La punition


Une vraie correction

sanctionNous apprenons avec une grande satisfaction que la punition méritée a été infligée et elle a été historique.

Ils avaient traité le projet CEDIF d’extrémiste !

Les élus en place et plus particulièrement ceux de la gauche avaient cru pouvoir se moquer de nos propositions, nous leur avons ri au nez ces deux dimanches et avons appelé les parents à en faire autant.

Nous avons suivi de près les résultats de ceux qui avaient traité le projet CEDIF d’extrémiste. Extrémiste ? Est-il extrémiste de demander à ceux qui sont en responsabilité de faire le ménage face à des exactions commises par les agents du sévice social ?

Nous exigerons qu’ils fassent le ménage

Bien sûr, ce n’étaient que des élections municipales, c’est lors des élections cantonales que la punition devra encore porter, puisque des conseils généraux couvrent des exactions perpétrées contre les familles.

Ce que nous allons exiger maintenant c’est d’être entendus et nous ferons remonter toutes les exactions commises auprès des élus. Nous demanderons que des actions soient prises pour assainir l’administration du social.

Les sévices sociaux ont une couleur politique

Que la gauche soit balayée est une bonne chose,  elle peut l’être davantage encore.

Pour autant ceux qui massacrent les familles restent en place quels que soient les gouvernants, nous connaissons leurs parti-pris idéologiques anti-familles. En effet les syndicats qui constituent un vrai lobby des sévices sociaux au sein de l’ASE avancent toujours leurs proposition de « désacralisation du lien familial » et autres débilités de « genre ».

Que ces malfaisants soient soutenus par la gauche n’est plus un mystère, que la droite les laisse faire n’en est pas un non plus. Il faudra donc forcer la main de ceux qui décident pour que le ménage soit fait, et croyez nous on pèsera dans ce sens.

Des jaunisses qui nous font plaisir

Dans le détail, on ne peut qu’être satisfait de la défaite cinglante d’Irène Félix à Bourges, la Madame Maisons de la Solidarité, ces usines à placement d’enfants, semble en avoir fait une jaunisse.

Bonne surprise aussi avec la défaite du maire communiste de Villejuif, de la municipalité socialiste de Nevers et de Toulouse, l’ébranlement des bastions du Nord.

On applaudit à la victoire du maire courage à Gouvieux avec près de 65 % des voix.

On va continuer ensemble

Le détail serait long, nous n’y sommes peut-être pas pour grand-chose, mais puisque vous êtes si nombreux à nous avoir fait confiance, continuez à le faire pour l’avenir de votre famille.

Le prochain rendez-vous est celui des élections européennes ce 25 mai 2014, il faudra amplifier la correction en votant pour qu’ils dégagent.

3 réflexions au sujet de « La punition »

  1. Les maires pensent à tort qu’ils n’ont aucun rôle à jouer dans les exactions de la protection d’enfance, et donc aucun ne fait de proposition lors de leur candidature pour soutenir les associations qui se battent au quotidien dans leur ville pour aider les familles, et se cantonnent a régler les petits problèmes affairant à la commune.

  2. Renseignements concernant la pétition
    Dans le cas où la commission des pétitions déclarerait votre pétition recevable, êtes-vous d »accord pour que celle-ci soit traitée publiquement ? Oui
    Acceptez-vous que votre nom soit inscrit sur un registre public accessible par Internet? Oui

