre, un avenir plus responsable. Que l’on soit Français, Allemand, Chinois ou Américain, ce message, on le comprend sans autre explication.

« Il faut protéger notre planète, tout en continuant à la faire tourner. » C’est ainsi que l’on pourrait traduire ce message d’ES et interprété par 5 photographes exceptionnels. « ES nous avait donné carte blanche », raconte Frantisek Zvardon, « sur cette photo, je voulais opposer l’infini, l’éternel du ciel et des étoiles à l’œuvre de l’Homme qui, forcément, est vouée à disparaître un jour. C’est cette éternité qu’il convient de protéger et les intérêts de l’Homme doivent s’adapter à la grandeur de la nature, de la création. » Mission remplie, serait-on tenté de dire.

Pour réaliser cette photo exceptionnelle, Frantisek a employé la technologie moderne, avec son savoir-faire de décennies de photographie artistique. « Je suis parti vers 21 heures pour installer mon équipement avec l’idée de capter l’univers, en lien avec cette installation industrielle. J’ai pris 450 photos que j’ai superposées pour capter le mouvement des étoiles, jusqu’à 2 heures du matin. » Il est évident que de telles photos, ce ne sont pas des « snapshots », mais des œuvres d’art.

L’engagement d’ES est tout aussi surprenant et positif. Le groupe s’engage autant pour une approche durable et écologiquement responsable que dans l’art – la participation à « l’Industrie Magnifique » en est la preuve.

Ces œuvres sont exposées à l’Aubette à Strasbourg et elles valent, comme les autres œuvres exposées dans le cadre de « l’Industrie Magnifique », le détour. Quand l’art rencontre l’industrie, quand les artistes rencontrent les industriels, le public ne peut qu’en profiter. Est-ce une nouvelle approche plus intégrée qui marquera demain notre société ? Tous les espoirs sont permis…

(c) Frantisek Zvardon

(c) Frantisek Zvardon

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