La Saga Dragon Ball Z : Le Dessin animé (Partie 4)

melkiok Par Melkiok

image-dragon-ball-3 Après 3 articles complets de nos expériences vidéo-ludiques heureuses et malheureuses avec la franchise Dragon Ball il fallait un peu que l’on vous parle du reste. En effet cette parenthèse gaming n’est que la toute petite partie immergée de l’énorme Iceberg que fut notre folie DBZ !

J’attaque de ce pas ce par quoi tout est arrivé, je veux bien sur parler du Dessin Animé !

C’est donc le 2 Mars 1988 (Bien sûr c’était un mercredi !) que débarque dans le Club Do, émission si cher à mon cœur (voir ici pourquoi 😉), notre ami à la queue de singe.

Je suis bien sûr tout de suite happé par la somme faramineuse de facéties et surtout de combats se déroulant au fur et à mesure des épisodes.

L’entrainement auprès de Tortue Géniale, la croisade contre l’armée du Ruban Rouge, les Tournois des Arts Martiaux et surtout l’arc Piccolo (qui clôt d’ailleurs la série) me firent passer des Mercredis absolument merveilleux.

Mais tout cela n’était qu’un préambule bien gentillet à côté de ce que sera la série cultissime pour toute une génération : Je veux bien sûr parler de Dragon Ball Z.

latestLe 24 décembre 1990 nous rentrons donc dans une autre dimension, celle de la folie Gagabaldienne. Les péripéties futiles des débuts font vite place ici à une véritable addiction dont le schéma est bien connu de nos jours mais qui à l’époque était assez nouveau.

Un héros naïf au grand cœur, dont les ennemis d’hier deviennent les alliés d’aujourd’hui avec en toile de fond une menace paraissant sans cesse insurmontable et des enjeux dépassant rapidement l’entendement (Je sauve la Terre / puis Namek / puis l’humanité / et enfin la galaxie).

On peut dire que le style Nekketsu est transcendé dans ces joutes toujours plus dantesques dont le dénouement cristallisait l’attention de toutes ces chères têtes blondes rivées à leurs postes.

Chaque épisode nous fournissait notre dose homéopathique nécessaire mais nous on en voulait toujours plus ! Et parfois entre les résumés des épisodes précédents couplés à des filler plus que dispensables (La team Krilin, Bulma et Gohan qui visitent l’espace avant d’arriver sur Namek, Piccolo et Goku qui passent le permis…) il fallait avoir des nerfs d’acier.

Ne parlons pas du combat Freezer vs Goku où la confrontation s’étend à elle seule sur une vingtaine d’épisodes. Soit près de 7 heures au total avant d’en voir le bout !

En tout cas si par malchance je loupais un épisode, pas d’inquiétude la cours d’école était la pour faire le débrief le lendemain avec force d’imitation de transformations en Super Guerrier tout en mimant du Kamehameha à tire larigot.

En voyant ces images vous pourrez légitimement vous dire « Nan mais attend il est où l’arc Majin Buu ? quelle arnaque ! »

Patience mes amis il se trouve simplement que j’ai découvert le dernier grand pan de l’histoire DBZ par le biais des Mangas !

Mais cela fera l’objet d’un autre article 😉

Retrouvez nos précédents articles sur la Saga Dragon Ball Z :

Dragon Ball Z : Super Butôden (Super Nintendo)

Dragon Ball Z : La Légende Saïen (Super Nintendo)

Dragon Ball Z : L’Ultime Menace (Super Nintendo)

Dragon Ball Z : Hyper Dimension (Super Nintendo)

Dragon Ball Z : L’Appel du Destin (Megadrive)

Dragon Ball Z Ultimate Battle 22 (Playstation)

– Melkiok – https://twitter.com/melkiok

5 réflexions au sujet de « La Saga Dragon Ball Z : Le Dessin animé (Partie 4) »

  1. Je garde quelques souvenirs émus du dessin-animé … Mais mon arc scénaristique favori reste la période Dragon Ball. L’enfance et l’adolescence des personnages était, encore plus que de sa suite, très proche de ses origines mythologiques. (Transformation en singe, toute la pensée des arts martiaux …)

    • Moi aussi je préfère Dragon Ball, en particulier les 3 tournois 🙂

      Et dans DBZ, mes passages préférés c’est la partie avec les combats contre les Saibaimen et contre le commando Ginue !

      • Les tournois étaient quelque chose. L’amitié avec Krillin ou la période où Goku rencontre Chichi sans parler de l’attaque contre « le vieux » Piccolo … Que d’images en mémoire !

  2. Aie aie ces noms ^^;
    Sinon un peu d’accord avec ce qui se dit. Mine de rien l’arc de Majin Boo (et pas Bou) en animé est un carnage dès l’apparition du Majin. Tout est trop long et le rythme est fastidieux, la version japonaise de Kai (et pas la version internationale) vaut le coup pour ça.

    Bonne journée.

    • C’est vrai que je ne sais guère pourquoi je ne me suis fourvoyé avec du « Bou » dans cet article je m’en vais réparer ça de ce pas

      J’approuve pour la version Kaï qui semble plus digeste mais même en l’état j’avoue au mieux m’ennuyer quelque peu (Vegeta vient de se faire sauter) et au pire avoir envie de donner des baffes à la team Goten/Trunks/Buu

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