    Titre de votre pétition: Pour une démocratie représentative !
    Madame, Monsieur, Si nous voulons être considérés comme des hommes ou des femmes libres, une des principales questions que nous avons à résoudre est la compatibilité entre notre liberté et la démocratie qui nous gouverne. Juger de notre démocratie nécessite que nous puissions nous interroger sur les prérogatives de l’État démocratique en tant que garant de nos libertés individuelles. L’État démocratique fut habilement défini par Abraham Lincoln: Gouvernement du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple. Effectivement la question se pose alors que le clientélisme de nos politiques de gauche comme de droite les conduit à sacrifier les,  » droits de,  » aux  » droits à « , saccageant de leur libre arbitre les bases de notre liberté individuelle sans laquelle aucune avancée économique ou sociale n’est possible. C’est ainsi que l’on pourrait définir que le meilleur système, devrait être exempt de corruption et de lobbies. Et c’est pour cela que nous devons nous méfier des démagogues qui utilisent des discours dénaturant la vérité et faisant preuve d’une complaisance excessive…. l’Union Européenne annonce que 2014 sera une année déterminante, marquant le 20ème anniversaire de l’Année Internationale de la Famille. Mais en France de nombreuses familles ne sont pas ou plus naturelles mais institutionnelles, elles ne remplissent pas les objectifs de l’Année Internationale de la Famille. Fatale tentation dans une société ou la famille devrait être située au cœur des débats et non considérée comme une source qui est tarie. Nous pourrons retenir que devant  » l’échec patent » des droits à la famille, un parent n’a plus sa place au sein d’une société démocratique, son ostracisme sera éhontée, dés lors que les prémisses « de ces violences institutionnelles » rendent le droit « insipide »,(Qui est privé de toute saveur intellectuelle ou morale) et portent atteinte à sa « dignité humaine ».!!! Alors que nos enfants handicapés et de surcroit majeur n’ont plus de droits a la famille telle visée par la société, mais dépendent de leur papa institutionnel (Juge des enfants ou homologue , puis Juge des tutelles) et de leur maman institutionnelle ( ASE puis un tuteur institutionnel) oubliant intentionnellement la légitimité de la famille naturelle…. Pour information (Au 31 décembre 2011, 2 345 enfants avaient le statut de pupille de l’État en France….) les enfants nés ou à naitre sont-ils appelés à représenter un véritable business de l’adoption. ???? Le corollaire rigoureux d’une institution criminelle, c’est d’user de l’abus de pouvoir… Pouvons nous associer cette dénomination « Illuminati » utilisée comme terme générique dans la théorie du complot, pour synthétiser des théories identifiant ces conspirateurs visant à la destruction des familles…?? Si c’est cela les droits de l’homme, il faut se poser la question pourquoi nos pères se sont battus pour la déclaration universelle des droits de l’homme. ? En revenant sur la résolution 64/142, elle engage aussi les travailleurs sociaux, qui se rendent coupable au même titre que le magistrat du siège, de tout faire, pour ne pas éradiquer ces procédures qui s’enchainent dans la durée, alors que cette « accumulation dans la durée  » doit être considérée ici comme abusive… En effet cette resolution dispose. Le retrait de l’enfant à sa famille doit être considéré comme une mesure de dernier recours qui devrait être, dans la mesure du possible, temporaire, et de la durée la plus courte possible. Cette résolution met en en porte-à-faux,les magistrats du siège, qui ne respectent jamais Les États devraient garantir le droit de tout enfant faisant l’objet d’un placement temporaire au réexamen complet et régulier, de préférence au moins tous les trois mois. ici au moins doit être considéré et entendu comme ( au plus juste, simplement, tout au plus). Alors que ces magistrats du siège vous détournerons de cette notion, « au moins » en vous disant « au minimum », malgré que nous relèverons plus haut, qu’il est cité,  » dans la mesure du possible, temporaire, et de la durée la plus courte possible », encore une façon habile et insipide, pour ces magistrats de détourner les lois. Une limitation d’un droit fondamental, un fléau social (retrait abusif d’enfant), annihile en « quasi-totalité » les valeurs morales des droits de l’homme : c’est la dispersion insipide de la conscience de l’humanité, ! source : Les familles, cœur de la société. « Nous devons instituer un partenariat avec les familles a fin de formuler un nouveau contrat social, qui nous donne les moyens d’affronter les défis, du