Marie-Christine Laznik sur la lourdeur phallique
« Je me suis aperçue que, énormément de jeunes femmes qui n’arrivaient pas à se trouver un conjoint stable étaient phalliquement lourdes. Alors, la première lourdeur d’une femme, c’est d’être complètement autonome financièrement, de n’avoir besoin en rien d’un homme. »
(Psychanalyse : la théorie sexuelle, teaser. Sophie Robert, 2012)
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