Comment attraper le vent qui court ?
En le regardant dessiner des vagues de graminées.
En suivant la danse des palmes.
En admirant la valse des petits cocons légers.
En rêvant d’alizés, couchée sur le sable .
En voyant la marée zébrée, entrer dans le port
En suivant l’empreinte des rafales qui balayent l’étang
Restant là bercée, la crinière au vent
Pour enfin, prendre mon élan
Et Partir sous le vent.
Très beau
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Merci beaucoup Francis !
Ravie de te voir ici, sous le vent 🙂
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très beau oui – et suis jalouse, n’arrive jamais à le saisir, alors que souvent l’est bien là
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Merci de l’avoir suivi jusqu’ici ce matin !
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Le vent a donc l’immense plaisir de ne jamais se laisser tout à fait saisir, on ne peut avoir que des impressions de vent 😉
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On peut le sentir, le voir, l’entendre, et ressentir sa caresse et le plaisir qu’il nous donne. Seules nos mains ne peuvent le saisir, c’est déjà beaucoup 🙂
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je suis décoiffée de la présence de vos images : je crois que vous l’avez bien attrapé 🙂 !
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Je me suis contentée de danser avec lui et depuis nous sommes amis puisqu’il m’a offert les images de son ballet sauvage 🙂
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C’est beau, c’est doux, comme j’aime !
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Merci beaucoup de les apprécier autant que moi !
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Des photos enlevées joliment !
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Envolées aussi avec le temps qui court ! Merci 🙂
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Joli cerf-volant qui sous la brise hume la fleur d’oranger. De quoi se rêver d’autres décors sans faux or.
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Vous parlez probablement des ailes de kite-surf qui hument la brise marine, elles n’ont pas besoin de rêver à un autre décor, ce qu’elles voient de là-haut dépassant l’imagination.
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magnifiques photos
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Merci beaucoup pour votre visite ici et pour ces mots !
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