XXIe siècle dans tous les secteurs de l’activité humaine. Nous devons, rendre aux individus leur juste place dans un développement enrichi, par notre diversité, et nourri par notre détermination d’instaurer la paix dans le monde. Cordialement. M TERRIOU Bruno. Pour ce qui est des juges ..je l’ai deja mentionné….Pour une véritable politique familiale en France, il faut que les juges soient sanctionnables et sanctionnés en droits.. a ) Un juge doit appliquer des règles de droits et non porter atteinte à la dignité de la personne, aucun être humain de doit être considéré comme un objet ou un moyen. b) La possibilité pour un justiciable de poursuivre un juge pour son manque d’impartialité, refus de « contradictoire » ou encore violation de « l’égalité des armes » c) Selon le principe de « l’état de droit » , l’état doit sanctionner un juge qui rejette les obligations nées des traités, la responsabilité de l’état est engagée car ceci relève du droit international entre autres la loi de Nations (projet de code de « droit international public »)…. d) Selon les mécanismes des droits de l’homme, et démocratique, un Juge n’est pas plus souverain qu’un individu lambda, il faut donc reconnaitre une interdiction formelle a l »utilisation de la notion d’abus de droit ou d’abus de pouvoir, afin de rétablir que tous les droits de l’homme sont inhérents à tout être humain… Les Magistrats disposent de pouvoirs considérables sur la vie des citoyens mais, sous prétexte de leur indépendance nécessaire, c’est la seule profession n’ayant pas à rendre compte de ses décisions. Il n’est pas étonnant, dans ces conditions, qu’il y ait des erreurs, beaucoup plus nombreuses que ne le croient ceux qui n’ont jamais eu à faire à la justice. Les erreurs judiciaires des Magistrats sont parfois corrigées avec les recours judiciaires prévus. (quand ceux-ci sont accessibles, et ne dur pas  » ad vitam aeternam  » malgré le droit a un recours effectif) Les fautes disciplinaires des Magistrats, notamment leurs fautes professionnelles lourdes (omissions ou erreurs d’interprétations des faits ou de la loi tellement graves qu’elles n’auraient pas dû échapper à leurs auteurs) ne sont jamais sanctionnées, privilège qu’ils sont les seuls à détenir. Les Magistrats qui contrôlent d’autres Magistrats ont d’abord le souci de la préservation de l’image de la justice, souci qui coïncide heureusement avec celui de leur solidarité corporatiste, … Les victimes de la justice ne peuvent pas attaquer les Magistrats. Elles doivent d’abord attaquer l’état, ce qu’elles ne font pratiquement jamais. D’ailleurs, en cas de condamnation de l’état et alors que ce dernier peut se retourner contre les Magistrats, il n’a jamais exercé ce pouvoir. Pourquoi «la souveraineté excessive des magistrats» car ils sont tenus par les principes de l’état de droit ( l’état de droit comme un principe de gouvernance en vertu duquel l’ensemble des individus, des institutions et des entités publiques et privées, y compris l’État lui-même, ont à répondre de l’observation de lois promulguées publiquement, appliquées de façon identique pour tous et administrées de manière indépendante, et compatibles avec les règles et normes internationales en matière de droits de l’homme) mais si sous le prétexte de l’indépendance de la Justice, on leur permet de faire n’importe quoi, on leur accorde une souveraineté excessive (En matière de politique, la souveraineté est le droit absolu d’exercer une autorité (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une région, un pays ou sur un peuple.) La justice constitue à la fois un idéal philosophique et moral, l’exercice de cette activité doit représenter un idéal établi donc son activité doit être gratuite pour tous, elle est censée représenter le maintien de l’ordre et l’ordre établi.(respect de la dignité humaine, équitabilité dans les décisions, etc..)….c’est pour ça que la justice est honteuse..!! Un magistrat du siège ne juge pas selon les principes de l’équité mas selon ses convictions personnelles, n’ accordant pas la présomption d’innocence le bénéfice du doute, et de par son narcissisme existentiel ne donne surtout pas a entendre qu’il peut se produire une erreur judiciaire . Et encore sous le prétexte de leur indépendance, ils bénéficient d’une autorité excessive, se sont des magistrats souverains pouvant user de l’abus de pouvoir à leur convenance !! !! Ne pas accepter le contradictoire peut représenter une discrimination mais également une corruption.. La corruption Judiciaire est subjective mais elle transgresse toujours la frontière du droit et de la morale, en effet cette violation de « l’égalité des armes » peut-être considérée comme un détournement, au vu de fournir des avantages ou des prérogatives particulières a cette partie (Aide sociale a l’enfance ou Tuteur institutionnel) qui d’entrée de jeu à prééminence sur la partie (institution familiale) Prévenir les situations de conflit d’intérêts fait ainsi partie intégrante de la prévention de la corruption… Comme vous pourrez le juger par mon courrier adressé a la cour pénale internationale, il faudrait inscrire dans la constitution Française, le droit d’annihiler, comme un acte légitime du droit d’ingérence de l’autorité judiciaire, étant donné que la non-assistance à personne en danger n’a aucune valeur juridique et morale. Paradoxalement, la résolution 40/34 est censée protéger le genre humain par des principes fondamentaux relatifs aux victimes de la criminalité (la criminalité est l’infraction des normes juridiques d’un système social, par des actes illégaux, délictueux, exemple l’exclusion parentale) et aux victimes d’abus de pouvoir. La France n’est pas un « ’état de droit » en raison d’actes ou d’omissions, ou ces juges souverains ne sont pas prêt à admettre, le bénéfice du doute, la présomption d’innocence, sans continuer à violer « l’égalité des armes » ou d’entrée de jeu la partie (aide sociale à l’enfance, tuteur institutionnel, etc..) a un avantage évident sur la partie (institution familiale) ignorant de plein gré au-delà de tout doute raisonnable que, ne donnant pas a entendre qu’il peut se produire une erreur judiciaire. On entend par état de droit, un « principe de gouvernance » en vertu duquel l’ensemble des individus, des institutions et des entités publiques et privées, y compris l’État lui-même, ont à répondre de l’observation de lois promulguées publiquement, appliquées de façon identique pour tous et administrées de manière indépendante, et compatibles avec les règles et normes internationales en matière de droits de l’homme. Et comment ce fait-il que jamais personne ne s’ est posé la réelle question, si  » l’ indépendance » de la « Justice » permet à un juge d’agir en déni de  » l’état de droit  » à quoi servent,  » les droits de l’homme  » ? Terrorisme d’État : Quand abdiquer une partie de sa dignité ? Considérant que la non-reconnaissance et le mépris des droits de l’homme, conduisent à des actes de violences institutionnelles, qui révoltent la conscience et la morale de l’humanité. Tels sont les principes de justice en France. Ce crime contre le genre humain ou Crime contre l’humanité, autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à la santé mentale, par une persécution (faire souffrir par des traitements cruels et injustes) individuelle et collective. La « violence légitime » peut se traduire par une limitation et restriction des libertés individuelles, mais ces actions qui conduisent à des actes de « violences institutionnelles », révoltent la conscience et la morale de l’humanité. Entre dans le champ de la violence institutionnelle tout ce qui contredit ou contrevient aux lois du développement, tout ce qui donne prééminence aux intérêts de l’institution sur les intérêts de la personne handicapée……. Le développement est entendu ici dans ses différentes dimensions, psycho-affective, cognitive, physique, psychique, sociale. Je dénonce que….le terme « torture » désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne (ou un groupe d’appartenance en l’humanité), ou de l’intimider ou de faire pression sur elle ou d’intimider ou de faire pression sur tout autre membre de sa famille, motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit, (le fait de ne point reconnaitre que «tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice», peut constituer une « discrimination. ») Lorsqu’une telle douleur ou de telles souffrances sont infligées par un agent de la fonction publique (Par l’autorité judiciaire par son « droit d’annihiler ») ou toute autre personne agissant à titre officiel (Tuteur, services sociaux, etc.. pour l’ « exclusion parentale ») !! Ce terme ne s’étend pas à la douleur ou aux souffrances résultant uniquement de sanctions légitimes, inhérentes à ces sanctions ou occasionnées par elles, mais s’attache également a la volonté de porter atteinte à « la dignité humaine » Tout Etat partie prend des mesures législatives, administratives, judiciaires et autres mesures efficaces pour empêcher que des actes de torture soient commis dans tout territoire sous sa juridiction.Aucune circonstance exceptionnelle, quelle qu’elle soit, d’instabilité politique intérieure ou de tout autre état d’exception, ne peut être invoquée pour justifier la torture.

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